Au bout de 60 pages :
Holmes n'a toujours pas foulé le sol brésilien.
Il y eu deux meurtres.
Un commissaire a fait une apparition.
Le légiste a fait des blagues scabreuses.
Et
Sarah Bernhardt a conversé avec l'empereur du Brésil en alexandrins.
Par contre, ces 60 pages croulent sous les descriptions géographiques, les références à des personnages historiques brésiliens et multiplient les explications sur les coutumes du pays. La perspective de 370 pages dans la même veine m'a fait abandonner cette lecture
Si vous cherchez un polar rythmé, passez votre chemin.