Le roman raconte
une journée d'Ivan Denissovitch, détenu au goulag depuis bientôt dix ans, pour avoir été fait prisonnier pendant la seconde guerre mondiale. La douleur, la résignation sont très bien décrits, tout autant que le froid mordant, la neige, la faim, la promiscuité. Alexandre Soljenistyne parle aussi merveilleusement des petits plaisirs, des petites victoire glanés au cours de cette journée pour lutter contre le désespoir.
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