Mirial

Très belle découverte que cette autrice, avec son excellent bouquin de SF.
Le monde est tombé dans le chaos, les survivants se sont réfugiés sur une île, Dioscuri, et pour pallier à l'impossibilité de concevoir des enfants se sont inoculé le Mirial qui les rend immortels.
Oui, mais voilà, Léna, l'héroïne se retrouve à enquêter sur la mort de sa meilleure amie, suicide ? Assassinat ?
Ce bouquin va de rebondissement en rebondissement !
On s'attache à l'héroïne qui est une réalité augmentée des humains, une sapiens, sapiens qui ont été créés pour servir comme supers soldats !
C'est prenant, très riche en émotions, par moment on ne sait plus bien qui est gentil ou méchant, donc suspense au rendez-vous !
Et la critique sur les travers de nos sociétés qui poussent à l'abus des technologies, c'est bien senti, comme j'aime.

J'ai passé un très bon moment de lecture, merci Alex Sol.

📜Mon ressenti📜
Etant membre du jury pour le Prix des Auteurs Inconnus 2022, dans la catégorie « Imaginaire », j'ai eu le plaisir de découvrir le roman d'Alex Sol : Mirial.
L'action se déroule dans une société dystopique où la population évolue au sein de Dioscuri. le monde a changé, l'immortalité existe grâce au Mirial. En fait « grâce » est un bien grand mot, car il a fallu en passer par là pour pallier à l'infertilité. L'injection du Mirial a ses avantages et inconvénients et se paye au prix fort. Léna est une sapiens, une femme hypersensible, douée de capacités que l'on découvrent au fur et à mesure de la lecture. Suite au parjure de son amie Reesha, elle va mener son enquête et vite comprendre que tout n'est pas aussi blanc qu'on voudrait lui faire croire.
Le personnage de Léna est très attachant, il évolue page après page. J'avais l'impression d'être dans ses pensées, de ressentir ses émotions, son mal être mais aussi sa détermination dans son enquête.
Les autres protagonistes qui gravitent autour d'elle sont très mystérieux et parfois j'avais envie d'en buter certains tellement ils m'agaçaient au vu des réactions qu'ils avaient envers Léna. Car ici les tromperies, cachoteries, coups bas sont de mises et tout est permis. Mais il faut être patient pour voir toutes les pièces du puzzle s'imbriquer et comprendre les réactions parfois irritantes, perturbantes de chacun. Oui de la patience il faudra car jusqu'à la fin l'auteure a su manier sa plume avec dextérité pour avoir envie d'en finir au plus vite et d'avoir enfin les réponses !!
J'avoue franchement, que malgré certaines longueurs dans les méandres de ce roman, cette lecture fut une agréable surprise. D'habitude je ne suis pas fan de dystopie, mêlée à de la politique-SF, mais l'auteure a su captiver mon attention. Je pense grâce à l'enquête mais aussi aux caractéristiques de Léna. Elle décrit tellement bien les émotions de son personnage principal que parfois je me suis retrouvée dans ce monde de douleurs, d'odeurs, d'euphorie intenses que l'on peut ressentir quand on est hypersensible et que l'entourage ne perçoit pas.
Pour conclure, je partais avec quelques aprioris mais ce fut un bon moment et une belle découverte malgré le nombre de pages !!!!

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Le commentaire de Martine :
Une bonne réussite pour Alex Sol qui nous offre un bon roman d'anticipation, dans ce récit, on suit Léna, une jeune femme qui vient de perdre son amie, qui s'est suicidée. Dans cet univers, c'est un parjure lorsque quelqu'un s'enlève la vie. Une histoire qui démontre la force de caractère de Léna et de sa détermination à comprendre le geste de son amie. Cette histoire permet de connaître d'autres personnages qui gravitent dans la vie de Léna, comme Lionel, Anton, Peter, Sam, Gareth, Franck et le père de Léna vont être marquant.
Au début, on croit que l'histoire tourne qu'autour de l'histoire du suicide, mais non, je vous avise que ce roman est bien plus grand, tout au long de la lecture, l'intrigue monte en crescendo en continu.
Je vous partage que ce roman est un must pour les amateurs de SF, c'est certain. J'aime toujours la plume d'Alex Sol, elle est rafraîchissante, directe et intéressante, c'est un récit très intelligent qui soulève beaucoup de thèmes que j'aime, comme l'honnêteté, l'intégrité, la générosité, l'intelligence, la différence, etc. Alors c'est un bon thriller d'anticipation qui m'a fait passer un agréable moment de lecture, je vous le recommande.
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💜

Après avoir découvert un thriller, un horreur, un bitlit. Au tour du SF.
Une des autrice les plus talentuese en auto édité. Une génie, et humble .
J'ai beaucoup aimé le mix entre thriller et SF,. Ça va a 200 a l'heure, des courses poursuites. Aucun ennui
Une énigme à résoudre dans un.autre monde
Ambiance du 5e élément,
Tous les ingrédients d'un bon SF divertissant et un chouiia scientifique médical psychiatrique
Distopie. Anticipation
#avrilautourdelasf

L'histoire : Léna Meyers est une sapiens (comprenez un être aux capacités physiques et psychiques hors normes) qui mène une vie monotone. Un événement va briser sa routine le jour où elle est appelée sur la scène du parjure (comprenez suicide) de sa meilleure amie, Reesha Machado, journaliste au média L'Insoumis et fille d'un des créateurs du Mirial (comprenez découverte révolutionnaire qui permet d'accéder à l'éternité). Certaine que Reesha n'avait aucune raison de s'ôter la vie, Léna va donc enquêter. Ce qu'elle va découvrir va tout remettre en question : de sa propre existence jusqu'aux fondements mêmes de Dioscuri (comprenez groupement d'individus évoluant dans une société de contrôle). Combien de piliers de sa vie devront-ils être bousculés avant que Léna n'obtienne des réponses ?

Impressions avant lecture : ce roman faisait partie de ma sélection dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus (PAI) 2022 dans la catégorie « Imaginaire ». J'avais en effet été séduite par une couverture minimaliste ayant l'avantage de faire retenir l'essentiel en évitant de trop s'attarder sur le superflu. de plus, les teintes sombres laissaient présager une atmosphère un tantinet « claustrophobique ». le résumé donnait également pas mal d'informations et tant mieux d'ailleurs, car la résolution de l'énigme s'annonçait plutôt ardue ! Par ailleurs, à en juger par la question à plusieurs tiroirs (comprenez piliers de la vie de l'héroïne), l'intrigue promettait de tenir le lecteur en haleine assez longtemps.

Ressenti après lecture : Comme dans toute dystopie qui se respecte, ce livre réunit des valeurs sûres qui donnent un éclairage sur les dérèglements du monde. Cela afin d'éveiller les consciences sur le futur de l'humanité. Ici, on s'interroge sur les inégalités face aux avancées de la science, qui ne bénéficient qu'à ceux dont la providence aura le mieux garni le portefeuille ou à qui Mère Nature aura distribué les meilleurs gènes. On évoque aussi le sentiment d'infinitude et les angoisses qu'il suscite. Que faire de son éternité une fois assouvi ce fantasme immémorial ? Et quid de la persistance des éternels maux sociaux que sont la précarité, la pauvreté et la discrimination ?

Au final, malgré une promesse d'éternité, le lecteur ne trouvera pas le temps long, tant il est ballotté de découvertes en découvertes et de rebondissements en rebondissements. Petit bémol toutefois, ce n'est pas toujours facile de s'y retrouver dans tous ces programmes secrets, ces luttes de pouvoirs aux enjeux cruciaux avec, pour couronner le tout, des espions sous couverture en missions spéciales aux noms pas du tout évidents à mémoriser. Il faut aussi un temps d'adaptation pour se familiariser au langage de ce récit, où est employée une sorte de novlangue chère à ce bon vieux George Orwell (à qui il est d'ailleurs rendu hommage...). de plus, tant de sujets passionnants sont abordés que ce fut parfois difficile de rester en empathie avec l'héroïne. En effet, par moments, je me suis sentie complètement perdue dans cet univers complexe où Léna tente d'étancher sa soif de vérité en raccrochant moult « wagons ». Malgré ce sentiment de largage total, qui reste somme toute très subjectif, Mirial n'en demeure pas moins un bon roman d'anticipation à l'atmosphère marquante.
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Bonjour,
Dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus, je viens vous chroniquer en retour de lecture l'un des cinq finalistes du prix dans la catégorie Imaginaire : "Mirial" de Alex SOL.

Lena Meyers n'est pas comme tout le monde. Elle a la particularité d'être une Sapiens, dotée de facultés intellectuelles et physiques hors du commun. Elle mène une vie toute simple, calée sur les répétitions et la routine qui rythment sa vie. jusqu'au jour où elle est appelée par la police pour identifier le corps de son amie Reesha Machado. Celle-ci s'est parjurée, acte considéré comme un crime sur Dioscuris.

Reesha n'était pas n'importe qui, c'était la fille du créateur du Mirial, source d'éternité, et journaliste à "L'insoumis". Lena va tout mettre en oeuvre pour connaitre les raisons du parjure de son amie. Elle va faire face à des dilemmes qui vont remettre en question sa vie et tout ce en quoi elle croyait jusque là.

Une dystopie que j'ai aimée lire pour son univers au rendu réaliste si bien travaillé et pour le personnage central de Lena qui est, sans nul doute, très intelligente. J'aurais pu la trouver incroyablement extraordinaire si elle ne faisait pas preuve de temps à autres de naïveté ; elle parait surprise des rebondissements et des nouvelles auxquels elle doit faire face alors que si elle réfléchissait comme un être supérieur, elle aurait tout de suite compris ce qu'il se tramait.

J'ai trouvé l'histoire un tantinet trop longue, surtout avec les sapiens et leur capacité de réflexion qui font d'eux des surhommes en terme d'actions. En toute logique, cela aurait du se passer en un claquement de doigts. Mais ça a été calé sur la vitesse d'un croisiériste en vacances. J'ai bien apprécié le début du roman pour mon attachement à Lena et aux détails sur son comportement.

Mais au fil du récit, avec l'arrivée d'autres personnages qui ne sont pas aussi bien détaillés ou qui agissent surtout en tant que protecteur de Lena, j'ai eu de plus en plus de mal à m'impliquer dans le texte. Thomas y est évoqué en souvenir mais n'apparait jamais réellement dans le récit. J'ai eu cette impression de courir après un fantôme et je n'ai pas du compris pourquoi il était mentionné. il faudra attendre la quasi fin du roman pour le savoir.

Le comportement du père de Reesha, Lionel, m'a quelque peu exaspéré. Pareil pour Grant, Peter et le père de Lena, Anton. Ils cachent des choses à Lena, ne lui distillent que le minimum d'informations, agissent dans son dos mais elle de son côté ne fait rien pour en apprendre plus alors qu'avec les pouvoirs qu'elle a, elle a la possibilité de tout savoir. Des fois, je trouve qu'il y a des incongruités de ce genre qui me laissent perplexe.

Sans compter qu'on apprend que certains des personnages ne sont pas ce qu'ils sont, que d'autres révèlent secrètement des connivences avec ceux qui jouent double-jeu. Bref, un vrai méli-mélo voir un imbroglio total sur les liens qui unissent les personnages secondaires avec les principaux.

J'ai aimé cette idée de la vie éternelle superbement bien traitée. le cadre dans lequel évolue les protagonistes est vraiment un monde à part, très réaliste et à la pointe de la modernité. Cet univers est si particulier, complexe, et pourtant sa compréhension est limpide.

J'ai lu ce livre dans le cadre du Prix et je me dois de relever qu'il y a des fautes d'orthographe et des mots manquants sur le tome entier. La plume de l'auteur est simple, un langage adapté à la science fiction, même si je trouve que les dialogues manquent de clarté et de précision, parfois on ne sait pas qui parle.

Je mentionne les volantes qui ne sont pas suffisamment décrites pour qu'on puisse s'imaginer comment ça fonctionne. Les lieux où évoluent les personnages ne sont pas suffisamment détaillés pour qu'on puisse se situer dans la ville. L'arrière plan est terne. Tout le côté politique se retrouve à la fin du roman, même si la science fiction domine largement sur l'ensemble du roman.

C'est un livre de science fiction de bonne facture qui peut ravir les fans avec son monde fictif et son histoire très accrocheuse.

Bonne lecture, amis lecteurs !
Lien : https://lecture-chronique.bl..

J'avoue avoir du mal à décrire tout mon ressenti envers ce livre. À vrai dire, c'est probablement parce que de fait, j'ai du mal avec les dystopies, mais qu'objectivement, Mirial avait des qualités qui allaient au-delà de ça et de mon ressenti sur le genre.
Déjà, parce que Mirial est bien plus qu'une dystopie. C'est aussi un thriller de science-fiction, avec un fond de politique (ce qui, là aussi, pêchait avec moi pour le côté politique, mais passons).

Mais surtout, c'est un ouvrage assez conséquent, aux multiples rebondissements. Après, malgré les rebondissements, les twists en tout genre, ça ne m'a pas empêché de me demander quand est ce que ça serait fini, parce qu'il y avait quand même quelques longueurs. Ma liseuse m'a annoncé dès le départ que j'aurais “1222” pages à lire, et bien que je pense qu'on se rapproche plus des 800, ça reste… Long.

On nous présente un univers où les gens sont immortels, mais où tout est loin d'être parfait. On retrouve dans Mirial, pas mal de tropes de la SF, et c'est assez un tour de force de tout faire coordonner sans avoir l'impression que c'est du trope pour du trope.
Mais Mirial est un univers maîtrisé. On sent qu'il y a du travail derrière, que l'intrigue est bien ficelée, et que les retournements de situation ne popent pas n'importe comment.
Et ce que j'ai aimé, c'est que l'on démarre comme Léna : en ne sachant rien. Mais au fur et à mesure, et à travers son regard, on en apprend un peu plus. En plus des points de vue à côté qu'on peut avoir parfois, durant la lecture, et qui offrent plus d'informations.

Léna, c'est la personnage principale. Et surtout, un des aspects du livre que j'ai le plus apprécié. Je suis très sensible au sujet des neuroatypies, parce que je suis probablement aussi neuroatypique, et là, j'ai adoré le concept des sapiens. Ça permet de mettre en avant les troubles autistiques, sous une forme d'héroïsme, avec ses propres problèmes.
Je trouve que c'est important d'avoir ce genre de représentation.
Le traitement du sujet est bien amené, et j'ai apprécié que ces “personnes ultrasensibles”, aient aussi leurs propres faiblesses, mais peuvent les pallier à leur façon. de fait, ça les rend quand même très touchants, et pourtant, mis à part Léna, j'ai trouvé que les autres sapiens sont plutôt “froids”, contrairement à elle.
Après, il est vrai qu'on avait moins le point de vue des autres.
Et Léna est un personnage assez attachant, qui passe son temps à évoluer, ce qui devait aider aussi.
De plus, ce que j'ai aimé, c'est qu'à travers Léna, l'autrice fait passer quelques valeurs, sur le choix, sur le monde.

Parlons donc d'ailleurs des personnages. Si j'ai détesté Peter et Lionel parce qu'ils étaient assez insupportables à mes yeux, l'un pour être trop “je veux te protéger” et l'autre pour ce qu'il fait à un moment donné. J'ai bien apprécié le policier, ou encore Franck Grant. Je sais que c'est peut-être étrange d'aimer ce personnage, mais… Il avait quelque chose d'ambivalent. Il n'était pas juste “pour le bien” ou “pour le mal”, il avait une forme de neutralité, de “je fait ça pour moi-même si ce n'est pas la meilleure des choses et je vous fais un grand sourire en retour” qui m'a plu. Je pense que c'était mon personnage préféré. (Petit aparté : après, je crois qu'il m'a rappelé un peu Elijah Kamski dans Detroit:Become Human, mon intérêt spécifique du moment, donc ça devait aider…). J'ai apprécié Sam, aussi.

Après, malgré les longueurs citées plus haut, je dois reconnaître que l'écriture est plutôt bonne. Je trouve qu'elle va avec le genre, et avec Léna. Même si j'ai repéré quelques fautes (comme “était” au lieu d'”été” a un endroit, me semble-t-il), j'estime que vu la longueur de l'ouvrage, ça reste pardonnable.
J'ai aussi trouvé que l'écriture donnait un aspect assez vivant au récit. On se croirait dans un film d'action.
Même si, parfois, de l'action, il y en avait peut-être un peu trop.

En-tout-cas, j'estime que Mirial reste un livre à lire, si on est fan du genre. Il y a une bonne maîtrise du sujet, la structure textuelle va jusqu'au bout, et il y a des choses agréables à suivre. Enfin, après, si vous êtes du genre à ne pas aimer lire des choses un peu dures et violentes, je vous conseillerais peut-être de passer à un autre livre. Parce qu'avouons le, on était loin d'un truc mignon.

C'est avec plaisir que j'ai lu cet ouvrage pour le prix des auteurs inconnus !
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J'ai lu ce roman en tant que jurée pour le prix des auteurs inconnus.

"Mirial" est un thriller de science-fiction qui se passe dans un univers dystopique.
On est propulsé dans une société où la fertilité a grandement diminué. Un médicament pour arrêter le vieillissement et donner l'immortalité à la population a été créer. Parmi les enfants nés dans cette société certains sont des sapiens : des êtres dotés d'une intelligence et d'une force physique hors du commun.
C'est dans ce monde que vie Lena, une sapiens qui vit une vie très simple jusqu'au jour où elle est contactée pour identifier le corps de son amie Reesha, journaliste qui s'est parjurée. Convaincue, que son amie n'avait aucune raison de se donner la mort, Lena va mener l'enquête pour découvrir ce qui a bien pu se passer. Ce que Lena va alors découvrir va remettre en question tout ce qu'elle croyait savoir...

J'ai aimé ma lecture.
Tout d'abord, j'ai adoré l'univers que nous propose l'autrice. C'est un univers complexe, dense et travaillé. Alex Sol explique bien son univers au fil des pages afin que le lecteur ne s'y perde pas.
Par contre, ça manque de descriptions notamment au niveau des lieux et des véhicules utilisés pour vraiment bien se représenter la ville dans laquelle évolue Lena.

Quant à l'intrigue, elle est intéressante et bien ficelée même si certains événements s'enchaînent avec un peu trop de facilité à mon goût.
Il y a de l'action et beaucoup de rebondissements. J'ai aimé être au début de l'histoire aussi perdue que Léna et découvrir sur quoi enquêter Reesha et les conséquences qui en découlent en même temps qu'elle.

J'ai adoré suivre Lena tout au long de cette histoire. Lena est une sapiens ultrasensible qui ne ressemble pas du tout aux autres sapiens que l'on rencontre au fil des pages. Tandis que les autres sapiens paraissent froids sans aucune émotion, elle est très sensible. C'est un personnage vraiment très attachant et plaisant à suivre.

Par contre les personnages de Lionel le père de Reesha et Peter l'ex de Lena m'ont agacé à de nombreuses reprises. Leur caractère, leur comportement envers Léna et leurs choix tout du long de l'histoire ont fait que ces personnages m'ont été assez antipathiques.

Avec ce roman, je découvre la plume de l'autrice qui est super agréable à lire. Il y a quelques longueurs, mais cela ne m'a pas vraiment plus dérangé que ça tant, j'étais prise par l'histoire.

En bref, un très bon thriller de science-fiction avec un univers travaillé et une intrigue très bien ficelée.

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