Nicholas Benedict, 9 ans, a beaucoup de problèmes pour un enfant de son âge. Il est orphelin, affublé d'un nez qui ressemble à un concombre, et il souffre de narcolepsie. Cette maladie le contraint à une vigilance de chaque instant : il suffit qu'il se laisse submerger par ses émotions pour s'endormir brusquement. Or, Nicholas vient d'être admis dans un nouvel orphelinat où une bande de garçons cruels, surnommée les Scorpions, fait régner la loi. Pour les affronter, il n'a qu'une arme : son intelligence hors du commun.
J'ai commencé la série par ce tome, et j'ai énormément aimé. Les personnages sont très farfelus, c'est drôle à lire. Ils sont surtout très attachants. J'ai beaucoup aimé ce tome et j'aurais bien voulu retrouver (même épisodiquement !) John et Violet dans le reste de la série, mais bon, ce tome à part est déjà très bien !
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c'est mon préféré de la série.l enfance de Mr Benedict ressemble à chacune des enfances du Mystérieux cercle Benedict!
Un roman plein de fantaisie!♥!
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Avec un narrateur externe, le lecteur (dès 11-12 ans) frémit des déplacements à la bougie du jeune héros, rit de son phonogramme à bicyclette, s’interroge à propos du journal intime de M. Rotschild. La résolution, pirouette facile, est aussi enthousiasmante (au moins pour l’adulte prescripteur, chut). Classique mais soigné, effrayant mais pas trop, inventif mais attaché au réel - l’époque est assez difficile à déterminer -, le roman séduit et ne lasse jamais.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Nicholas simply didn't have it in him to give in to bullies. He never had. If they wanted to humiliate him, they were going to have to work for it.
Nicholas got shakily to his feet. He felt as if he had been taken apart and put back together again with all his parts in the wrong places. Everything seemed to hurt. Nothing seemed right.
“That’s perfectly draconian,” Nicholas said.
“I’m sure it is,” John agreed. “But listen, Nick, if you’re going to keep using words like that, you’ll have to start giving the definitions.”
In fact, you would do well to model yourself after John—makes himself useful (…) Indeed, much of the time one would not even know he’s here. » Mr. Collum said this last part with special emphasis, as if there were no greater virtue in a child than appearing to be absent.
It was plain by now that Mr. Pileus was neither an especially handy handyman nor a mechanically minded mechanic. He did have a knack for noticing problems, but their solutions generally evaded him.
The Mysterious Benedict Society Season 2 | Official Trailer | Disney+