Le capitaine Fischer de la Feldgendarmerie n'avait pas d'amis et s'en vantait.
Quand, dans les couloirs de la KOMMANDANTUR, on entendait grincer ses bottes, les malheureux plantons se figeaient dans un garde-ŕ-vous impeccable, hypnotisés par la silhouette qui se déplaçait. Ses yeux bizarres, opalescents comme ceux des morts se posaient sur eux, déclenchant une sorte de sourire qui ressemblait ŕ une horrible grimace :
- Vous ętes de service ? demandait-...
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