Harry Potter, tome 3 : Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban

Je ne sais pas si c'est le fait de le lire 20 ans après mais je trouve cette série tellement longue au décollage, alors oui la plume est fluide cela se lit bien mais je m'aperçois pour le moment qu'il y a cette redondance à chaque tome.

Harry va chez son oncle et sa tante durant les vacances d'été et retourne à l'école de Poudlard pour l'année scolaire suivante, certes ici il y a plus de cours de magie etc mais niveau noirceur que l'on me vend tellement je ne peux qu'être déçu.

Il faut dire que niveau noirceur étant donné mon genre de prédilection j'ai une certaine tolérance et des attentes bien plus grandes.

J'espère bien que comme beaucoup de saga, ce tome est plus introductif sur ce qui va suivre par la suite, car même au niveau du titre qui est le prisonnier d'Azkaban je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus sombre.

Même si les héros grandissent ils ne sont pas encore pour moi assez matures ou adolescents dans le sens ou ils entrent en rébellion, je les trouvent encore assez fades sans réel personnalité propre à de rares exceptions près.

J'espère plus de côté novateur sur le quatrième tome, en espérant que celui-ci soit vraiment un tome de transition.

Poussé à bout par la tante Marge qui le dénigre toutes les secondes, Harry s'enfuit de chez les Dursley. Lorsqu'il retrouve à Pré-au-lard ses amis et la famille Weasley, il apprend que le plus célèbre et le plus dangereux des prisonniers d'Azkaban s'est enfui est est à sa recherche pour le tuer...

Ce tome a la particularité unique de ne pas inclure Voldemort dans l'énigme principale. Il se concentre plutôt sur l'énigmatique Sirius Black et met en place des relations très importantes pour l'avenir de l'histoire.
Au-delà de ça, il ne se passe pas grand chose de folichon avant la fin ! le début est ultra lent, apporte moins que les deux précédents tomes et certaines scènes n'en finissent pas. Je pense notamment à la scène de la révélation sur Pettigrow et Black avec Lupin, qui prend un temps fou et frustre le lecteur qui ne voit pas les réponses arriver à un rythme appréciable.
C'est finalement le tome que j'aime le moins. C'était déjà le cas il y a dix ans lors de ma première lecture, la tendance se confirme. Néanmoins, il crée une pause nécessaire dans la tragique destinée de Harry, comme une dernière brise chaude agréable avant que tout s'enchaîne dans la sinistre tempête finale.
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Sirius Black s'est échappé de la prison d' Azkaban c'est la panique et il en veut à Harry Potter. Mais qui est ce fameux personnage ? Dans le même temps des Détraqueurs font leur apparition à Poudlard, mais il faut bien que Harry puissent passer sa troisième année à l'école et il fait la connaissance d'un nouveau professeur contre les forces du mal qui pourrait bien aider le jeune sorcier dans sa quête du savoir.

Ce troisième opus n'est certes pas mon préféré, alors il vrai qu'il possède la magie des deux premiers tomes mais il fait plus office d'épisode de transition avec l'arrivée de nouvelles têtes, on reste donc sur notre faim et connaitre la suite des évènements. Malgré tout il en reste pas moins un très bon tome.

À quelques jours de la rentrée des classes, une terrible nouvelle faut la une des journaux : Sirius Black, le bras droit de Voldemort, s'est évadé de la prison d'Azkaban ! D'après l'opinion générale, celui-ci n'aurait qu'une idée en tête, se venger d'Harry Potter...

Un troisième tome que j'ai trouvé un brin longuet. Sans doute parce que J. K. Rowling se contente de reprendre la recette des deux précédents, sans trop la renouveler. Également parce que les matchs de quidditch prennent trop de place et que je les trouve assez inintéressants.

Heureusement, la fin relève le niveau en plantant des graines pour les futurs romans et qui me donnent, du coup, envie de continuer la série. Dommage qu'il faille attendre les cent dernières pages pour cela.

Restent des personnages toujours aussi attachants et une écriture plaisante, mais après trois tomes, presque la moitié, je ne vois pas encore ce que cette série a de si exceptionnelle. C'est sympa mais pas foufou.
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Ayant trouvé par hasard le livre audio lu par Bernard Giraudeau, je n'ai pas résisté à la tentation d'écouter au moins le début… Quel talent d'acteur-lecteur !! Il nous offre une multitude de voix, cris, grognements, reniflements permettant aux personnages de prendre corps et d'exister au-delà des mots. C'est donc avec grand plaisir que j'ai écouté ce livre jusqu'au bout, quand bien même j'ai fait des pauses car l'histoire en elle-même ne me passionne toujours pas. Heureusement qu'il y avait la voix et le talent de Bernard Giraudeau !
Le début m'a profondément ennuyée avec tant de répétitions indigestes et un personnage qui ne se prend toujours pas en charge, qui persiste à subir son sort et s'en désespérer. D'ailleurs une fois encore tout au long de l'intrigue, ce n'est jamais Harry qui décide d'agir : il se contente de suivre un ami ou de désobéir. le personnage de Ron est bien plus actif et son caractère plus défini, et j'avoue que je l'ai largement préféré ! Il joue chaque fois un rôle important dans les péripéties.
Ce n'est que vers le milieu du roman que l'action devient plus intéressante. L'intrigue se complexifie un peu, enfin. Toutefois le procédé final pour amener au dénouement ne m'a pas franchement convaincue. Je dirai même que j'ai été déçue car Harry fait bien peu, tout le mérite en revenant à Hermione, très effacée dans ce tome sous le prétexte d'étudier énormément et d'être fâchée avec les garçons.
L'intérêt de cet épisode est que le lecteur en apprend davantage sur l'histoire familiale des Potter, mais hélas dans les dernières pages on revient au point de départ, la situation n'a guère évoluée. Cela laisse supposer que le tome 4 va commencer avec le récit de l'été à Privet Drive et tout ce qu'aura enduré Harry sans réagir … jusqu'à ce que quelqu'un décide d'intervenir pour le sortir de là ? Que de répétitions en perspectives ! Quand ce personnage va-t-il enfin voler de ses propres ailes, grandir suite à ses expériences, se prendre en mains ?

J'espère trouver la suite en version audio sinon j'aurais bien des difficultés à progresser dans cette histoire…

Ce troisième tome s'inscrit tout à fait dans la même lignée que les deux précédents. Dieu merci, J. K. Rowling nous permet cette fois de ne pas toujours soupçonner le même "méchant" pour la révélation finale, même si le truc est à nouveau le même. Cette fois, c'est Sirius Black qui est le méchant soupçonné et qui prouvera, de nouveau, que les apparences sont trompeuses.

J'aime assez bien l'évolution très progressive que l'auteur inscrit dans ses livres, au fur et à mesure que le protagoniste principal grandit, en même temps que ses fidèles petits lecteurs. On commence à toucher du bout du doigt l'horreur de la mort des parents, de l'époque Voldemort, etc. Tout doucement, ces livres deviennent plus adultes et plus nuancés, au même rythme que le public, ce que je trouve être un véritable coup de génie!

Bref, un bon tome. Excellent aussi pour apprendre l'anglais car les phrases sont simples et le vocabulaire très accessible et progressif.

Troisième année scolaire de Harry Potter à Poudlard.
On continue d'en apprendre plus sur le fonctionnement de ce monde et sur les évènements passés qui ont conduit à la mort des parents de notre petit magicien.
Les leçons de morale sont toujours joliment amenées. Et ça a beau paraître gentillet et enfantin, je ne vois toujours pas venir les rebondissements et dénouements...
J.K. Rowling mène vraiment bien sa barque !

Harry et ses amis s'envolent vers de nouvelles aventures plus sombres que la dernière fois. Un meurtrier s'est évadé et doit être attrapé rapidement avant qu'il ne tue à nouveau. En quête de la vérité, Harry dépassera les règles.

D'ordinaire, Harry n'est pas un personnage que j'affectionne ni que je déteste. Ce tome-ci ne fit pas exception à la règle. Harry est un garçon que j'ai trouvé perdu dans ses pensées, dans ce monde qu'il connaît à peine et qui ne sait qui il est réellement. Ron m'impressionne toujours autant, il est considéré dans les films comme le parfait idiot, bien qu'il fasse effectivement quelques bêtises, il n'en reste pas moins quelqu'un d'intelligent et de cultivé dans les romans. J'ai trouvé Hermione brillante mais moins que ce que nous montrent les films. Quant à Drago Malefoy, mon personnage préféré, je l'ai trouvé vraiment détestable dans ce troisième tome. Il est vrai que j'aime beaucoup son côté bad boy qui cache un petit coeur sensible et capable d'aimer mais cette fois-ci cela a été dur, particulièrement envers un autre personnage que j'aime beaucoup.

J'espérais énormément de cette lecture puisque le film est mon préféré. Je pensais retrouver ce dynamisme infini et excitant mais ce n'est pas le cas. J'ai trouvé ma lecture lente, certes les rebondissements étaient au rendez-vous mais il y avait trop de description par rapport aux actions.

Je pense que c'était pas le bon moment pour entrer à nouveau dans ce monde. J'aurai certainement apprécié d'avantage à une autre période, avec un autre état d'esprit. Je pense également que j'ai fixé la barre haute. le film est proche du roman mais je n'ai malheureusement pas « redécouvert » l'histoire comme cela a été le cas pour le tome 2. Je suis déçue non pas du récit mais de moi-même. J'ai senti que ce n'était pas le moment de me lancer dans cette lecture et j'ai persisté jusqu'à la fin. Je ne referai pas la même erreur pour la suite de la saga. Malgré tout, ce roman était tout de même bon.
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Voilà le troisième épisode de Harry Potter lu. A la fin de la lecture, je me suis dit que je n'avais pas laissé assez de temps entre deux épisodes. Je me suis rendu compte que la trame était similaire. Ca commence chez les Dursley, heureusement il y a la rentrée à Poudlard qui permet de désamorcer la situation. On retrouve le danger qui rôde et qui menace Harry Potter en la personne de Sirius Black.

Le roman comporte de nombreux rebondissements, il y a plusieurs histoires en une : le mystère du suivi des cours d'Hermione ; le procès de l'hippogrife; l'inévitable tournoi de qidditch et l'évasion de Sirius Black. C'est sûr que ça densifie le récit mais j'ai eu la sensation que ça se dispersait.

La tonalité du récit se noircit aussi. Harry Potter découvre que les adultes peuvent être hypocrites, prêts à déguiser la vérité pour arriver à leurs fins. Il y a aussi les premiers accrochages dans l'amitié des compères.

C'est un roman qui m'a un peu moins plu que les précédents.

J'ai lu la série Harry Potter, il y a déjà quelques années, non pas en tant que jeune lecteur, mais en tant qu'adulte confrontée à ces jeunes lecteurs qui aimaient en parler en interclasse…
J'avais été quelque peu refroidie par la tournure que semblait prendre la série avec le deuxième volume. A vrai dire, le démarrage du troisième volume s'est montré de la même mouture que les deux précédents… Heureusement que cette fois l'auteur nous sort un peu de l'atmosphère « protégée » de l'école pour nous montrer comment fonctionne le monde des sorciers en dehors de Poudlard. Et nous découvrons ses défauts et ses injustices en même temps qu'Harry, qui confronté à ce monde rude des adultes ne peut qu'à son tour grandir et mûrir. En suivant cet apprentissage initiatique, le jeune lecteur peut aussi être amené à réfléchir sur le monde qui l'entoure.
C'est dans ce volume qu'apparaît aussi Sirius Black qui aura un rôle déterminant dans la construction de Harry et qui fait le lien direct entre le héros et ses parents assassinés. Dès lors, on sent que l'ensemble commence à prendre plus de poids et qu'une intrigue au long cours s'installe pour de bon.
Rowling nous surprend également dans ce volume en distillant quelques mystères qui n'aura leur résolution qu'aux derniers chapitres, dans une manipulation magistrale des personnages et, par extension, des lecteurs. Je n'ai pu qu'applaudir : ce genre d'audace nous change des anciens romans pour la jeunesse où la moindre prise de risque était vue comme une gageure. Même moi, lectrice difficile à contenter, j'ai été contente de ce retournement de situation final. Et du coup, ce troisième volume relève déjà le niveau de la série et se fait le prophète d'autres bonnes surprises de cet acabit.