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J'ai pris mon temps pour finir cette saga du Sorceleur en étant bien conscient que cet opus était le dernier, un an en fait, je pense qu'inconsciemment je retardais le moment des adieux, je sais déjà que Géralt de Riv va me manquer.
J'ai retrouvé cet univers avec beaucoup de plaisir, cette nouvelle aventure m'a passionné autant que les précédentes, il faut dire que Géralt va se faire dérober ses épées de Sorceleur, des épées dont la valeur n'est pas uniquement sentimentale, les retrouver va donc prendre des allures de quête, car un Sorceleur sans ses épées... Autant imaginer un chevalier sans destrier ou un barde sans son luth.
Comme un malheur ne vient jamais seul, les magiciens qui n'ont jamais caché leur antipathie pour Géralt vont une fois de plus se révéler dangereux et retors, sans parler des quelques despotes avec lesquels Géralt va devoir composer, heureusement Jasquier est toujours là, maladroit mais fidèle.
Pour le style, Andrzej Sapkowski est définitivement inimitable, si vous avez la chance, comme moi d'être fan de ce type de narration étonnante alors vous aimerez ce dernier tome.
Il n'y a plus qu'à espérer que l'auteur n'a pas tiré un trait sur le personnage qui a fait sa fortune et sa célébrité, histoire d'avoir encore le bonheur de se régaler.
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Il y a du bon, du très très bon, et du beaucoup moins bon dans ce tome "à part" dans la série du sorceleur, qu'il faudra bien que je finisse un jour (en livres, lol).

Après je l'ai lu dans une salle d'attente bondée cette après-midi où je suis passée 3H30 après mon heure de rendez-vous (foutus médecins spécialistes grmglblglblblbl...). Il m'a donc bien divertie et c'était pourtant pas gagné, vu que j'ai été très énervée, que j'ai chopé mal au dos, mal au c**, mal partout tellement que j'ai fini debout à tourner en rond dans le couloir, une fois Geralt et ses aventures à courir après ses épées expédié au rayon "souvenir".

C'est donc d'une humeur de dogue que j'écris cet avis. Qui sera quand même dans l'ensemble positif parce que quand on "oublie" tout ce qu'il se passe autour à suivre les démélés (fussent-ils futiles, mouhahaha que je suis drôle) d'un héros qu'on vénère ( je vénère Geralt, je suis fan absolue, tenez-en compte en lisant mon avis), bah on lui en est reconnaissante, sisi, je vous jure !

Alors oui, les rebondissements font un peu artificiels. En plus, j'ai pas trop compris quand se situent ces événements, je croyais que c'était avant (vu que c'est un tome 0), mais à la lecture je me suis grandement demandé si ce n'était pas après la saga principale...
Il y a parfois des répétitions mais je ne sais pas si c'est dû au traducteur ou à l'auteur.
Il n'empêche que les scènes de combats sont toujours kiffantes, je les adore, c'est ce que je préfère dans ces bouquins, et dans celui-là, il y en a plein, donc pour ma part j'ai pas été déçue. Et les personnages masculins sont toujours aussi bons, qu'ils soient marrants ou pas. Bon par contre côté filles ça pêche un peu, mais c'est vrai que dans ce bouquin ce ne sont pas les principaux protagonistes... J'aurais apprécié davantage de caractère et un peu moins de cédage facile, m'enfin bon... En plus la nana la plus intéressante est à peine abordée et pouf apu.

Bref, par rapport au reste des bouquins, ça manque un peu de "fond", l'histoire est légère, légère, comme une bulle de savon et ne vaut rien par rapport à la saga proprement dite. Bref, du bon et du moins bon, voilà...

Edit d'août 2019 : après lecture de la saga entière, une constatation s'impose : en tant que "scénariste", Sapkowski est nettement moins bon que ceux des studios CD Projekt Red. C'est un fait. Il a débuté dans sa saga un tas d'arcs narratifs jamais conclus au dernier tome. Dans quoi s'est engouffré, avec bonheur, le studio de jeux vidéo. Pour le plus grand plaisir des gamers, mais j'avoue que je peine à comprendre le grand succès des bouquins. C'est pas vraiment bon sur les derniers tomes.
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Attention spoil :

J'avoue avoir été moins emballé par cette que pour les tomes précédents.
Geralt de Riv se dirige vers une cité afin de profiter d'un repas gastronomique. Arrivé là, il se fera arrêter pour un obscur motif. Jugé et relaxé, il apprendra que pendant sa détention on lui a volé ses épées. Il sera contraint de participer à un jeu hautement politique, plein de faux semblants pour recouvrer et sa liberté et ses précieuses épées.
Ce roman est plein de tout. L'auteur a réussi le tour de force de nous ennuyer avec ses redites continuelles, ses interludes inutiles, son intrigue un peu molle et ses monstres sans saveur. Dans ce tome, Geralt est naïf à souhait, se faisant ballotter d'intrigue en intrigue, et même rouler dans la farine par Jaskier et son épée de carnaval ! Au final, je ne retiendrai que le personnage de l'aguarra, la femme renarde, qui nous renvoie aux monstres des premiers tomes et à la réflexion plus profonde du développement de l'Homme et de son industrie, chassant les créatures féeriques pour construire ses villes, dominant la Nature.
Un tome décevant.
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Le Sorceleur a été l'une de mes bonnes découvertes de l'année dernière, et a occupé une bonne partie de mon confinement. Aussi, j'étais bien partant pour un peu de rab : l'intrigue principale est bel et bien terminée, mais j'espérais retrouver le charme des premières nouvelles dans ce dernier opus.

Malheureusement, on ne va pas se voiler la face, ce tome n'est pas très bon. Certes, il y a tous les personnages que l'on attendait, des combats et des monstres, mais l'ensemble est très fade, et donne plutôt l'impression d'une commande forcée.

Géralt croise le chemin d'une magicienne puissante mais dangereuse, qui en fait son amant, tout en l'utilisant pour ses buts personnels. Une Yennefer bis donc, en beaucoup plus pâle puisque bien moins développée. À force de se répéter, ce schéma devient franchement lassant, d'autant qu'on comprend assez mal pourquoi toutes les magiciennes tombent systématiquement follement amoureuses de lui au premier regard : certes, il est original et spécial, mais étant multi-centenaires, elles doivent quand même en avoir vu d'autres. le manque de variété dans les relations entre les personnages est décevant.

Les monstres à combattre manquent également de relief. Dans les premiers tomes, on avait soit des références à des contes ou légendes célèbres, soit des questions écologiques qui les entouraient – le rapport de l'Homme avec la nature, chassant d'autres créatures de leurs lieux de vie pour construire ses villes, tuant des êtres doués de raison mais gênants le commerce, etc. Rien de tout ça ici, ce sont juste des machins néfastes à exterminer le plus rapidement possible. La seule exception (la femme-renarde) n'est utilisée que de manière anecdotique dans une sous-sous-intrigue.

Et enfin, l'histoire sombre parfois dans les pires clichés, tel le grand méchant qui raconte son plan machiavélique dans les moindres détails pendant des heures à sa victime impuissante, qui, ô surprise, profite de ce répit inespéré pour se libérer. Assez surprenant de voir ce genre de scènes, l'auteur ne m'avait pas habitué à de telles facilités.

Alors certes, on retrouve bien quelques combats épiques et des réparties savoureuses qui rappellent les bons moments qu'on a déjà passés avec Géralt, mais l'ensemble me donne quand même l'impression de vouloir exploiter un filon au maximum, et ce tome me paraît très dispensable, même aux plus grands fans de la saga.
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La saison des orages est mauvaise pour le sorceleur qui, victime d'une machination, perd ses précieuses épées et doit se sortir du pétrin pendant à peu près tout le bouquin.

La chronologie n'est pas évidente avec Sapkowski, un peu comme Gemmell avec Drenaï. Après 2 volumes réunis en un seul non numéroté, j'ai enchaîné avec celui-ci, pas numéroté non plus, qui doit se situer au milieu du précédent et qui a été écrit après tous les autres...

J'avoue m'être quelque peu ennuyé pendant une bonne centaine de pages où le récit peine à captiver, succession de situations pas bien prenantes, et puis ça finit par décoller mais sans jamais atteindre des sommets.

Ce ne sont plus là des nouvelles mais bel et bien une seule et même histoire...qui ressemble à des nouvelles collées ensemble ou à des quêtes qui se succèdent (le parallèle avec les jeux étant inévitable pour moi). Ce volume donne donc l'impression d'un bonus, encore quelques péripéties histoire de.. et que j'aurais peut-être dû lire en dernier. Tant pis.

Petite surprise, aux 3/4 du volume, on tombe sur l'histoire des femmes-renardes relatée dans le dernier comics The Witcher - La Légende.

Bonne initiative de la part de Bragelonne de rééditer l'ensemble dans une nouvelle formule avec de très jolies couvertures, je ne voulais pas des vilains poches dans ma bibliothèque. J'espère qu'ils iront jusqu'au bout cette fois, pas comme avec les couvertures imitation cuir.

Dans l'ensemble ce n'est pas une mauvaise lecture, j'aime toujours suivre les aventures du sorceleur mais il manque quelque chose.
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On poursuit une saga qui a des allures bien sympatoches.

Oui, en ce moment, je fais rarement des tomes solitaires. Et en prime, je fais régulièrement des lectures communes. Pour la saga de Sorceleur, vous avez le trio des Drôles de Dames composé de moi, Hélène et Claire. Et croyez moi, les réflexions autours de Géralt vendent du rêve. Parce que ce tome est aussi drôle mes amis. Figurez vous que Géralt s'est fait voler sa grosse épée par une séduisante sorcière autre que Yen (ce qui dans mon petit coeur ne passe pas, sachez le). Et du coup, on retrouve qui pour l'aider ? Jaskier, le compagnon de toujours qui va l'aider certes mais qui va quand même le faire un peu galérer comme à chaque fois. Et on va rencontrer le nain Addario pour mon plus grand plaisir.

Ce qui change par rapport au tome 1, c'est qu'on passe ici au style romanesque plutôt qu'au roman. Et j'adhère aussi comme Hélène. Pas que je n'ai pas aimé la composition du premier tome, je la trouvais vraiment sympa pour découvrir le personnage principal. Maintenant, j'avoue, le style roman pour continuer à suivre notre Sorceleur préféré mais à travers ses quêtes personnelles, c'est quand même mieux !


A la recherche d'une grooooooosse épée.

Donc, comme vous vous en doutez, je me suis encore bien marrée pendant tout ce tome. Il faut dire que Géralt fait régulièrement des bourdes. Et elles sont monumentales. Et en prime, il a une répartie et un sens de l'humour que j'apprécie particulièrement. Jaskier est toujours aussi succulent et remplit bien son rôle d'acolyte. Sinon que vous dire de plus ? On a toujours des gens qui prennent un sorceleur soit pour un monstre soit pour un assassin. Et le côté brut de décoffrage de Géralt nous permet de les remettre en place bien comme il faut.

La morale ? Au travers de ses aventures, Geralt nous pointe des choses qui sous couvert de fantasy vont peut être nous révolter alors que dans la vie de tous les jours, pas du tout. Et c'est bien cette mise en relief car on peut soit prendre la lecture comme elle vient pour son caractère divertissant ou se poser un petit peu après coup et réfléchir sur la vie, l'amour, la guerre, toussa. Et pour notre plus grand plaisir ;)
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Je rejoins une bonne moitié des critiques de ce dernier addenda de la saga mettant en scène le célèbre Géralt de Riv : grosse déception.

Fan de la saga romanesque et inconditionnel de la série de jeux vidéos éponymes, je suis non seulement resté sur ma faim, mais avec l'amère impression que cet opus n'a été écrit que sous la pression d'un éditeur avide de profiter économiquement de la licence.

Sapowski nous avait pourtant habitué à mieux...
Certes Géralt de Riv n'est pas de ces protagonistes qu'on dessoude facilement, à l'instar des personnages de Trône de Fer. Néanmoins, on avait rapidement perçu les faiblesses du mutant, et les difficultés qu'il pouvait rencontrer dans certaines situations. La saison des orages nous présente cette fois un Géralt diaboliquement surhumain, qui au delà même de ses qualités intrinsèques, y jouit de la faveur divine dans les situations les plus délicates.
Sur la base d'un scénario tiré par les cheveux à partir de la perte de ses épées (qui sont les plus précieux - et les seuls d'ailleurs - biens d'un sorceleur) pour nous faire sillonner Géralt tel un cabot écumant de rage aux quatre coins du pays, Sapowski nous livre une copie minimaliste et terne de son personnage emblématique.
Éternel serviteur de la gent féminine, Géralt tombe une nouvelle fois dans les rets d'une magicienne aux charmes aussi évidents qu'inaltérables (merci la magie), et fini tout bonnement manipulé comme un bleu.

Si la recette est bonne pour attirer le chaland, elle laisse un arrière goût qui a la fadeur de la déception.
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Je viens de me faire swordjacker!

Et nous voilà, enfin, arrivés à la lecture de cette ultime tome (pour l'instant, car si vous êtes attentifs à la scène SFFF, Sapkowski a annoncé qu'il écrirait d'autres oeuvres dans l'univers du sorceleur...). "La Saison des Orages", donc, ou l'histoire des mésaventures de Geralt dans la ville de Kerack au cours de mois pluvieux.
L'intrigue est finalement assez riche : commençant sur pas grand-chose, elle s'épanouit bien vite. On aura ici quelques classiques, pour les amateurs des blonds de Rivie : des intrigues politico-magiques, des amourettes moites avec une magicienne, des chants à la lyre, des créatures en tout genre et bien sûr, de la castagne.

La première question, émergeant spontanément, est la suivante: une narration maltraitant le lecteur est-elle une mauvaise narration ?
Sapkowski est un auteur définitivement atypique. Il l'est dans sa création d'univers, bien sûr, mais particulièrement dans sa façon de raconter une histoire. Ses intrigues sont pleines de non-dits, de digressions, d'ellipses temporelles, de discours volontairement contradictoires ou encore d'alternances de points de vue. le résultat est systématiquement déstabilisant pour le lecteur. "La saison des orages" ne déroge pas à la règle : on a bien du mal à comprendre où l'auteur veut en venir et ce vers quoi il dirige notre malchanceux Geralt.
Mais est-ce nécessairement un défaut ? Après avoir lu et apprécié les huit tomes de la saga (à l'exception du roman "Le Temps du Mépris", que j'avais trouvé excessivement déséquilibré et chiant), je ne peux pas répondre par l'affirmative. Au contraire, le storytelling de Sapkowski est un véritable atout de charme. On finit par apprécier ce flou scénaristique, ce délicat sentiment d'être balloté dans un univers qu'on a appris à arpenter courageusement.
En revanche, et ce malgré son succès, cela fait de la saga du Sorceleur une oeuvre de fantasy plus exigeante qu'il n'y parait et tout sauf "populaire" (on pourra toujours discuter de la définition de populaire... Dans son succès, elle l'est ; dans son intention, beaucoup moins).

Et deuxième question : quand lire "La Saison des Orages" ?
Serait-ce de façon contemporaine aux recueils de nouvelles? On s'y retrouvera d'un pur point de vue chronologique, puisque les évènements ici contés précèdent l'arc de Ciri et donc les différents romans. Ça serait néanmoins vous priver d'un très grand plaisir : épiloguer une saga qui le mérite.
L'idée de ce roman ne m'emballait pourtant pas initialement. Mais voilà, le temps fait son oeuvre et ce roman a fait à coup sûr point d'orgue de façon admirable. Il y a bien sûr le plaisir de retrouver notre taciturne héros dans une ambiance plus "légère" que le dernier roman. Il y a également le fait que Sapkowski est intégré ici quelques éléments appartenant à la "postérité", intervenant vers la fin de saga, et glissés ici en clin d'oeil. Et enfin, il y a cette ultime épilogue cantonné aux toutes dernières pages du roman. C'est absolument brillant d'intelligence et de subtilité, dans les traces directes de la fin des romans. Loin de gâcher le mystère et des différentes interprétations qui ont pu être faites, cela ajoute encore un niveau de complexité supplémentaire. Et punaise, ça transpire d'une espèce d'héroïsme que j'ai adoré (j'ai toujours été un grand sensible sur ces sujets-là!).

Vous l'aurez donc compris, je ne fais pas partie des sceptiques de ce "tome 8", à la fois archétype des romans du sorceleur et épilogue particulièrement divertissant. Très cool.
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Que voilà une sympathique manière de clore définitivement ma lecture de The Witcher. Dernier livre sorti, il revient un peu en arrière, et est en fait une sorte de quête additionnelle de Geralt, où l'on prend un peu plus le temps de plonger dans la tête de celui-ci. Fort en émotions, il est, je pense, un de mes favoris de la saga. Déjà, parce qu'on ne parle QUE de Geralt, là où les autres livres se partageaient avec Yen et Ciri, mais surtout, parce qu'on a enfin une vraie discussion sur l'impact que sa profession a sur lui, et ses relations avec les autres. C'est très bien foutu, et bien que la question soit soulevée quelques fois dans le reste de la saga, c'est ici beaucoup plus poussé. Cela permet véritablement de ressentir non seulement de la peine, mais une vraie tendresse pour Geralt, qui est, au fond, un chic type qui veut juste faire sa vie et gagne honnêtement son pain. Un livre pas nécessaire pour suivre l'intrigue, mais une jolie histoire. Parfois, c'est tout ce dont on a besoin !
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Après tout le monde, je commence enfin la série du Sorceleur avec ce tome non numéroté. On m'a conseillé de le lire après le tome 1, ce que je n'ai pas fait et personnellement je ne trouve pas ça très grave.
Nous suivons donc Geralt accompagné la plupart du temps par Jaskier, Julian de son petit nom. Comment dire que j'ai bien ri pendant ma lecture. Entre Geralt qui cumule les galères, la poisse le poursuit tel un fantôme et Jaskier fidèle à lui-même avec ses réflexions et son comportement. J'ai été servi.
Concernant l'histoire, l'action est vraiment omniprésente tout au long de la lecture. On découvre beaucoup de détails sur la politique du monde de Geralt, la vie des non-humains, les sorciers, les guerres, les monstres et autres dangers. Il ne fait pas bon d'être différent dans ce monde. Un autre point positif, les nombreuses descriptions des lieux, des villes et de la culture en général de cet univers. Ayant regardé la série avant de démarrer la version originale littéraire. Je suis curieuse de voir les libertés prises pour la version télévisuelle et de comparer avec les livres.
Pour conclure, cette première plongée dans les ouvrages du Sorceleur est un franc succès. J'ai été ravie de découvrir les récits originaux. J'ai passé un très bon moment, j'ai hâte de continuer la série avec le tome 1 qui attend patiemment son tour.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..
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La série est l'adaptation du célèbre jeu vidéo.

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