Le Sorceleur, tome 7 : La Dame du Lac

Quelque chose s'achève.
Quelque chose commence.

- Le progrès éclairera les ténèbres, proclama-t-il solennellement, car il est fait pour ça, comme, pardonnez-moi la comparaison, le cul est fait pour chier. Il y aura de plus en plus de lumière, nous aurons de moins en moins peur de l'obscurité et du Mal embusqué dans son ombre. Viendra le jour, peut-$être, où nous cesserons totalement de croire que dans cette obscurité le Mal est aux aguets. Nous nous rirons de ces peurs. Les jugerons puériles. Nous en aurons honte. Mais l'obscurité existera toujours, toujours. Et dans l'obscurité subsisteront le mal, les crocs et les griffes, le meurtre et le sang. C'est pourquoi nous aurons toujours besoin des sorceleurs.

Ciri, dit-il d'une voix douce. Je suis étonné de ce que tu dis. Je suis venu du bout du monde jusqu'ici pour te retrouver, te sauver et te protéger. Et toi, tu voudrais que je me sauve ?

Tout ce que nous voyons ou paraissons n'est qu'un rêve dans un rêve.
Edgar Allan Poe

Il en est de l'amour comme des coliques néphrétiques. Tant qu'on n'en a pas fait l'expérience personnellement, impossible d'imaginer ce que c'est. Et quand on nous en parle, on refuse tout bonnement d'y croire.

_Toi, tu pensais ! (Le lansquenet le regarda d'un air de pitié.) Et avec quoi, je me demande un peu ! Toi, le balourd, si tu avalais un cafard avec ta soupe, on trouverait plus d'esprit dans tes boyaux que dans ton cerveau !

Nan, mais ouaaaaw ce tome ? Cette fin ? Wtf ?
Alors là ! Je me répète, mais ça va être compliqué d'entrer dans les  détails vu que c'est un tome 7 et que je dois pas spoiler, mais qu'est ce que  j'en ai envie la !
En début de tome, je ne savais toujours pas où l'auteur voulait aller. Ce  tome m'a perdue, mais donne des indices puis m'a reperdue... bon. C'est parti  dans des divagations étranges et il y a beaucoup de péripéties que je n’ai  absolument pas compris. Enfin, j'ai compris ce qu'il se passait, mais j'ai pas  compris pourquoi c'était là.
En fait encore une fois je ne pourrais pas résumer ce tome tellement  c'était un peu wtf, mais on a enfin une finalité, un résultat, mais PARDON, MAIS  CETTE DERNIÈRE PARTIE ?!
Entre les morts (je m'en remet toujours pas comment la mort de certains de  mes perso préférés sont expédiés en 3 lignes mdrr), la révélation GIGA CHELOU et  la fin que j'ai hem, vu défiler sous les yeux (enfin dans mes oreilles) sans  trop savoir ce qu'il se passait...
Entre ça et les péripéties des magiciennes, les trucs avec les elfes, nan,  mais je saurais pas comment en parler tellement c'était dense et qu'il se  passait beaucoup de chose.
Brefouille, je vous conseille cette saga même si j'imagine qu'il faut aimer  le style de narration particulier de l'auteur.
J'ai encore le tome 8 à lire, je ne sais pas vraiment ce qu'il va contenir,  mais j'ai hâte !

Il y a plusieurs Gobelins de ce type à Beauclair. Le maître qui les a tissés était un véritable artiste. Mais il buvait terriblement. C’était un artiste, vous comprenez.

La guerre exige des victimes. La paix, ainsi que nous le constatons, aussi.

On prenait plaisir à raconter ces contes. On se réjouissait de la fiction fabuleuse. Car, dans la vie, on le savait bien, les choses en allaient autrement.
Les légendes grandissaient. Le public buvait littéralement les paroles pleines d'emphase du conteur qui parlait du sorceleur et de la magicienne. De la tour de l'Hirondelle. De Ciri, la sorceleuse à la cicatrice sur le visage. De Kelpie, sa jument morelle enchantée.
De la Dame du Lac.
Ça, c'est venu plus tard, de nombreuses années plus tard.
Mais d'ores et déjà, telles les semences qui gonflent après une pluie chaude, la légende gonflait et se répandait dans la contrée.