Citations sur Harry Potter, tome 5 : Harry Potter et l'ordre du Phénix (462)
- Ron, nous sommes censés montrer le chemin aux première année !
- Ah oui, répondit Ron qui avait complètement oublié. Hé, vous, là-bas, les demi-portions !
- Ron !
- Ben, c’est vrai qu’ils sont tout petits…
Je vous attends lundi soir à six heures, Potter. Dans mon bureau. Si quelqu'un vous pose la question, vous répondrez que vous prenez des leçons de rattrapage en potions. Quiconque vous aura vu à l’un de mes cours ne saurait nier que vous en ayez grand besoin.
-J'espère que tu ne seras pas fâché si on s'abstient de t'embrasser, Ron ? dit Fred d'un ton faussement anxieux.
-On peut remplacer ça par une révérence si tu préfères, dit George.
- Tu veux qu’on se charge de te laver les oreilles ? demanda George en sortant d’un des sacs de chez Zonko un long instrument de métal à l’aspect guerrier.
- Ou n’importe quelle autre partie de ton corps, nous on n’est pas difficiles, on veut bien te coller ça où tu voudras, ajouta Fred.
Comme dit le proverbe : Le chat est entré dans la cage aux lutins, à présent.
Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié, il sera né lorsque mourra le septième mois...et le Seigneur des Ténèbres le marquera comme son égal mais il aura un pouvoir que le Seigneur des Ténèbres ignore... et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit... Celui qui détient le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres sera né lorsque mourra le septième mois...
Binns, leur professeur fantôme, avait une voix sifflante et monotone qui provoquait presque immanquablement une terrible somnolence au bout de dix minutes, cinq par temps chaud.
Et à partir d'aujourd'hui, même si des feuilles de thé m'écrivent sous le nez "tu dois mourir bientôt [...]", je les remettrai à leur place, c'est-à-dire à la poubelle.
Ce qui horrifiait tant Harry, ce qui le rendait si malheureux, ce n'étaient pas les hurlements de Rogue ou les jets de bocaux. C'était le fait qu'il savait ce que l'on ressent lorsqu'on est humilié au milieu d'un cercle de spectateurs. Il savait exactement ce qu'avait éprouvé Rogue au moment où James Potter l'avait ridiculisé et à en juger par ce qu'il venait de voir, son père était bel et bien le personnage arrogant que Rogue lui avait toujours décrit.
-Je sens que je te dois une autre explication, Harry, reprit Dumbledore d'un ton hésitant. Tu te demandes peut-être pourquoi je ne t'ai pas choisi comme préfet ? Je dois te l'avouer ... J'ai pensé ... que tu avais suffisamment de responsabilités comme cela.
Harry leva les yeux et vit une larme couler sur le visage de Dumbledore puis disparaître dans sa longue barbe argentée.