Au nom de la vérité

Après avoir consacré deux décennies de sa vie au service de la police, Thomas Andreasson revient à ses premiers amours après une expérience décevante dans le secteur privé. Pendant ce temps, Christian Dufva, récemment divorcé, décide d'envoyer son fils de 11 ans, Benjamin, dans un camp de voile pendant que lui va témoigner contre son ancien associé, Niklas Winnerman, accusé de détournement de fonds dans leur entreprise de construction prospère. Mais Benjamin va disparaître subitement et l'inquiétude va grandir dans le camp. Les circonstances mystérieuses de sa disparition laissent planer plusieurs hypothèses. Est-il possible que cela soit lié au procès en cours ?
Dans ce contexte plein de tension et de mystère, Thomas et Nora vont se lancer dans une enquête effrénée pour retrouver Benjamin, jonglant entre les secrets du passé et les dangers du présent.
J'ai récemment plongé dans le huitième tome de cette saga, plein de tensions et de mystères. Je dois dire que cette fois-ci, j'ai été agréablement surprise. Ce tome se démarque par sa structure innovante, différente des précédents, ce qui apporte un vent de fraîcheur bienvenue à la série. J'ai beaucoup apprécié cette rupture avec la redondance habituelle. Ce polar est solidement ficelé, et chaque rebondissement m'a tenu en haleine du début à la fin.
Maintenant que je suis plongée dans la lecture du neuvième tome, je peux affirmer que cette saga ne cesse de s'améliorer au fil des tomes. le suspense est toujours au rendez-vous, et je trouve que l'intrigue devient de plus en plus passionnante à mesure que l'histoire avance.

Huitième livre de la saga que j'aime beaucoup. Toujours un plaisir de suivre les personnages principaux dans leur vie et leur enquête. Je suis pourtant triste car je sais qu'il me reste un seul à lire. J'ai l'impression de connaître cette île comme si j'avais passé des vacances avec les personnages : Nora, Thomas...

Comme d'habitude le suspense est au rendez-vous. Toujours aussi passionnant. Deux histoires en parallèle. Une disparition d'enfant dans un camp de voile et un procès contre un dirigeant ayant escroqué son entreprise. On retrouve Thomas Andreasson et Nora Linde les deux personnages principaux que l'on a plaisir à retrouver dans chaque histoire de cette série.
Disparition, fugue, enlèvement. le deux histoires sont liées. Un polar bien ficelé qui nous tient en haleine du début à la fin.

Ce très bon roman policier démarre bien, accroche le lecteur par la diversité des différentes histoires. Il y a beaucoup d'éléments en parallèle et un manque d'attention fait possiblement perdre le fil au tout début. Rien à craindre tout se met en place de façon habile. Les chapitres sont efficaces, courts, la lecture est fluide. Tout se passe dans une période relativement courte, cela garde la tension tout le long.C'est bien construit, il y du suspense, des rebondissements. J'ai beaucoup aimé.

Aucune déception à la lecture de ce nouvel épisode des "aventures baltes" Cette fois-ci les personnages ont pris des années de plus, leur vie s'apprête à soit changer son cours soit confirmer l'évolution déjà commencée dans les épisodes précédents. Pourtant de nouvelles enquêts vont s'entremêler et nous assitons impatients à leur déroulement, avec l'envie de plus en plus irrépressible de nous immiscer dans le travail des enquêteurs et de la Justice. Pourtant c'est tellement bien conduit que même la fin qui soulage le suspens nous fruste un peu d'arriver presqu'aussi tôt! du grand art!

Déjà le 8e opus et je dois dire que cette fois VIVECA STEN a fait fort ! J'ai tout simplement adoré !

On suit en parallèle un procès contre un PDG ayant escroqué plusieurs millions à son entreprise, et l'enlèvement d'un enfant dans un camp de voile.

Dès les premiers chapitres -contrairement à certains précédents romans- VIVECA STEN pose la trame.

C'est à mon humble avis le plus abouti et le plus hardi de VIVECA STEN qui s'améliore au fil du temps. Je n'ai ressenti aucune lassitude durant la lecture de ces 490 pages.

Les maladies psychiques des jeunes sont finement étudiées.
Il y a du suspens, des rebondissements, les personnages -Nora, Thomas and Co- sont toujours aussi attachants.

Si vous voulez passer un excellent moment de lecture, n'hésitez pas, je vous recommande "au nom de la vérité".

Ce qui frappe d'abord, c'est la structure de narration originale adoptée par Viveca Sten. Très vite, on est au courant d'un certain nombre de faits, on devine ce qui va arriver, et on assiste impuissant aux catastrophes qui finalement surviennent. Ainsi Nora a un procès important, mais elle a mal préparé son dossier car tout repose sur le témoignage d'une seule personne. Et si cette personne se rétractait au procès? Elle va se rétracter, et Nora va aller dans le mur. Comment Nora peut-elle surmonter cela? Alors même qu'elle se fâche avec Jonas, son futur mari qui reste bloqué au bout du monde. Et il y a Benjamin, 11 ans, qui participe à un camp de voile, contre son gré. D'entrée, il est maltraité par deux ados plus âgés, mais on voit arriver d'autres menaces, bien plus graves, peser sur lui, puis le drame le frappe. Benjamin disparait. Peut-on le retrouver sain et sauf?


Thomas enquête. Il est plein de bonne volonté, comme d'habitude, mais on sait tout de suite qu'il part à toute allure sur une fausse piste, et que ce n'est pas comme cela qu'il va trouver le vrai coupable et retrouver Benjamin. On est navré pour lui. de plus la situation est tendue avec Pernilla, son épouse, très prise par son nouveau métier. Dans les trois premiers quarts du roman, l'auteur nous torture avec ces trois actions en parallèle: Nora va perdre son procès, Benjamin va disparaître à jamais et Thomas ne va pas trouver le bon coupable. C'est habile comme procédé, et ça marche. Surtout que ce qu'on prenait comme certain ne l'est pas et que les retournements de situation et rebondissements vont arriver dans le dernier quart du livre. Avec en bonus, la touche d'émotion finale.


C'est bien écrit, c'est simple et c'est prenant. Et on aime bien retrouver Nora, Jonas, Thomas et Pernilla. Ici pas de tueur psychopathe, de cadavres en série, d'intrigue alambiquée ou de retour dans un lointain passé. le lecteur de polars que je suis, fatigué de tous ces romans à la mode à la fois invraisemblables et horribles, a trouvé dans la lecture d'Au nom de la vérité un grand plaisir.

Le roman de Viveca Steen est vraiment à la limite du coup de coeur pour moi. C'est la première fois que j'entends parler de cette auteure. le livre est sorti aujourd'hui en librairie au Éditions Albin Michel et ne doit en aucun cas passer à la trappe !
Ce roman doit finir dans vos mains et votre bibliothèque coûte que coûte.

Au nom de la vérité est un récit qui fait justice, un roman qui donne envie à quiconque en quête de procès de pouvoir en prendre plein les yeux.
J'ai adoré ce côté juriste où l'on retrouve toutes les procédures et tous les contours d'un tribunal. on se bas avec les témoins, on essaye de comprendre ; on s'acharne et plus que ça on crie pour que le coupable paye !
Parfois, durant ma lecture je me disais " Bon sang mais envoyez-le en prison celui-là ! ", " Non mais n'importe quoi il a vraiment fait ça ?"
La tension était à son comble, elle était palpable et rien ne pouvait l'arrêter.
Pour les amateurs de Droit et de Tribunaux c'est un roman qui devrait vous ravir !

Outre cela la partie sur l'enlèvement du petit Benjamin ne laisse pas de doute quant au polar intriguant que nous livre Viveca Steen. C'est absolument intriguant et interpellant. Les chapitres sont coupés pour donner davantage de fluidité au récit et j'ai adoré retrouvé l'histoire au chapitre d'après pour en savourer le précédent.
Ce roman, traite aussi, selon moi, d'un fait de société assez important est qui dans ce roman apporte une leçon sans obligé le lecteur à y voir un message. La subtilité est parfaitement ajustée.
Ce qui m'a je crois le plus touché dans cette partie c'est les personnages !
Aucun n'est désagréable ou inintéressant malgré qu'ils ne soient pas tous des anges à découvrir !

L'art du mensonge est traité à la perfection et mon dieu comme c'est satisfaisant de voir une maîtrise comme celle-ci. le menteur n'est pas toujours celui que l'on croit, et là, encore, Viveca Sten excelle dans ce domaine.
Elle nous balade, nous manipule et comme des pantins, moi j'ai suivi cette idée jusqu'à la profonde surprise que nous laisse la fin de ce jet !
AU NOM DE LA VERITE porte très bien son nom c'est une évidence !
Ce polar hautement addictif n'est pas passé loin du coup de coeur pour moi !

Encore merci à Claire et Mickael !

Nora Linde doit préparer à la fois son mariage et affronter un important procès contre un ex-PDG.
Thomas Andreasson enquête sur la disparition d'un ado lors d'un camp de voile.
Le duo est toujours bien assorti. Même s'ils se côtoient très peu.
L'enquête coule toute seule. C'est fluide, ça passe très bien. L'intrigue commence vraiment au bout de de 200 pages (sur 600). Il n'y a pas un suspens dingue non plus.
C'est toujours la même construction que les autres romans de la saga. Cela peut être un peu redondant à force.

On est bien loin de la reine de la baltique dans ce livre de Viveca Sten.

Certes, l'intrigue est bien menée et je n'avais pas vu venir le dénouement, ce qui est un gage de qualité mais le style ne m'a pas transporté et il a bien fallu 200 pages pour que je me prenne finalement au jeu… Bref, 3 étoiles sans plus…

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