Isabella Bird, femme exploratrice, tome 5

C'est quand je côtoie la mort que je me sens enfin vivre !

Montrer les civilisations sans fard, au-delà des frontières, au-delà du temps, en faire un patrimoine commun à tous les hommes, c'est ça [...] ma mission en tant qu'aventurière !

A votre teint, je crois deviner que vous ne dormez guère, je me trompe ? Je suppose que vous riez moins souvent qu'auparavant, aussi. .. et que parfois, les larmes vous viennent aux yeux sans raison ? Plus rien de ce que vous voyez ne vous émeut. .. C'est comme si les couleurs avaient littéralement disparu de votre monde, n'est-ce pas?

Nous ne sommes pas riches au point d'acheter des livres qu'on ne lit pas !

Pour qui le vit, le quotidien est une évidence ; personne en prend le temps de s'y arrêter ! Pas même lorsque ce quotidien est condamné à disparaître !
Ces coutumes qui dorment dans des contrées reculées, seul le voyageur qui pose dessus un œil étonné est en mesure de les consigner. Montrer les civilisations sans fard au delà des frontières, au delà du temps, en faire un patrimoine commun à tous les hommes, c'est ça, Ito, ma mission en tant qu'aventurière !

Au terme d'un rude trajet.. derrière ce splendide paysage.. un monde inconnu s'ouvre à moi ! C'est pour ça.. que j'aime autant les voyages !

Montrer les civilisations sans fard... au-delà des frontières... au-delà du temps... en faire un patrimoine commun à tous les hommes... c'est ça, Ito, ma mission en tant qu'aventurière !

Le destin, c'est avec sa propre volonté qu'on le forge ! !

Ces coutumes qui dorment dans des contrées reculées, seul le voyageur qui pose dessus un oeil étonné est en mesure de les consigner !

Certaines rencontres sont impossibles quand on cherche à se prémunir du danger !