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3,71

sur 576 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Tous les matins en me levant, je pense à ce qu'il va se passer. Peut-être qu'aujourd'hui sera la dernière journée de ma courte Vie?
Je voudrais lui dire que je l'aime, à ma mère. Pourquoi est-ce aussi dur de dire ces quelques mots ? ... Mots d'ados, en chimio. Pour Richie, ni larmes ni pathos, mais un hymne à la Vie!


Richard, Casey "l'incroyable garçon mourant" a le syndrome DMD :Dieu Me Déteste. Il a 18 ans et rêve de voler un baiser à Sylvie, son amoureuse de 15 ans, couchée à quelques pas de sa chambre d'hôpital!


C'est Halloween ! Personne; ni les infirmières, ni le fauteuil roulant, ni sa boule à zéro ne l'empêcheront de vivre...
Déguisés Sylvie et moi, " le visage peinturluré genre le masque de la mort", on poussait des cris de hyènes démoniaques..;" dans nos fauteuils roulants, devant les ascenseurs...


Richard raconte sa vie avec drôlerie et truculence...
La jeune infirmière, "ravissante avec ces taches de rousseur sur le nez" et "un corps qui épousait à merveille le polyester de son uniforme" me lave avec un gant de toilette chaud et savonneux" et "je me retrouve avec une érection comme la Tour Eiffel...":)
-" Whaou, dis donc! "fait l'infirmière, en s'enfuyant.


"J'ai fait une liste de tous les trucs dont je n'aurai pas à m'inquiéter – trouver du boulot, élever des enfants ingrats, divorcer, me faire opérer des dents de sagesse, surveiller mon cholestérol -, et maintenant je sais que je peux y ajouter avoir du bide et me rabattre une longue mèche sur le crâne pour planquer les trous. Ça a beau être bizarre, ça me fait du bien."


Chez moi? "...panneau DÉFENSE D'ENTRER et même un verrou. Claquer la porte au nez de qui on veut et traîner peinards dans notre petit sanctuaire, bouclés à double tour. Enfin libres, bon sang, enfin libres!"
Mais ma chambre, ici?
"Alors on est là, en vitrine, nuit et jour. Il y a de quoi faire chialer un ado.
Et pas la peine d'essayer de coller un poster ou d'accrocher une serviette de toilette sur la vitre. C'est le meilleur moyen d'attirer illico une armée d'infirmières excédées et de psys sur les nerfs."


"Devenir parent signifie-t-il systématiquement oublier ce que c'était d'être un adolescent ? "Jade ( mot d'ado en chimiothérapie)
L'auteure Hollie Simmons voulait que son livre "fasse honneur aux ados impertinents et pleins de Vie, qu'elle a rencontrés, dans les hôpitaux."
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J'ai lu d'une traite ce petit livre, sourire aux lèvres et coeur serré.
Un livre poignant car le cancer s'est attaqué à Richard et Sylvie, deux jeunes ados à qui la vie devait sourire, et se retrouvent finalement à traîner leurs guêtres dans un centre de soins palliatifs.
Richard, « l'incroyable garçon mourant », raconte son histoire, avec drôlerie et vitalité. Car lui et Sylvie, son amoureuse à qui il rêve de voler un baiser et peut-être plus, n'ont pas dit leur dernier mot. Phase terminale ou pas, ils jetteront leurs dernières forces pour s'aimer et trouver un chemin de traverse leur permettant d'échapper à cette malédiction.
Des parents anéantis et démunis ; des soignants complices et sermonneurs ; un endroit confiné, recroquevillé sur lui-même, où l'on chuchote et respire à peine… Richard et Sylvie vont y mettre un bousin de tous les diables. Ils vont ouvrir grand les fenêtres, ils vont chanter, rire et se révolter…
Ce livre, c'est une formidable ode à la vie ; c'est un cri mêlé de bonheur et désespoir.
Quel tour de force de nous faire rire sur une histoire aussi tragique et injuste que la mort de deux gamins.
Un livre qui nous fait réfléchir aussi sur ce temps qui s'écoule si vite et qu'on ne devrait pas gaspiller.


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C'est l'histoire d'un ado cancéreux en phase terminale qui sait qu'il ne sortira pas vivant du service de soins palliatifs où il séjourne.

Dit comme ça, ça fait un peu peur, non ? Vous vous attendez surement au genre de récit larmoyant qui tombe dans le pathos ?

Eh bien, vous avez tout faux. Ce texte est lumineux, l'U M I N E U X !

Oui tous les patients de l'hôpital sont atteints du syndrome DMD, comme le nomme le jeune Richard Casey (Dieu Me Déteste). La mort a beau être omniprésente, en arrière ou en premier plan selon le moment, cette fiction est pourtant un récit qui grouille de vitalité.

Fourmillant d'optimisme et regorgeant de vigueur, c'est le genre d'histoire qui vous touche en plein coeur et vous tord les tripes tout en arrivant à vous faire sourire jusque derrière les oreilles et vous faire rire en suivant les aventures de Richard.

Parce qu'il va vivre des moments inoubliables du haut de ses 18 ans moins une semaine. Lui et ses acolytes des soins palliatifs ne sont pas très fringants, c'est le moins que l'on puisse dire… On découvre au passage le quotidien de ces malades pour qui la moindre action prend tout de suite des allures d'expédition.

Mais malgré ça, ce roman irradie de chaleur. Chaleur humaine ou des sentiments, chaleur de cette volonté de profiter des moindres instants. Comme le dit ce jeune personnage, le plus important n'est pas la souffrance, mais de ne pas perdre une journée de vie.

Ce livre est une leçon d'optimisme et de force, vous dis-je ! Jamais l'auteure ne tombe dans la complainte et ne se met à geindre sur le sort de ses personnages (même si elle n'hésite pas à appeler un chat un chat).

De véritables héros du quotidien qui font preuve d'une étonnante insouciance et d'une certaine désinvolture face à la maladie. Ces héros qui veulent oublier leur quotidien et leurs faiblesses pour encore s'amuser, s'aimer et vivre une dernière fois. Jusqu'à se mettre en danger.

Car il n'y a pas que Richard. Tous les personnages, sans exception, sont d'une incroyable densité, d'une étonnante épaisseur, qu'ils soient présents tout au long de l'histoire ou simplement de passage.

Ayant écrit à la première personne, l'auteure Hollis Seamon use d'un ton plein d'impertinence, parfois iconoclaste. Tout à la fois irrévérencieux et profondément respectueux, drôle et d'une empathie qui transpire de chaque mot. Certaines scènes sont crues (eh oui ça, parle de sexe), l'auteure ne tombant pas pour autant dans une bluette (fort heureusement).

Ce livre est un cri d'amour pour ses morts en sursis, un cri d'amour aussi pour ce personnel médical omniprésent, plein d'abnégation malgré la lourdeur de la tâche.

Hollis Seamon sait de quoi elle parle. Elle a passé de nombreuses années dans les couloirs de ces services hospitaliers pour rendre visite à son propre fils. Cela n'en donne que plus de force au message de ce roman qui nous rappelle que vivre c'est exister, éprouver et expérimenter même dans les pires moments.

Je sors profondément touché par cette lecture inoubliable, et réellement grandi.

Le jeune Richard Casey est vivant. Vivant à l'intérieur de mon esprit, vivant pour toujours.
Lien : http://gruznamur.wordpress.c..
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Il y a quelques mois, la critique enthousiaste d'Eric76 m'a donné envie de lire ce livre. Je ne me sentais pas prête à ce moment-là, la perte de mon neveu de 19 ans à cause du cancer, m'était toujours douloureuse.
C'est pour lui que j'ai lu ce livre, pour sa jeunesse envolée et les moments précieux passés ensemble. Je sentais que j'allais être émue par cette lecture et ce fut le cas.

L'action se passe dans une unité de soins palliatifs où se trouve Richard 18 ans. Il sait qu'il ne fêtera jamais ses 19 ans et utilise quelques instants de répit pour profiter de ce que lui reste à vivre. On le suit pendant 8 jours dans ses aventures qui nous font souvent sourire.
Quel personnage drôle et attachant cet adolescent !

J'ai adoré ce roman lumineux plein de chaleur, d'humanité et d'empathie.
Puissant et émouvant, un magnifique hymne à la vie.
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Ma rencontre avec ce livre ? D'abord un coup de foudre avec cet orange, ce titre génial et le nom de l'édition "La Belle Colère". Ensuite ? J'ai déchanté : encore une histoire d'ado cancéreux (oui, j'ai lu "Nos étoiles contraires" et cela me suffisait). Mais bon, avec une couverture pareil, j'ai fait l'effort et me suis lancée dans la lecture.
Et bien m'en a pris ! Richard et Sylvie sont drôles, vivants, normaux, pénibles, font des bêtises, et pas qu'un peu, des ados quoi ! En plus drôle, en moins rabat-joie. Je me suis attaché à leur personnalité, à leur amour. Et j'ai versé mes larmes. Ben c'était couru : ces gamins sont en soins palliatifs tout de même. Je ne voulais pas les quitter, je ne voulais pas qu'ils partent. Mais bon, l'auteur n'a pas écouter mon souhait, et c'est sûrement mieux comme ça.
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Richard multiplie les hospitalisations depuis ses onze ans et est aujourd'hui sur le point de fêter son dix-neuvième anniversaire. La chimiothérapie, les rayons, les opérations douloureuses,... il ne connaît que trop bien. Mais la guerre contre la maladie touche à sa fin et le jeune homme vient d'être transféré au service des soins palliatifs où les patients en fin de vie s'en vont généralement en moins d'un mois. L'intrigue démarre à la veille d'Halloween et bien que le service soit majoritairement peuplé de patients âgés, Richard et Sylvie - quinze ans - décident de passer à l'action ! Ils vont cumuler les farces débridées et les actes un peu fous au cours des jours suivants, et nouer des liens bien plus forts que de l'amitié. Mais voilà, Richard et Sylvie sont tous les deux en phase terminale d'un cancer et les soignants sont bien décidés à les protéger de tout... y compris d'eux-mêmes. Sans parler du père de Sylvie, rongé par l'alcool et l'impuissance, qui veille sur sa fille comme un dragon sur ses pièces d'or.

Il est assez difficile de parler de ce genre de roman. On ne se sent jamais en mesure de trouver les bons pour décrire les émotions qu'une telle histoire éveille en nous. Richard est aux commandes de la narration et on a ainsi l'impression de parcourir un témoignage ou un journal intime. Il nous parle de son quotidien, de ses doutes et de ses peurs, de ses envies et de ses frustrations. On entend chacune de ses pensées et il s'en dégage une force incroyable. La force d'un jeune homme à l'agonie qui refuse de faciliter le travail à la Grande Faucheuse. Chaque fois que son corps le lui permet, il sort le grand jeu et n'hésite pas à enfreindre les règles pour parvenir à ses fins. Ses objectifs sont toujours si simples et authentiques que l'on ne peut que se ranger à ses côtés et avoir envie de le voir réussir. Et tant pis pour les conséquences ! Après tout, il n'a malheureusement plus rien à perdre... de virées improvisées à l'extérieur en conquêtes amoureuses éperdues, Richard trouve en son oncle Phil un allié extraordinaire. Ce dernier est le mouton noir de la famille, mais derrière son comportement extravagant se cache un grand coeur - généreux, sensible et artiste. Leurs plans fantasques sont d'autant plus faciles à mettre en oeuvre que la mère de Richard est clouée au lit avec une mauvaise grippe.

Richard ne mange plus, ne peut plus se doucher seul. Il ne peut plus lire, ni se servir d'un ordinateur. Chaque jour qui passe lui vole un peu plus d'énergie et d'autonomie. Il doit affronter un quotidien bien morne et a désespérément besoin de ces frasques pour se sentir vivant. Car c'est bien cela qui rend ce roman si poignant. On doit tous mourir un jour, mais quand cela arrive si tôt, on ne peut que crier à l'injustice. Et quel sort plus terrible que de pouvoir chiffrer avec précision le temps qu'il nous reste ? Que de voir ce sablier déjà presque entièrement vidé quand le verdict tombe ? Les soignants sont également mis à l'honneur et ils le méritent bien ! On sent à quel point il est éprouvant de travailler aux soins palliatifs, là où il n'y a plus d'espoir, plus d'autre échappatoire que la mort. Et pourtant, ils font chaque jour acte de présence. Ils enchaînent les services et sont sincèrement peinés par chaque décès. Il y a la chef de service qui paraît stricte et inabordable, Jeannette l'infirmière qui se laisse facilement émouvoir au risque même de s'attirer des ennuis, Edward l'infirmier gay qui passe la moitié de son temps à réprimander Richard et l'autre moitié à chercher comment lui venir en aide,... Et la Harpie, cette vieille femme qui insupporte Richard et Sylvie en jouant de la harpe à longueur de journée face à l'ascenseur.

J'ai souvent eu le coeur serré devant la douleur des familles, car comme le souligne si bien Richard, il voudrait coûte que coûte protéger sa mère mais il est conscient de rester celui qui la blessera le plus dans la vie. La complexité des rapports humains est parfaitement retranscrite par l'auteur ; rien n'est jamais tout noir ou tout blanc et à un mal similaire, deux personnes peuvent réagir de manière complètement différente. La plume de Hollis Seamon donne vie à des personnages hauts en couleurs et nous raconte une histoire émouvante sans jamais verser dans la pitié ou le mélodrame facile. Et si le sujet est on ne peut plus grave et sérieux, les boutades tour à tour cyniques et bon enfant de Richard viennent assurément alléger l'ambiance pour nous faire passer du rire aux larmes, et vice-versa. Ce roman est une ode à la vie, un trésor d'humanité, de compassion et d'empathie, que je ne peux que vous conseiller. Même s'il en existe d'autres sur un sujet identique, celui-ci possède un petit quelque chose qui le rend unique et incontournable.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Je dois bien avouer que j'avais un peu peur de commencer ce livre !
Je suis restée sur la réserve une bonne partie du bouquin, de peur d'être trop touchée par cette histoire, d'en sortir malheureuse ...
Âme (trop) sensible, maman de deux ados, touchée de près par le cancer ... Je me disais que j'allais le terminer la boîte de Kleenex scotchée sous les yeux !
Mais finalement, j'y suis allée franco, et il en valait la peine !

Alors oui j'ai eu la larme à l'oeil (pas autant que je le pensais !) mais aussi, et surtout, le sourire aux lèvres.
On est loin de l'histoire mélo-pathos-guimauve qui regorge de bons sentiments et de paroles dramatico-pleurnichardes !
Dans ce bouquin, il y a surtout cette p... de Vie, et c'est elle qui mène la danse ... Pas la grande faucheuse !

Il y a des livres que j'aime appeler les "livres-bonbons" ! Ceux qu'on laisse doucement fondre dans la bouche, ceux que l'on aime déguster et qui nous laissent un doux souvenir ... Celui-ci en est un. Un peu différent. On ne le déguste pas ... On le prend, on le dévore même si on sait qu'il va nous laisser un goût amer dans la bouche. Et on sait qu'il ne va pas nous lâcher avant longtemps ce petit goût ...
Mais franchement, qu'est-ce que ce petit goût amer comparé au plaisir d'avoir découvert cette petite pépite d'humour et de leçon(s) de vie !?

J'ai lu qques critiques et notamment celle de Gruz qui reprend parfaitement tout ce que l'on peut dire sur cette pépite ...

http://www.babelio.com/livres/Seamon-Dieu-me-deteste/565923/critiques/548615

Belles lectures ...
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Encore un livre sur le cancer, sur les ados cancéreux en phase terminale, me direz-vous... C'est vrai que c'est un thème très "à la mode" pour les livres en ce moment, mais aucun auteur ne l'aborde de la même manière.

C'est d'abord la couverture qui m'a attirée: ces ECG déformés, le titre en capital. Puis c'est ce titre Dieu Me Déteste qui m'a intriguée: que pouvait-il bien se cacher derrière? Certes, je me doutais que ce livre aborderais la maladie et la mort, mais je ne pensais pas que ça serait encore un livre sur le cancer.

Après avoir lu Nos étoiles contraires, je me suis que la boucle était bouclée et que ce livre ne serait qu'un vaste remake, avec des personnages différents et des cancers différents...
Et puis, je l'ai lu quand même. Et je ne le regrette pas.

On suit les aventures de Richard Casey, 17 ans, atteint du syndrome DMD, au sein du service de soins palliatifs: ses sorties qui dérapent avec son oncle Phil, ses premiers amours avec Sylvie, une autre patiente du service, ses chasses aux indices dans les dessins de l'oncle Phil sur la prochaine virée. Jamais de longue description de la maladie et de l'état de santé qui se dégrade. Ce livre est plein d'humour, d'autodérision. Cependant, la fin m'a un peu déçue. Habituellement, j'aime quand tout n'est pas dit clairement à la fin. Mais là, je m'attendait tellement à ce que ce soit écrit noir sur blanc qu'il mourait que j'ai été un peu trop surprise par cette fin qui est des plus floues sur le destin de Sire Richard Casey.

Une lecture plaisante que je recommande :)


Challenge variétés 2015 7/52
Un livre choisi pour sa couverture
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Richard Casey est un jeune homme qui va fêter ces dix-huit ans dans quelques jours mais c'est un garçon qui est condamné parla maladie, il lui reste très peu de temps et dans l'hôpital où il se trouve au troisième étage, soins palliatifs à quelques pas de sa chambre il y à Sylvie, une jeune fille qui est également malade.
On va vraiment suivre ces deux adolescents, leurs familles et l'univers médical pendant quelques jours seulement, mais quelle intensité. Un vrai hommage au corps médical et aussi aux parents qui vivent cet enfer.

Un roman bouleversant, émouvant et en même temps joyeux et remplit d'espoir.
Hollis Seamon apporte vraiment sa touche réaliste à cette fiction, on apprend qu'elle a fréquenté les hôpitaux pour son fils. Elle n'hésite pas aussi à introduire des passages très drôles et quelquefois désinvoltes mais c'est fait avec talent.

Et pour finir, longue vie au roi !
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Bon,
Lecture très émouvante. Beaucoup d'émotions se bousculent en moi pour l'instant. Confinement oblige on pense plus et on fait moins ( en tout cas pour ma part les fins de semaines). Cette lecture a fait jaillir tout d'un coup.

Livre choisi en seconde main à cause du titre. Dieu me déteste. Je voulais savoir pourquoi! :D

C'est Richard qui nous raconte son séjour aux soins palliatifs. le point de vue de cet ado est réaliste et biaisé par sa jeunesse. Il dépasse les bornes des limites et rend chèvre ses infirmiers!

A lire, peut-être pas dans un moment de déprime... :)
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