Lettre d'amour à mon Whiskey

« 𝓘𝓵 𝓼’𝓪𝓿é𝓻𝓪 𝓺𝓾𝓮 𝓳’𝓪𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓭é𝓵𝓲𝓬𝓲𝓮𝓾𝓼𝓮, 𝓻𝓪𝓻𝓮 𝓮𝓽 𝓹𝓻é𝓬𝓲𝓮𝓾𝓼𝓮 𝓫𝓸𝓾𝓽𝓮𝓲𝓵𝓵𝓮 𝓭𝓮 𝔀𝓱𝓲𝓼𝓴𝓮𝔂 𝓮𝓷𝓽𝓻𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓶𝓪𝓲𝓷𝓼, 𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓵’𝓪𝓿𝓪𝓲𝓼 𝓵𝓪𝓲𝓼𝓼é𝓮 𝓶𝓮 𝓯𝓲𝓵𝓮𝓻 𝓮𝓷𝓽𝓻𝓮 𝓵𝓮𝓼 𝓭𝓸𝓲𝓰𝓽𝓼 𝓮𝓽 𝓼𝓮 𝓫𝓻𝓲𝓼𝓮𝓻. »

Tout ce que je savais, c'était que je ne pouvais pas apprécier la douceur piquante du rhum que je dégustais si je gardais les yeux rivés sur un verre de Whiskey tentateur.

Il y avait quelque chose de spécial dans le fait d'être si proche de l'océan tandis qu'un nouveau jour débutait, rempli de possibilités.

C'est fou à quelle vitesse revient l'ivresse après une sobriété aussi longue.

Aimer Jamie était ma plus douce et ma plus violente contradiction.

Nous étions autant le poison de l'autre que son remède.

Jamie n'avait jamais officiellement été mien, mais j'avais toujours été sienne - dès la première goutte.

Au fil du temps, les bonnes intentions finissent balayées par des espoirs déçus. Ceux qui font des promesses oublient pourquoi ils les ont faites, le cœur las, à raison.

Visiblement, j'étais l'eau, il était le whiskey, et je ne pouvais me résoudre à le diluer - pas alors que je savais qu'il m'aimait assez pour me laisser faire.

Les mots ne s'écrivent pas d'un cœur qui n'a jamais rien ressenti. Ils naissent de la douleur, de l'amour, d'abysser indescriptibles, et ils furent ma libération.