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Citations sur La fournaise, tome 3 : La métamorphose (10)

Et quand il ne reste rien de vous que votre part obscure, comment ne pas devenir un monstre ?
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Les deux parties de mon esprit se livraient une guerre féroce et le conflit menaçait de déchirer mon ame.
J’étais Alex Sawyer, et en meme temps je ne l’etais plus. Je n’étais pas humain mais je n’etais pas non plus assez fort pour être autre chose. Je n’etais rien. Je n’etais rien.
Je me mis a courir vers les étages supérieurs, vers la seule issue possible a la folie qui s’emparait de mon esprit. Une issue définitive.
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L’obéissance fait la différence entre la vie, la mort et les autres types d’existence qu’offre la Fournaise.
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« Je ne saurais dire combien de temps j’ai dormi. Même quand les ténèbres s’ouvrirent et que je me retrouvai les yeux fixés au plafond, je ne fus pas certain d’être réellement éveillé. Mon corps me semblait complètement engourdi. L’absence de douleur était trop miraculeuse pour être vraie. Je levai une main, surpris de constater que je n’avais pas été attaché, et me tâtai la poitrine puis le visage du bout de mes doigts enflés. Ni chair ravagée, ni peau écorchée. À croire que mon combat contre les rats n’avait jamais eu lieu »
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Ce même garçon – au visage si familier et en même temps si étranger – me suivit jusque dans mes rêves pour me supplier de me souvenir de qui j’étais. Pourtant, à aucun moment, il ne fut capable de me dire mon nom.
Lui aussi avait oublié.
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J'étais devenu un sujet d'expérimentation pour les atrocités scientifiques de la Fournaise...
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- C'est une illusion. Je n'étais pas fort mais au moins je savais penser par moi-même. C'est toi qui es faible : tu les laisses gagner. Tu peux encore les arrêter.
J'examinai ses membres, à peine plus gros que des allumettes. L'idée qu'il soit toujours quelque part dans ma tête me retournait l'estomac. J'en avais fini avec lui.
- Je t'en prie, Alex, supplia-t-il. Je ne veux pas mourir.
Le panteleur abaissa son scalpel vers le torse du garçon, juste au-dessus de son coeur.
- Il y a longtemps que tu es mort, dis-je.
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Quand il ne reste plus rien de vous que votre part obscure, comment ne pas devenir un monstre ?
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Une fois qu’on avait tué quelque’ un de sang-froid, tout retour en arrière était impossible. Ca changeait quelque chose en vous. La véritable epreuve était la, en réalité.
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Non, dans le pénitencier de la fournaise, meme la mort n’osait pas se montrer. La grande faucheuse m’avait abandonne, me laissant seul avec mes cauchemars.
On raconte qu’au moment de mourir chacun voir sa vie défiler devant ses yeux. En fait, ce n’est qu’a moitié vrai. On ne voit pas les moments heureux, on ne voit que les ehecs. Etendu par terre, sous les rires tonnants des cols noirs, j’eus droit au film interminable de mes erreurs.
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