Lorsque Theodor Soucek rédigea «L’Europe nous appelle», la Seconde Guerre mondiale venait juste de s’achever. Emprisonné dans les geôles des vainqueurs pour avoir participé à la résistance nationale-socialiste Werwolf, confronté à l’idée de la mort, bouleversé par le sort des Européens emportés dans le tourbillon de cette boucherie fratricide, il a espéré une solution, animé par une générosité,une sollicitude et un sens du dévouement remarquables. Ses réflexions bas...
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