J'ai lu ce roman en période de coupe du monde de football et je n'ai pu m'empêcher de faire un parallèle entre l'écriture de
Françoise Sagan et ce sport. Elle me fait penser à un champion du dribble, qui ne ferait jamais une passe décisive, ne marquant aucun but. Elle fait une multitude d'arabesques, une démonstration de sa haute capacité à manier la langue française, mais cela me laisse froid, ne mène à rien. Il ne me faudra ni un an, ni un mois pour oublier ce livre.
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