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Heureusement que les tomes suivants sont déjà disponibles parce que ce premier volume donne très envie de lire la suite.
Vous avez lu que ça fait penser à Dune?? Je confirme que certains aspects font penser à ce moment de SF qu'est Dune. Mais on est loin du copié/collé. Et tant mieux.
L'univers dans lequel évolue Had est d'une vastitude et d'une richesse qui m'ont fait plaisir. On entre dans la jeunesse de ce héros malgré lui (Mais est-ce vraiment malgré lui?) et on découvre avec lui l'étendue de son univers. En tous cas on découvre un aperçu de cet univers prometteur.
Une des particularités de cet ouvrage est de donner le ton dès la couverture "Le dévoreur de soleil". On sait depuis le tout début qu'une "Happy End" est difficile à envisager. On le sait car Had nous le dot lui-même. Il nous écrit de sa prison. Et cela m'a fait penser aux enquêtes de l'inspecteur Colombo. On connaît le coupable dès les premières minutes et pourtant on reste collé à l'écran pour savoir comment on arrive au résultat qu'on connaît.
Ici, on sait que Had est emprisonné, et on a des informations sur les raisons pour lesquelles il est en cellule. Et on tourne les pages encore et encore pour savoir comment il en est arrivé à se retrouver prisonnier.
C'est riche, c'est dense, c'est détaillé, c'est parfois violent, mais qu'est ce que c'est bon...
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Dans un univers infini, une planète parmi tant d'autre retient notre attention. Celle où l'histoire d'Hadrian Marlowe à débuté.

Premier né d'un archonte richissime, Hadrian bénéficie de tous les avantages lié à son rang mais tout cela à un prix, il doit se plier aux exigences de son père. Alors que ce dernier prévoit de l'envoyer au service de la Fondation, un ordre religieux où la torture est un passe temps, Hadrian lui ne rêve que de marcher sur les pas de Simeon le Rouge et d'explorer le cosmos.
C'est à la suite de malheureuses décisions que sont destin va prendre une tournure inattendue.

Le récit nous est conté par Hadrian qui est au crépuscule de sa vie. Il revient sur ses choix, ses erreurs, ses regrets sans jamais trahir la suite de l'intrigue. Il accepte de ne pas avoir su, à ce moment précis, comment les choses auraient pu tourner et cela le rend extrêmement attachant.
Il faut savoir qu'Hadrian nous apparait aux premiers abords comme un érudits. Il parle de nombreuses langues, s'intéressent au différentes espèces vivantes dans l'univers, apprécie de passer du temps en compagnie de son tuteur Tor Gibson qui est pour lui la voie de la raison. On se demande donc comment il a pu en arriver à être à ce point détester par une grande partie de la population, comment il a pu être surnommé le Dévoreur de soleil, le Briseur d'Etoile, le Tueur de Pales et j'en passe ...

Christopher Ruocchio nous sert un roman de SF de grande qualité à une échelle tentaculaire. On imagine très bien le nombre infini de planète à découvrir, le nombre de civilisation, de peuple à rencontrer.
Dans ce premier tome déjà terriblement riche (et addictif), nous explorons une seule planète, pas très accueillante d'ailleurs et Hadrian passe par tellement de phase différentes dans ce moment de vie que la suite laisse présager de belles perspectives.

C'est un roman de science fiction léger où l'on ne rentre pas dans les explications barbantes et le jargon scientifique. C'est comme ca, point.
Par contre, les armures et les armes des personnages vont être hyper sophistiquées, la technologie existe mais est limité par la Fondation, les voyages dans l'espaces se font en mode cryogénique ... Il y a énormément à découvrir sans que la lecture soit lourde et harassante.

2024 commence en beauté, j'espère que la suite sera à la hauteur de ce premier tome.
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Un premier tome de 788 pages qui prend le temps, parfois un peu trop, de planter un univers riche et complexe que ce premier volet dévoile prudemment.
Au moment où s'ouvre le récit, Hadrian Marlowe est un homme connu sous de multiples noms dans tout l'empire interstellaire, certains prestigieux et d'autres, comme celui du Dévoreur de Soleil, qui témoignent plutôt d'actions condamnables. Et de condamnation, il en est justement question puisque Hadrian s'apprête à être pendu pour ses crimes.
Le carnet sur lequel il écrit s'adresse directement au lecteur.
Hadrian se confesse, raconte son enfance auprès d'un père autoritaire, son intérêt pour les études et son conflit avec son jeune frère pour la succession du trône. Il nous entraîne dans l'espace, sur d'autres planètes et d'autres civilisations avec toujours, en toile de fond, l'omniprésente catastrophe à venir dans son extraordinaire autobiographie.

Christopher Ruocchio nous embarque dans une sacrée aventure qui promet d'être longue et mouvementée. Il construit un personnage tout en nuances, dont les actions d'éclat et de bravoure sont aussitôt éclipsées par des déconvenues issues d'erreurs stratégiques ou de coups du sort.
J'ai beaucoup aimé son caractère. Les autres personnages bénéficient également d'une psyché complexe où l'ambivalence prime.
L'univers d'Hadrian évolue en même temps que l'âge du personnage. Son rôle en tant que jeune aristocrate dans un empire où le Maître domine plusieurs galaxies nous offre une vision partielle mais intéressante du point de vue politique et des rapports de force.
Son goût pour les études et les langues notamment permet d'éviter l'écueil d'un récit fondé sur de seules batailles épiques. Hadrian, en effet, a soif de connaissance des autres espèces. Ce trait de caractère amène une histoire riche en interprétations sur tous les plans : individus, société, religion et politique.
L'action est cependant présente, notamment avec les combats de gladiateurs dans lesquels des esclaves sont jetés en pâture dans l'arène pour succomber sous le joug des soldats dans une parodie de reconstitution de scènes d'anciennes guerres.
Le genre du récit est assez original.
Il apparaît rapidement que l'histoire prend place longtemps après notre époque puisque la Terre est morte et son souvenir brandie comme un symbole par la religion en place. Une religion au premier abord assez dure et tranchante. Ses membres font régner la terreur, soumettant les citoyens à la question de l'Inquisition. Tout est prétexte à crier au blasphème.
La découverte et la présence d'autres êtres dans la galaxie est d'autant plus rapidement considérée comme une menace et les extra-terrestres transformés en esclaves. Seuls les Pâles, une espèce humanoïde, résistent à l'Empire et la menace de la guerre, présente dès le début devient de plus en plus menaçante au fur et à mesure de la lecture.
Le roman mélange les genres. Les voyages dans l'espace côtoient le maniement de l'épée.
J'ai été surprise plus d'une fois lorsque des références surgies de notre histoire me ramenaient régulièrement à notre univers, que ce soient les noms d'auteurs célèbres ou certaines grandes batailles ayant marqué notre histoire. C'est vraiment un récit intriguant.
J'ai trouvé le rythme assez inégal, notamment sur les cent premières pages qui ont bien failli me faire décrocher de ma lecture, mais dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé et je lirai la suite avec plaisir.
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3.5*
Un roman de "science-fantasy" qu'il me tardait de lire. J'en suis sortie avec une impression mitigée. le début parvient à accrocher le lecteur en utilisant des ingrédients certes plutôt classiques, à la Dune, mais efficaces. L'univers est développé et on a envie de connaître les autres planètes. Les nombreux rebondissements et changements dans la vie d'Hadrian, personnage principal et narrateur, nous tiennent en haleine et nous poussent à tourner les pages. Il est dommage cependant qu'Hadrian soit parfois aussi imbuvable et incohérent dans ses prises de décision. Ses longs monologues mentaux apportent des longueurs au récit qui aurait pu gagner de nombreuses pages en nous les épargnant. Néanmoins, je laisse à Ruocchio et sa saga le bénéfice du doute, ayant été séduite par les créatures antagonistes, les Cielcins mais aussi par la famille d'Hadrian, qu'il me tarde de voir davantage développée dans la suite.
En bref, un roman très dense, comportant quelques longueurs et dont le personnage principal ne m'a pas convaincue, mais qui surprend par les thèmes abordés et par son univers.
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Cela fait longtemps que je n'avais pas lu un aussi long roman (+ de 700 pages) mais j'ai vraiment aimé. Hadrian, le narrateur, s'adresse à nous lecteur, en racontant son histoire; celui d'un homme qui va devenir un heros et un meurtrier. Pourtant ce tome est plus centré sur sa jeunesse compliquée, ses rêves et surtout ses désillusions. La genèse de son histoire est vraiment compliquée mais est aussi le début de ce qui va faire de lui l'homme qu'il va devenir. J'ai beaucoup aimé Hadrian, sa voix et le regard critique du vieux Hadrian sur le plus jeune. J'ai terminé le roman en voulant en savoir plus et surtout en voulant savoir quand et comment son destin va prendre le fameux tournant. du coup, oui, je lirai la suite.
Le roman est bien écrit et j'ai adoré le worldbuilding. On est vraiment immergé dans cet univers. le seul petit problème est la longueur qui se fait ressentir, quelque fois ce qui fait que le rythme en a parfois pâti. Mais j'étais tellement dedans que cela ne m'a pas tant gênée que ça.
Ce roman m'a fait penser à Dune, le Nom du Vent et Gladiateur. C'est vraiment le genre de SF que j'apprécie car même si l'univers est immense, l'histoire reste centrée autour des personnages. J'ai vraiment apprécié cette lecture.
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Avec cette couverture singulière mettant en scène un homme à tenue de gladiateur dans le cosmos, le regard tourné vers l'avenir, mais le corps retenu par une main funeste, le dévoreur de soleil m'avait de suite intriguée à sa sortie. Mais l'épaisseur de ce premier tome me faisait craindre une lecture longue et compliquée, j'ai donc repoussé, repoussé, repoussé... Mais avec la sortie du 4e tome, je me suis dit qu'il était tant de voir si ça valait le coup de me lancer et d'acheter la suite. Avec la fluidité que j'ai découvert et l'aventure entraînante que j'ai vécue, le test est plus que validé !

Je ne m'attendais vraiment pas en me lançant dans ce titre à découvrir un univers aussi facile d'accès et une plume aussi abordable. Loin de la SF un peu lourde et longuette que je craignais, j'ai eu un vrai page turner, ultra fluide et simple à suivre, simplicité renforcée si besoin par l'énorme glossaire présent en fin de tome, ce que j'adore.

J'ai donc embarqué pour cette aventure de près de 900 pages, mélange de Dune, Spartacus et Star Trek Discovery où l'on retrouve pêle-mêle une vaste saga familiale, des voyages extra-orbitaux, une mythologie mystérieuse, une nouvelle Inquisition, de la politique inter et extra humain et bien sûr des extraterrestres. le lieu de cette histoire, un futur lointain où le narrateur vient nous raconter une légende, sa légende, celle d'un homme qui a repoussé une invasion extraterrestre mais au détriment de la vie de milliards d'humains et contre les ordres de son Empereur, son nom : Hadrian.

J'ai beaucoup aimé ce mélange de péplum et de space opera, c'était hyper engageant. J'aime suivre les héros de leur jeunesse à leur maturité comme ici. Ça me plaît de les suivre dans les épreuves que la vie a mise devant eux et ici, Hadrian est gâté. de mouton noir de la famille pour son père, il se retrouve à fuir une carrière dont il ne veut pas, il finit à la rue puis dans les entresols d'une arène, avant de servir de tuteur pour une famille noble qui n'a pas que ses intérêts à coeur et pour finir de se retrouver embarquer comme traducteur lors d'une affaire dont il aurait préféré ne pas se mêler de cette façon. L'auteur a vraiment écrit une aventure pleine de rebondissements où on se plaît à le voir galérer et grandir, découvrir et affirmer ses idéaux, avancer et se faire trahir, se relever et commettre des erreurs, etc. C'est très riche.

C'est cependant de la SF très classique et très simple. Il ne faut pas chercher de grands concepts autour des origines de l'humanité ou du voyage dans l'espace. Nous sommes plus sur une fresque politique et mythologique à la sauce alien avec une recherche de la compréhension de cette autre race et un conflit en latence avec elle. L'histoire prend le temps de se mettre en place, un peu en mode Dickens. Elle ne prend vraiment son ampleur que dans le dernier tiers quand les talents pour les langues du héros et son envie de joueurs les ambassadeurs le poussent vers un destin qui n'était pas le sien au début. Mais tout ce qui a jalonné son parcours, l'a conduit jusque là et a contribué à sa construction, donc je ne le renie pas. J'ai aimé suivre son parcours achoppé, ses rencontres qui lui ont permis de sortir de son cercle de privilégié et les revers qu'il a vécu qui l'ont endurci car c'était un personnage un peu trop lisse et gentil au début (et peut-être même encore un peu trop à la fin...).

L'aventure est vraiment le maître mot ici et il risque de l'être encore plus par la suite, d'où mon sentiment d'être dans une redite de Star Trek Discovery. le héros est un amoureux de littérature d'aventure et ça se sent, il nous le transmet bien. On attend qu'une chose, le voir réaliser son rêve et partir à bord d'un vaisseau pour aller percer les secrets de l'univers. Ceux qui s'imposent déjà à lui dans ce premier tome autour de certaines mystérieuses constructions me plaisent déjà beaucoup. C'est simple, classique, mais terriblement efficace et ça me rappelle un peu ce côté explorateur qu'il y avait dans Stargate, en plus de la rencontre avec d'autres cultures. Ce fut donc particulièrement entraînant.

Premier tome copieux, celui-ci n'en fut pas moins extrêmement digeste et facile à lire. Je suis donc totalement rassurée et bien prête à découvrir le destin extraordinaire de ce Dévoreur de Soleil qu'on découvre à peine dans ce premier tome, un tome d'exposition riche, qui pourtant ne dévoile pas grand-chose de ce qui fera sa renommée ensuite. C'est vraiment de la SF de divertissement pur, avec une belle maîtrise narrative, offrant un rythme prenant tout du long malgré les changements de tempos et d'ambiance. Cela aurait peut-être mérité un peu plus de nuances, un peu plus d'épaisseur politique, religieuse, mythologique ou scientifique, mais c'est une excellente accroche pour démarrer un cycle qui invite à l'aventure et l'évasion. Accrochez vos ceintures !
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En voila de la bonne SF.
J'avais acheté le livre sur un coup de tête en voyant la magnifique illustration de couverture et je dois dire que l'extérieur est aussi bon que son contenu.

Le dévoreur de soleil m'a fais penser à Dune comme beaucoup l'ont déjà dis mais aussi un peu à la saga Traquemort.
De la science fiction avec une petite touche de fantasy. Généralement j'aime beaucoup le mélange, une vraie réussite et la fin de ce premier tome est vraiment sympa.

Je lirais la suite avec plaisir.


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Avec ce roman, première surprise de l'année.
Hommage prononcé à Dune, l'auteur a su s'en détacher pour créer un premier opus dense mais passionnant.
Tome d'introduction, le rythme est assez lent mais permet de présenter le monde, les enjeux et les personnages de cet univers foisonnant.
Un vrai régal !
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Ce fut un voyage vraiment fabuleux, je n'étais pas entrée autant en résonance avec un personnage depuis longtemps, partageant énormément ses pensées et ses motivations profondes.
Impossible de citer tous les passages qui m'ont fait vibrer.

La narrateur est un Hadrian plus âgé, qui fait le point sur sa vie, sur son histoire, sa légende et la manière dont il nous évoque son passé est captivante.

La début est assez classique, Hadrian est un fils rebelle en désaccord avec les idéaux de son père et cherche à fuir son avenir.
C'est là que Ruocchio agit de main de maître, car il joue sur l'imprévu, sur la surprise, pour casser toutes nos prévisions concernant le destin notre héros.

J'ai adoré la manière dont ce facteur aléatoire vient briser son l'élan, l'obligeant à remonter la pente, changer ses plans, s'adapter.Rien n'est facile, mais le chemin sinueux qu'il prend pour atteindre son but est terriblement prenant, que ce soit sur cette ambiance à mis chemin entre la tradition antique et l'expansion de l'humanité dans la galaxie, avec toutes les problématiques inhérente à la colonisations, à l'eugénisme, à la politique et aux classes sociales.

Hadrian se déconstruit et se reconstruit tout au long de ses épreuves et au gré de ses rencontres, et du contexte dans lequel il évolue, prêt à remettre ses connaissances en question pour voir plus grand et c'était un régal d'être à ses côtés.

En bref: Tout ce que l'on apprend est très clairement la partie émergée d'un énorme iceberg, l'univers est si riche!
J'ai hâte d'être en Février pour la prochaine LC et me replonger dans cet univers tellement la fin du premier tome était jouissive.
Lancez-vous, c'est une lecture tellement magnétique!
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L'empire du silence de Christopher Ruocchio ( Tome 1 le dévoreur de Soleil)

Livre lu en lc organisée par @l'encredelamagie. Vu comme Rémi présentait cette saga, je suis partie avec une attente énorme sur cette lecture ! C'est un grand oui, j'ai vraiment beaucoup apprécié ma lecture.

J'aime bien Hadrian, qui évolue déjà beaucoup dans ce premier tome. Pour le moment, je ne suis pas encore autant attachée à lui qu'à Fitz dans l'Assassin Royal par exemple. Mais je pense que ça va évoluer dans la suite de la saga. L'univers est riche et intéressant (il faut rester concentré pour suivre le grand nombre de mondes, et de peuples, mais ça reste accessible). Il y a des espèces vraiment originales et intriguantes, comme les Umandhs et les Cielcins (que je trouve fascinants). C'est captivant de suivre les descriptions de leur fonctionnement.

La plume est immersive et intelligente, on sent le travail d'écriture derrière, certains passages sont plus rythmés que d'autres. Hadrian n'est pas épargné et on souffre avec lui, il y a des chapitres vraiment marquants et des révélations assez incroyables.

L'intrigue est sans cesse en évolution. On croit prendre un chemin et bim tout est déconstruit pour se diriger dans une autre direction, on est baladés comme une feuille au vent, un vrai tour de force de la part de Ruocchio. Les changements de rythme entre les périodes ponctuent bien le récit et permettent de souffler entre les évenements traumatisants. On se concentre sur les moments intenses bien détaillés, et parfois une ellipse temporelle est bienvenue pour faire avancer les choses sans perdre de temps.

Vers 50% du livre arrive Valkia ce qui a attisé ma curiosité, je n'avais qu'une envie, reprendre le livre pour découvrir ce personnage, son évolution et ses interactions avec Hadrian.

Et puis arrive le chapitre 70, THE moment que j'attendais depuis le début, comme si toute la costructuon de l'univers et des personnages devait aboutir à cet événement, j'ai adoré. Et ce n'est que le début de la saga !

Merci à Rémi pour cette belle découverte, je ne doute pas que la suite va gagner en intensité. J'ai peur que mon petit coeur ne soit pas prêt. Un très beau 4,5/5.
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