AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,83

sur 15 notes
5
1 avis
4
3 avis
3
3 avis
2
0 avis
1
0 avis
Dans ce bouquin, nos trois héros masculins sont hors norme, des bêtes de sexe, à côté d'eux je suis un puceau de la luxure, je suis loin de toutes leurs prouesses "siffredienne", et pour le coup ce roman m'a donné plein de complexe....

C'est bien écrit, original, jamais glauque, parfois drôle, un poil de bite vulgaire et souvent bandant, mais jamais transcendant...

Pourtant c'est criant de vérité bordel de cul : les hommes dépendent de leur bite pour affirmer leur pouvoir, qu'ils sont persuadés de détenir, alors que bon hein, je vais pas vous faire pas un dessin...Si tu ne sais pas demande à ta femme tiens.

Enfin bref ça parle de pines, de chattes et de baise...


Quand je me promène avec Choupette :

Moi : eh Choupette, je luis planterais Kiki à celle là

Choupette : tu planterais Kiki dans tout ce qui a des nichons et des cheveux longs...

Moi : Mouais c'est pas faux, ma main au calbute que je pourrais me serrer plein de nénettes si j'étais un putain de célibataire...

Choupette : Mouais mais tu es un putain d'obsédé pas célibataire du tout, donc c'est pas possible... Mais tu peux regarder...

Moi : roooo fais moi un ti bibi d'amour tiens...

Choupette : me touche pas le nibard hein...

Moi : Mais je suis tout excité bordel, allé fais pas ta pute...(une expression très en vogue entre nous)

Petit, mon père, un homme à la culture proche du néant intergalactique m'éduqua d'une manière très particulière qui me marquera à vie :

Ma biche, ma biche (mon père m'appelait ma biche) , viens voir les nichons de la nana à la télé, dépêche, dépêche...

A l'époque, il y avait une meuf à poil qui se trémoussait sous une douche dans une pub sur deux, et à cette époque j'avais 4 ans, donc j'ouvrais grand les yeux, émerveillé par ce spectacle partagé entre un père et son fils...

On oubliera la classe inexistante de mon père et nous nous pencherons sur les effets de son éducation

Bon alors d'après Choupette je suis un obsédé du cul, je plaide coupable j'aime Choupette et Kiki aime les femmes nues ou pas.

Alors comme ça, on dirait que je suis un psychopathe sexuel perpétuellement en rut. Et bien Pas du tout, je suis un homme timide, poli et plutôt discret, Je n'aime pas le vulgaire, le glauque et les endroits trop insolites, je suis très pudique, aucune allusion salace en présence d'une femme, aucune blague à deux balles, je respecte les femmes jusqu'au bout du Kiki, il ne commande que mes envies et mes fantasmes mais pas ma conduite :

j'admire discrètement sans insistance, pas de compliment pathétique ou de plan drague minable

je suis simplement un romantique sans romantisme qui aime le cul et les femmes nues...

A plus les copains
Commenter  J’apprécie          525
Quel est le point commun entre un garagiste mexicain, un hardeur argentin et un puceau catalan de 47 ans? le coup de sang, celui du sexe, de la déraison, de l'obsession de la performance. Et quand leur sexe les conduit sur les mêmes chemins, la rencontre est détonante.
Bulmaro Diaz était un paisible garagiste de Veracruz jusqu'à ce qu'un soir au club Nereidas son regard se pose sur la sculpturale chanteuse dominicaine du groupe La Tremenda Guaracha. Adieu femme, enfants, affaire prospère...Terrassé par la beauté de la mulâtresse, obsédé par son corps, il suit Romelia à Barcelone où il vend du faux Viagra pour survivre. Sa route va croiser celle de Ferran Miralles, un cadre catalan incapable de faire l'amour et de nouer une relation sentimentale depuis qu'un problème d'érection lui a valu d'être la risée de son collège. Voyant dans la consommation de Viagra un remède à tous ses maux, il se lance dans une course effrénée à la performance, bien décidé à se venger de toutes les femmes. Quant à Juan Luis Kalow, acteur porno argentin connu pour exercer un contrôle absolu sur son pénis et sur ses sentiments, il est à 39 ans nostalgique de ses années d'étudiant en génétique moléculaire et souhaite terminer sa carrière à Barcelone grâce à la société de production Rêves Humides. Sa rencontre avec la belle Laïa va bouleverser sa vie et la relation idyllique qu'il entretenait avec son braquemard.
Comme le mentionne la quatrième de couverture, Coup de sang dépeint les splendeurs et les misères de l'orgueil masculin. Aurais-je lu le roman, s'il n'avait pas été écrit par Enrique Serna? Non. L'aurais-je regretté? Oui. Cette incursion dans la sexualité du mâle hispanique est une satire féroce de la virilité, un dézingage en règle du mythe de la masculinité (et c'est plus amusant que chez Bourdieu). Drôle, délirant, remarquablement écrit, le roman offre évidemment de nombreuses scènes de sexe assez chaudes. Et certaines sont hilarantes. Les dialogues entre Bulmaro Diaz (la raison) et son pénis (les pulsions), alias "le caudillo chauve", qui passe son temps à "bousiller l'élastique du slip" avec sa "tête toute rouge comme une cerise" m'ont bien fait rire et pas mal interpellée (Quelle chance d'être une femme et de ne pas être soumise aux caprices de son service trois pièces!) . Mais le roman montre surtout la souffrance provoquée par l'amour, la peur d'être rejeté, la pression exercée sur les hommes par la tyrannie du plaisir. Avoir un contrôle absolu sur ses érections est illusoire. Quand les personnages débandent, le monde s'écroule, et le doute s'installe: "Il était tellement accablé qu'il s'enferma dans la salle de bain pour pleurer, tel un mutilé de guerre à la sortie de la salle d'opération." C'est par le biais du personnage de Miralles que Serna symbolise le mieux les dérives du sexe et de la domination, quand la course à la performance sexuelle bouleverse les rapports humains jusqu'à la folie. Et les femmes dans tout ça? Mariées, délaissées, divorcées, riches, pauvres, étudiantes, immigrées, touristes, romantiques, cyniques, mutines, elles sont souvent perçues à travers le prisme déformant des obsessions masculines. On retrouve donc tout ce que l'on aime chez l'écrivain mexicain, dont la plume caustique à souhait a déjà provoqué bien des remous dans son pays: la cruauté du trait, l'art consommé de saisir les travers et les bassesses de ses contemporains, l'humour, le goût de la satire mais aussi une grande tendresse pour ses semblables, dépeints tels qu'ils sont et non tels qu'ils devraient être. Avec Coup de sang, Enrique Serna nous embarque dans un voyage déjanté et inattendu, avec une belle surprise en guise de point final. Ne passez pas à côté.
Commenter  J’apprécie          404
« Peut-on être libre quand on est esclave de sa verge ? »

Le mexicain Bulmaro sait que c'est impossible. Il n'hésite d'ailleurs pas à apostropher le « ravisseur de sa volonté » : « Comme ça, au repos, on dirait un gentil mouflet obéissant, mais je te connais bien. Comme tous les gosses, tu es un tyran en puissance, à la moindre négligence tu fais un coup d'état. Dès que tu vois passer un joli cul dans la rue, tu te mets à hurler des ordres comme un adjudant : peloton, garde à vous ! Au pas de course jusqu'au précipice ! » A cause de cet adjudant autoritaire, Bulmaro a quitté Veracruz, sa femme et ses enfants, pour suivre à Barcelone une chanteuse de salsa au corps de rêve. Et même si elle lui en fait voir de toutes les couleurs, le traite comme un chien (« A force de se laisser insulter et maltraiter, son amour-propre était devenu insensible comme le bras d'un junkie »), il suffit qu'il s'installe entre ses cuisses pour tout oublier et perdre la raison.

Ferran, lui, a un autre problème lié au sexe. Incapable de tenir une érection depuis une expérience catastrophique à l'adolescence, ce barcelonais de 47 ans est toujours puceau. Mais grâce au Viagra, Ferran semble avoir enfin réglé son problème d'impuissance. Il multiplie les conquêtes et cherche à évacuer des années de rancoeur et de frustration. Peu à peu, sa nouvelle réputation de « bon coup » lui monte à la tête. Il constate, « baise après baise, la progressive bouffissure de [son] orgueil, un orgueil obèse qui débordait de tout [son] corps. » Plus dure sera la chute…

Juan Luis l'argentin est quant à lui un acteur porno en fin de carrière, célèbre pour pouvoir commander son érection par la simple force de son esprit. Avec lui, jamais de défaillance, jamais de coupe au montage, on peut tourner chaque scène en un seul plan. Débarqué à Barcelone pour tourner une série de films devant lui rapporter gros, il rencontre une jeune étudiante dont il tombe fou amoureux. Épris pour la première fois de sa vie, il constate penaud qu'il ne peut plus honorer d'autres femmes que sa chère et tendre. Une situation impensable, invivable, qui finira par le conduire à l'asile…

Ces trois-là vont se croiser, se fréquenter de plus ou moins près. Trois caricatures du macho latin dans toute sa splendeur. Ces quarantenaires se voient en pleine action en lion ou en taureau. Ferran compare ses prouesses au lit à la « fougue d'un lancier médiéval mettant à sac une cité sarrasine. » Des hommes bien faibles finalement. Enrique Serna s'est à l'évidence beaucoup amusé à tricoter cette étude de moeurs où seule la mégalomanie sexuelle semble régir les existences. Entre comédie, tragédie et vaudeville, il n'épargne personne, les femmes en prenant aussi pour leur grade, de la cougar décomplexée à l'étudiante coincée en passant par la chanteuse de cabaret aussi vaniteuse qu'égocentrique.

Un roman corrosif et génialement pathétique qui met en scène la révolution existentielle vécue par des machos atrabilaires incapables de contrôler leurs pulsions.
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
Commenter  J’apprécie          281
La photo de couverture l'annonce : le mâle en prend pour son grade dans ce roman.
le portrait croisé de trois hommes en crise, au coeur de Barcelone. Un garagiste mexicain, mené par le bout de son gland : Il a tout quitté femme, enfants, pays, pour suivre une chanteuse mulâtresse qui le tyrannise autant qu'elle l'excite, Un homme séduisant, mais impuissant, toujours puceau à l'approche de la cinquantaine qui va tenter de remédier à son mal en avalant des pilules miracle; et un acteur porno qui bande sur commande jusqu'à sa rencontre avec l'amour et , problème, c'est le début de la débandade.

tantôt drôle, cruel, acerbe, le roman aborde le thème de la sexualité masculine, cet organe capricieux qui n'en fait qu'à sa tête. L'orgueil se carapate, le sceptre dégringole et les situations rocambolesques s'enchaînent à un rythme effréné. Ces trois hommes vont voir leur destin se lier après avoir échoué au concours de circonstance. Il s'agit d'une fable originale sur la pression de la performance qui, pour sûr, déplaira aux machos, mais qui fera sourire les autres.

Un roman très bien écrit au vocabulaire soigné. Un petit reproche cependant : le champ lexical des trois personnages est trop semblable. Il aurait été plus judicieux de les doter, chacun d'un phrasé différent.

ceci dit, on passe un excellent moment.
Commenter  J’apprécie          100
Bulmaro, Ferran, Juan Luis: un trio détonnant avec une seule chose en commun. En effet, la vie de chacun d'entre eux ne tourne qu'autour du sexe. L'un laisse son désir sexuel le guider dans les décisions de la vie quotidienne, esclave de son pénis. L'autre subit en silence les conséquences d'un humiliation sexuelle vécue à l'âge adolescent. le dernier gagne sa vie en gouvernant sa verge grâce à sa volonté. Mais tous sont insatisfaits et à la recherche de quelque chose d'autre.
Et finalement, même si ce livre contient de nombreuses scènes érotiques, des descriptions très éloquentes d'actes sexuels, ce n'est pas ça que j'en retiendrais. Chacun de ses personnages a su, d'une manière ou d'une autre changer sa vie, la bouleverser, que ce soit dans le sens du bien ou du mal. Mais chacun, au cours de ce parcours initiatique qui lui a permis de reconsidérer la place du sexe dans sa vie, a appris certaines leçons, qui nous sont transmises de manière sous-jacente par l'auteur.

D'un réalisme poignant, ce livre cru montre une vie dégueulasse où personne n'est épargné, où chacun est victime de ses propres démons à chaque instant. Mais c'est aussi une vie qui finalement, accorde au bout du tunnel une sorte de rédemption.

Merci à Masse Critique pour cette découverte ! (un très bon auteur)
Commenter  J’apprécie          80
Un livre a ne pas mettre entre toutes les mains que ce livre que m'a envoyé Jérôme !

Bulmaro est un paisible mexicain quadragénaire, marié et père de trois enfants. Il possède un garage qui tourne plutôt bien mais un jour il fait la rencontre de Romélia une bombe dominicaine pour qui il va tout plaquer, abandonner, jusqu'à son orgueil de mâle, ...
Ferran quant à lui est un homme séduisant de 47 ans qui a réussi sa vie dans l'immobilier et se trouve toujours puceau jusqu'à ce qu'il trouve la recette miracle qui va le sauver de ce statut honteux ... Une chasse au plaisir va alors s'ouvrir à lui ...
Juan Luis est un acteur porno argentin qui a décidé d'abandonner ses études pour cet argent qu'il pouvait gagner si facilement ayant un contrôle total sur ses érections. Il jouit également d'une aura auprès des femmes qui lui permet de profiter d'un maximum d'elles mais cet homme au mille conquêtes va subir un choc qui va provoquer une véritable remise en question et une réflexion sur l'amour et le sexe...
Je vous laisse imaginer ce que peut donner la rencontre des trois !

Ce livre m'a totalement étonné en ce qu'il parle de sexualité de façon totalement cru avec beaucoup d'humour peut être mais aussi un cynisme voir parfois une cruauté qui peut choquer. J'ai rarement autant appris sur la sexualité masculine qu'en lisant ce roman. Cette façon que les hommes ont de nous considérer parfois (même si elle est différente chez chacun) mais surtout sur la place du désir chez eux et ce qu'ils sont capables de faire pour assouvir leur pulsion ...
J'ai été très touché par Juan Luis, son histoire, sa remise en question. Il y avait des accents de vérité à ce qui étaient écrit qui ne trompe pas, qui nous renvoi à la solitude du séducteur, à son bannissement social, à l'oubli de soi même :

" J'étais un athlète du sexe mais un paralytique de l'amour. Et même si j'ai possédé des milliers de femmes, je n'avais jamais soupçonné qu'un aimant cosmique puissent m'unir à elles. C'était moi le chef, seulement moi, et toujours moi qui décidais quand il fallait bander pour leur donner du plaisir? Je détenais bien sûr, un pouvoir très grand sur mes partenaires et grisé, sur les hauteurs de l'amour phallique, je regardais le reste des mortels avec dédain. Mon Dieu ! Quelle vanité peut receler un pénis invaincu ! Je sais maintenant que toute cette gloire était un cruel mirage, et dans la pénombre de ma solitude, abandonné par la seule femme qui m'a ouvert les portes de l'infini, je cherche à tâtons les morceaux brisés de mon être, pour essayer de retrouver l'innocence animale et la capacité d'abandon qu'il m'est arrivé d'avoir"

"Faire l'amour c'est prier corps à corps, murmurer des prières avec le pénis, le vagin, la langue, l'anus. Plus indécente est la prière, plus vite elle arrive aux oreilles de Dieu. Mais elle ne doit comporter aucune exagération histrionique, aucun effet déclamatoire qui falsifierait nos émotions. qu'elle soit complice ou ennemie du plaisir, la conscience doit être obéissante et muette au lit, car le corps possède son propre langage, un langage désarticulé, féroce et tendre à la fois, qui surgit de la terre comme un bouillonnement d'eaux thermales".

Bref, une véritable pépite pour nous les femmes qui cherchons à comprendre un peu mieux comment ils fonctionnent ...

Lien : http://depuislecadredemafene..
Commenter  J’apprécie          40
Voilà un roman qui sent fort la testostérone et je ne sais même pas si les femmes sont vraiment autorisées à le lire. le maître-moi ici est érection, qu'elle soit présente ou qu'on la recherche. C'est de l'anti-Houellebecq dont les personnages quinquagénaires vont souvent la queue basse. et cherchent ailleurs à oublier leur manque de vigueur. Les hidalgos d'Enrique Serna, qu'ils soient mexicains, argentins ou catalans, ne se résignent pas à l'impuissance et font tourner leur vie autour de leur verge dressée... quand elle le veut bien. La mexicaine vit sa propre vie, l'argentine obéit à la seule pensée de son propriétaire et la catalane, brimée à la sortie de l'adolescente, ne daigne se réveiller qu'avec un coup de pouce chimique.
C'est plein d'humour fort heureusement mais on frise l'écoeurement d'autant que nos trois héros sont trois beaux spécimens de machos latins, sobrement homophobes, et pour lesquels le qualificatif méprisant de putain peut s'appliquer un jour ou l'autre à chaque femme.
La morale de tout ça est finalement à l'eau de rose : seul l'amour vous conduira à une sexualité satisfaisante. A méditer avant votre prochaine orgie, messieurs ... et mesdames !
Commenter  J’apprécie          31
C'est bien connu, l'homme a deux cerveaux : un petit et un gland. C'est le second qui mène nos trois protagonistes par le bout de la queue dans les rues de Barcelone : un mexicain soumis à la beauté d'une métisse égocentrique, un comptable traumatisé par un échec de jeunesse qui l'a rendu impuissant et un acteur de porno en fin de gloire qui a la mauvaise idée de tomber amoureux. Enrique Serna signe une comédie tragique, acide, aux rebondissements savoureux. Un roman truculent qu'on ne peut lâcher avant la fin.
Commenter  J’apprécie          10
Bulmaro Diaz, paisible garagiste mexicain, a tout quitté, femme, enfants, garage, pour suivre, à Barcelone, Romélia, la bombe dominicaine, chanteuse de salsa, qui voulait connaître la gloire sur la scène. Au Mexique, il gagnait largement sa vie et ne manquait de rien. A Barcelone, il n'est plus que l'homme à tout faire de Romélia : courses, cuisine, ménage et il survit en vendant du faux Viagra. La nuit, le corps de Romélia est la récompense de tous ses efforts.
Ferran Miralles, ancien expert-comptable, en prison, rédige sa biographie. Il raconte que depuis son adolescence, il souffre d'une « infirmité »: il ne peut bander. A son bureau, il a la réputation du célibataire endurci. Un jour il a recours au Viagra, et tout change pour lui. Il peut alors collectionner les maîtresses. Jusqu'au jour où …
Juan Luis Kerlow avait le don, depuis l'enfance, de bander sur commande. Adulte, il conserva le pouvoir absolu sur son pénis. C'est ce qui fit de lui un des acteurs pornos les plus demandés. Mais il rencontre Laia, il tombe amoureux et tout devient différent.
Les routes de ces 3 personnages obsédés par le sexe, bander, jouir et faire jouir, se croisent fatalement dans ce roman où les pages chaudes alternent avec d'autres franchement hilarantes !
Belle satire de la sexualité contemporaine, qui donne peut-être des complexes à des lecteurs moins gâtés en ce domaine par Dame Nature.
« Splendeurs et misère de l'orgueil masculin » annonce la quatrième de couverture. Misère quand leurs performances ne sont pas à la hauteur de leurs espoirs. Plaisir, besoin, , obsession, souffrance, fantasme, délire jusqu'à la folie. A ne pas éviter …
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (57) Voir plus



Quiz Voir plus

L'érotisme en littérature

Lequel de ces romans de Diderot, publié anonymement, est un roman libertin ?

Le Neveu de Rameau
Les Bijoux indiscrets
Le Rêve de D'Alembert
La Religieuse

6 questions
354 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature libertine , érotisme , érotiqueCréer un quiz sur ce livre

{* *}