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Le dévoreur de soleil tome 3 sur 5
EAN : 9791028119713
888 pages
Bragelonne (01/09/2021)
4.47/5   31 notes
Résumé :
Depuis près d'un siècle, Hadrian Marlowe sert l'Empire en guerre contre les Cielcins. Des rumeurs affirment désormais qu'ils ont un nouveau roi. Un roi différent des précédents, qui a abandonné les attaques éclair contre les territoires frontaliers pour des frappes stratégiques visant l'Empire humain.
On raconte également que Hadrian a vaincu la mort en personne. On l'appelle désormais le Demi-mortel. Mais cette popularité grandissante se révèle dangereuse po... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Encore une fois, l'auteur nous change totalement d'ambiance dans ce troisième tome qui se rapproche bien plus de pouvoir et donc des dangers d'erreurs pour notre héros. J'avoue que j'ai un peu moins apprécié ce tome en comparaison des deux précédents, car le coté scientifique de certaines découvertes prend une tournure auquel j'ai eu un peu de mal à adhérer. Mais malgré tout ça ne m'a pas empêché de passer un bon moment dans cette lecture.

Ce que j'apprécie beaucoup dans cette série est vraiment l'univers mis en place, autour de l'Empire. Il est loin d'être parfait mais justement le héros arrive à voir, de par ses voyages et ses rencontres, les autres points de vues sur la question. Il est donc un peu moins aveuglé par l'hégémonie de son empire que la plupart des autres personnes que lui et ses hommes côtoient.

Je vais vous donner un peu une idée des différents points de contexte et de background qu'on découvre dans ce tome, sans parler de ceux qui peuvent être spoiler vis à vis de l'intrigue. Pour ceux qui ne connaissent pas la série, il faut mieux commencer par ma chroniques des tomes précédents.

On poursuit la vie de Hadrian Marlowe. Ce tome ci se déroule 80 ans après le précédent, Hadrian a donc 115 ans environ, même si il c'est déroulé en temps global plus de 400 ans depuis sa naissance (on passe les années en stase pour voyager d'un endroit à l'autre, car les voyages sont très très très longs).
Je précise qu'on est dans un monde ou les personnes de la lignée impériale peuvent vivre pas loin d'un millénaire, donc il n'est encore qu'au début de sa vie. D'ailleurs son moi âgé qui raconte l'histoire dit qu'il se considérait toujours comme un enfant à cet âge la.

L'ADN des courtisans de la cour impériale est tellement modifiée qu'ils ne peuvent plus se reproduire naturellement. Sans l'aide des laboratoires de l'empire, à la solde de l'empereur, qui sont les seuls à avoir la connaissance pour réaliser des fécondations in vitro dans ce monde ou toute technologie est bannie, toute progéniture sera dégénérée. On en rencontre deux dans l'intrigue, deux handicapés sévères qui sont en plus très mal considérés par la société car ils prouvent bien qu'il ne faut pas aller à l'encontre des règles.

Par ce biais l'empire contrôle tout les nobles, et toute la richesse. Toute personne se distinguant est récompensée par la modification de son ADN conduisant à l'ajout de longueur de vie -les humains normaux ne vivant pas plus que la normale. Mais du coup cette personne tombe dans les filets et ne peux pas non plus se reproduire sans l'accord de l'empire.
Tout fait qui va à l'encontre de l'empire et de ses règles fait bannir la personne et donc le condamne à l'infertilité et à la fin de sa lignée.

La famille impériale de son coté ne se reproduit qu'entre elle. Bien sur ses labos font tout pour qu'il n'y a pas de progéniture mal-formée, ni de trop forte divergence dans les gênes, malgré la consanguinité. Toute la famille ne sont donc quasiment que des clones. L'empereur, à 400 ans, a environ 150 enfants avec sa cousine, tous limite identiques. Parmi ses enfants, aucun n'aura le droit de se reproduire sauf celui qui lui succédera, qui épousera à son tour un autre membre de sa famille, et les rares se mariant pour la politique en dehors de la famille, mais qui du coup sortent de la lignée principale et de la succession.
D'ailleurs un mythe dit qu'un jour, à force de se reproduire entre eux, un clone parfait du premier empereur reviendra et cette période marquera le début d'une nouvelle ère pour l'empire.

Voila comment fonctionne l'empire. C'est une machine énorme qui est en mouvement. En fait la seule chose que j'ai un peu regretté dans l'ensemble était le fait qu'Hadrian est directement en lien avec l'empereur. du coup on zappe un peu les intermédiaires, la cour elle même. Et finalement en dehors de 2 ou 3 ministres qu'on ne voit que de loin, on n'explore pas vraiment ce microcosme que j'aurais aimé découvrir. En plus, comme on a zappé pas mal d'années entre les deux tomes, on ne sait pas vraiment comment Hadrian a réussi à rester dans ce nid de vipère si longtemps sans que personne ne l'importune.

Dans ce tome, pour ce qui est de l'intrigue, Hadrian se voit charger de l'éducation d'un des fils de l'Empereur, Alexander. Celui ci devient son écuyer.

Il est envoyé en mission directement après pour essayer de retrouver deux légions qui ont disparu. Celles ci étaient en transit dans une zone ou d'autres vaisseaux ont aussi disparus auparavant.
Mais la zone est immense, et rien que pour y aller ils vont mettre 20 ans. Que vont-ils pouvoir trouver si longtemps après la disparition? Les a-t-on envoyer dans une mission qu'ils sont censé échouer?

Même si les thèmes de la série sont très intéressants, j'ai moins apprécié ce tome que les deux précédents. Ça reste une bonne lecture, certes, mais j'ai tout de même eu plus de mal à l'avancer, lui trouvant des longueurs.

Le premier petit problème qui a mon avis est du à un problème d'édition a été un petit souci de répétitions. Une vraiment grossière (le personnage répète le même texte à 10 pages d'intervalle), que j'aurais pu oublier si ce même point précis n'avait pas à son tour été encore répété 3 fois dans la suite. du coup à chaque fois que je le voyais ré-apparaître je levais les yeux au ciel en me demandant pourquoi l'auteur insistait tant sur ce point. On n'a pas besoin de répéter un truc 5 fois de la même façon pour que le lecteur comprenne le message, c'est lourd. Après je ne sais pas si je l'aurais même remarqué si il n'y avait pas eu la première répétition qui elle était une vrai erreur (qui sera corrigée plus tard j'espère). Mais il n'empêche que ça m'a sorti du récit alors que ça n'aurais pas du.

Ensuite j'ai trouvé que le schéma général de l'intrigue était trop semblable au tome précédent. du coup j'avais des fois l'impression après coup d'avoir su à l'avance ce qui allait se passer (je précise, pas au niveau des découvertes qui sont originales, mais plus dans la façon dont ça affecte le héros sur l'ensemble du tome). du coup ce n'était pas aussi grave que si je l'avais remarqué pendant ma lecture, mais avec un minimum de recul le schéma me paraissait évident.

Heureusement, pour l'instant chaque tome nous fait découvrir certains points précis dans l'univers ce qui apporte toujours un plus à l'ensemble. le premier étant le peuple, le second les AI et les ennemis extraterrestres, et ce troisième tome parle de l'empire via l'empereur et sa famille, ainsi que le passé de l'humanité et ce que ça peut apporter comme éléments. La aussi on est sur un point que j'apprécie énormément. Chaque tome à son ambiance et est finalement très différent des précédents.

Du coup on ne peux pas dire que je me suis ennuyé, mais il y a quand même de nombreux moments ou j'aurais voulu que ça avance un peu plus vite car les héros consacrent de nombreuses années à la recherche et du coup il ne se passe pas grand chose.
Je précise que je ne considère pas ça comme un mauvais point, on est sur une série au long court de toute façon. C'était juste un peu plus marqué dans ce tome ci. Sans doute parce que les sujets abordés m'intéressaient un peu moins.

Autre point à noter, le fait que je ne suis encore totalement convaincue par le coté scientifique d'une des découvertes les plus importantes de ce tome ci. Après c'est vraiment un sujet de physique que je ne maîtrise pas donc ça ne sera pas à moi de décider si c'est vraiment possible ou pas. Je dit juste que ma suspension d'incrédulité n'a pas fonctionné. D'ailleurs je pense que c'est à cause de ça que j'ai trouvé le tout un peu longuet. Au lieu d'être passionné et de vouloir en savoir plus, ça m'ennuyait car tout venait confirmer ce coté la.

Et pourtant il y a plein de points très « avancés » niveau science qui sont présents dans ce livre, comme les AI qui contaminent les cellules vivantes, le fait de pouvoir transférer son « être » dans un autre corps … Ceux ci ne m'avaient pas gêné dans les tomes précédents. Sans doute parce qu'ils ont plus habituels dans ce genre de livres, ce qui n'est pas le cas du point en question. Celui ci a peut être juste été la découverte de trop.

Après on va dire que je suis un peu réservée, je ne suis pas totalement bloquée sur ce point. En plus pour l'instant on n'en n'est qu'à découverte de la chose. Attendons de voir comment l'auteur va faire évoluer les choses ensuite ensuite. Je pourrais changer d'avis si c'est bien fait.

Dans l'ensemble on avait aussi pas mal de grosses batailles. On peut également dire que sur ce point la aussi on est monté de niveau. Au départ Hadrian se battait presque seul, enfin si on peut dire qu'il est seul en ayant une compagnie de mercenaires avec lui. Mais maintenant quand on parle de combats, c'est plus des centaines de vaisseaux contenant des centaines de milliers de soldats chacun.

D'ailleurs c'est aussi un point qui m'a fait me questionner. Pourquoi envoyer autant de soldats pour des batailles dans l'espace ou lesdits soldats vont rester en stase car n'ayant aucune utilisé, si on sait que quand l'ennemi capture un vaisseau il va se servir des soldats comme garde-manger?

La guerre pour l'Empire est devenu un espèce de concours de superlatif ou les généraux pour se justifier et ne pas perdre leur vie si ils ne gagnent pas se sentent obligé d'envoyer toujours plus d'hommes sur place dans le style « j'ai fais tout ce que j'ai pu, mais ça n'a pas fonctionné ». Sans prendre en compte les vies perdues qui se comptent en millions pour chaque défaite.

Bref, un peu moins de waou sur ce tome, et un peu plus de lenteurs. Mais l'univers me plait toujours autant de par sa grandeur, sa variété, et le coté un peu théâtral de son ambiance. Je lirais le suivant avec plaisir quand il arrivera, ne serais-ce que par curiosité pour voir comment l'auteur va faire évoluer le point qui m'a moins convaincu.
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Christopher Ruocchio ne cesse de nous étonner par un style assez différent des précédents tomes. Je l'imagine parfaitement avec une grille et cocher tous les genres possibles à mêler à son récit. L'Empire du Silence avait posé les fondations du récit et nous avait entrainé avec Marlowe dans un voyage initiatique. le tome 2, Les Ténèbres hurlantes, était intéressant pour le lore et cet excellent huis-clos avec Kharn Sagara.

Ce troisième tome oscille entre les intrigues de palais, une éternelle quête d'informations aux huit coins de l'univers et se conclut sur une gigantesque bataille aux enjeux plus intéressants pour la narration et le développement de personnage que pour la progression de l'histoire.

Le Démon blanc est assez rafraîchissant en première partie avec une solide séquence à la Cour de l'Empereur William XXIII. Les interactions entre nos chouchous de la Compagnie Rouge et les divers individus de pouvoir qui essaient de leur mettre des bâtons dans les roues sont réussis. La séquence nous offrent quelques personnages à détester ou à aimer : cette satanée Impératrice, sa divine fille, ses nombreux enfants trop éloignés de la couronne pour être dangereux mais trop près pour ne pas être de parfaits imbéciles et évidemment, ces ministres qui n'ont pas d'autres préoccupations que de garder leurs fesses le plus près possible du Conseil impérial.
Cette première partie est aussi assez jouissive par sa belle scène de combat, bien-bien-bien-bien tendue, et une moment administratif assez intéressant puisqu'on y découvre un autre aspect de l'Empire. Oui, administratif, mesdames, messieurs. Sachons apprécier les petits plaisirs du quotidien.

La deuxième partie est selon moi le gros défaut de ce tome. On a l'impression d'un melting pot entre la découverte des ruines du tome 1 et le huis-clos du tome 2. C'est un peu lent, parfois un poil répétitif. le scénario avance, qu'on soit d'accord, le lore s'éclaircit un peu et on a le plaisir de revoir certains personnages qu'on avait pas vu depuis un moment. Malheureusement, le rythme interne refait tomber le cake. La partie a au moins comme bienfait de développer les personnages et leurs relations. Comme prévu, je suis irrémédiatement épris de Valka, malgré qu'elle soit une sorcière avec une vieille montre connectée incrustée dans la nuque. Elle lui donne le nombre de pas qu'elle fait dans la journée et lui permet de faire péter des drônes. Mais quand même, 10 000 pas par jour quand vous êtes dans un vaisseau spatial, c'est pas évident. Harlowe est, comme toujours, excellement développé : on retrouve ce côté très modéré, bienveillant, anti-spéciste (pour les plus taquins d'entre-vous, non, Marlowe n'a pas un brushing de cheveux gris) mais un peu conservateur du personnage, très propre à la culture de l'Empire. Les autres sont de bons sidekicks et parfois de vrais personnages secondaires de premier plan : Pallino, Siran, Aristedes (lui, je valide), Udax (il faudrait que les Irchtanis soient un peu plus utilisés!), Corvo. Alexander et Sélène m'interrogent déjà un peu plus. Hâte de voir ce que ça donne dans les prochains tomes avec ces deux-là.

La bataille finale est un beau point d'orgue. le scope est large et la séquence prend place à plusieurs endroits différents. L'impression d'immersion est réussie et celle de débordement est diluvienne. Je ne suis néanmoins pas convaincu par le boss de la bataille qui me rappelle un peu trop le boss du début-milieu du tome et Calvert, l'exalté de Sagara. En parlant de ça, les alliances et les apports technologiques renversent le cours de la guerre et mettent un peu les héros en péril, ce qui est bien plus satisfaisant. J'aime comment les Cielcins évoluent. Que ce soit dans la narration ou dans leur histoire, ils semblent aller plus loin plus vite que les humains.

Deux attentes pour les prochains tomes du coup : j'espère qu'on va vite arriver à la séquence tant teasée par Hadrian Marlowe lui-même et cette bataille ultime. J'attends de voir aussi ce que va donner ce nouvel outil à disposition de Marlowe, en espérant que Ruocchio sache en modérer l'utilisation, sans quoi ça va donner l'impression d'un constant deus ex-machina.

Conclusion : du très bon et un peu de plat, mais globalement, c'est rondement mené. Allez, on va se descendre quelques Triple du côté de Goddodin avant que ça ne dégénère.
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C'est dans le silence qu'on trouve la plus grande part de sagesse.
C'est un peu le mantra de ce tome qui nous plonge dans la poursuite de la quête de Hadrian Marlowe.
Auprès de l'empereur ou en expédition avec Alexander, un des fils de l'empereur-dieu, Hadrian va connaître encore de nombreuses aventures.

Un tome riche en rythmes et en actions avec peu d'atermoiements.
Hadrian a heureusement mûri et appris de ses erreurs. Ses actions sont plus mesurées.
Il se fait beaucoup d'ennemis à la cour où il est suspecté de vouloir se rapprocher du trône mais aussi auprès de la Fondation et de l'Inquisition. Sa légende de demi-mortel l'élève presque comme une religion à lui tout seul, ce que l'inquisition redoute.
Complots et tentatives d'assassinat se multiplient.
Ce tome m'a fait penser à Matrix et Hypérion par de nombreux aspects technologiques.

Le silence et ce qu'il représente est au coeur du récit. « Le silence nous confronte à notre véritable nature et nous sommes incapables de le supporter. Les ténèbres font surgir ce qui se trouve au fond de notre coeur. A condition de bien vouloir écouter. »

J'ai trouvé la fin un peu « wahou !!! » mais il faut bien que la légende de Hadrian Marlowe rayonne, tout comme le soleil qu'il est amené à détruire.

Vite, la suite !
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J'ai lu le démon blanc, le tome 3 du Dévoreur de soleil de Christopher Ruocchio, sorti en poche chez Bragelonne en novembre 2022. J'avais adoré les 2 premiers tomes mais j'avoue que les 1.000 pages de cette petite briquasse me faisaient un peu peur...

Nous retrouvons notre narrateur, Hadrian Marlowe, qui, depuis près d'un siècle, sert l'Empire en guerre contre les Cielcins. On l'appelle désormais le Demi-mortel. Mais cette popularité se révèle dangereuse pour lui et ses camarades, inspirant la méfiance du gouvernement impérial. Pris entre deux feux, Hadrian doit se battre contre plusieurs sortes d'ennemis, certains bien trop proches…

Il y a des nouvelles qui s'intercalent entre les tomes de la saga. Malheureusement, elles n'ont pas été traduites et j'ai eu la flemme de lire en VO, notamment celle qui se situe entre les tomes 2 et 3. Mais cela ne m'a pas gênée dans ma compréhension car les faits sont bien rappelés et expliqués.

A mes yeux, ce tome est scindé en 2 partie quasi égales. Durant la 1ère partie, nous sommes majoritairement sur la planète Forum, à la cour de l'Empereur et nous allons assister à bons nombres de complots et d'intrigues politiques qui vont tourner autour d'Hadrian et qu'il va devoir déjouer ou subir. C'était hyper intéressant pour continuer de comprendre tous les enjeux et contraintes auxquelles il est soumis. J'ai trouvé cette partie peut-être un petit peu longuette mais dès lors qu'on passe à la seconde partie dans laquelle notre héro part en quête de réponse, l'action revient au premier plan et s'enchaine jusqu'à la fin !

C'est dans cette seconde partie que nous avons le plus de révélations et j'ai adoré ! Des révélations sur l'histoire de l'Empire et de l'Humanité qui nous permettent de faire le lien avec notre époque actuelle. Dés révélations sur les Cielcins mais aussi sur les Observateurs. Et c'était réellement passionnant !

L'univers est vraiment très dense et très riche et cela se confirme au fil des tomes. C'est vraiment, à mes yeux, une saga de space opera géniale, autour d'un personnage que j'adore de plus en plus !
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Troisième tome de la saga. On reprend à nouveau 80 ans après la fin du précédent.
Cette fois-ci nous allons suivre Hadrian à la capitale, devenant un proche de l'Empereur, il va se retrouver dans un noeud de complots, et de manipulations politiques.
Après une mission impossible qu'il réussit, il a enfin de se rendre sur la planète des archives impériales, ou il va passer plusieurs années années chercher des informations sur les premiers contacts avec les Cielcins.
Partie un peu longue mais toujours intéressante.
Et la bataille finale (du volume, pas celle teasé par Hadrian le narrateur depuis maintenant 3 volumes), très bien construite, très prenante, et donnant une nouvelle compétence à Hadrian. On verra comment cela sera utilisé pour la suite !
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critiques presse (1)
Syfantasy
31 janvier 2022
Un livre peut parfois réussir à vous donner des frissons, à vous pousser à méditer et à vous éveiller. Un livre peut parfois vous amener à faire des choix et à réfléchir sur le sens de ce qui vous importe à l’instant t durant vos sessions de lectures. Ce troisième livre et la saga dans son ensemble font partie désormais de ces livres-étapes dans ma vie.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
C’est dans le silence qu’on trouve la plus grande part de sagesse
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