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Les autodafeurs tome 0 sur 4
EAN : 9782812619090
1050 pages
Editions du Rouergue (06/11/2019)
4.49/5   40 notes
Résumé :
« Je m’appelle Auguste Mars, j’ai 14 ans et je suis un dangereux délinquant. Enfin, ça c’est ce qu’on l’air penser la police, le juge pour mineur et la quasi-totalité des habitants de la ville. Évidement, je suis totalement innocent des charges de “violences aggravées, vol, effraction et incendie criminel“ qui pèsent contre moi mais pour le prouver, il faudrait que je révèle au monde l’existence de la Confrérie et du complot mené par les Autodafeurs et j’ai juré sur... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Les Autodafeurs c'est une série de trois volumes publiés aux éditions du Rouergue Jeunesse dans leur si délicieuse collection Epik. Elle est écrite par Marine Carteron, la maestro de Dix, la réécriture des Dix petits nègres d'Agatha Christie dont vous pouvez retrouver la chronique ici. J'avoue que je ne m'attendais pas à dévorer les quelques 1050 pages aussi rapidement, envisageant de devoir le reposer à de nombreuses reprises, plutôt que d'enchaîner les pages en suivant le soleil (oui oui je me déplaçais pour suivre le soleil dans mon salon : canapé, fauteuil, sol, canapé bis..). J'ai adoré ! Voilà, il n'y a pas d'autres mots. Mais pourquoi ?

MON AVIS

Non seulement la couverture est à tombée et rentre parfaitement dans la sous catégorie « Les supplices de la Belladone » du Pumpkin Autumn Challenge, avec tout ce noir, mais l'objet livre est extrêmement solide. Parce que lire 1050 pages sans même que le dos ait la moindre petite marque…il faut le faire ! le mérite en revient à la mise en page aérée et à l'encollage parfaitement maîtrisé.

1050 pages c'est long et je ne sais même pas par où commencer, dois-je parler des personnages, génialissimes, topissimes et tous les trucs en -ssime ? Ou bien de l'intrigue qui t'emporte comme dans un petit tourbillon en pleine mer ? Ou bien de toutes les références historiques, politiques, sociétales, des autodafés à la liberté d'expression en passant par l'obscurantisme et le totalitarisme ? Je ne sais pas, je ne sais plus, le mieux encore est sans doute de commencer par le début.

Voilà par quoi on commence : une mort. Tragique, bouleversante, perturbante. Celle d'un père, d'un mari et d'un fils. Toute une vie de secrets, de conflits, de mensonges emportés, comme ça, du jour au lendemain. On commence donc par la colère, la tristesse, la rage, le déni de la perte. L'ironie aussi, comme un bouclier. Et puis une décision, toute aussi brutale et immédiate : on déménage à la Commanderie. La Commanderie c'est un endroit de vacances, des chambres plein les niveaux, des lieux chargés d'histoires, une bibliothèque gigantesque, du bois, de la pierres, des forêts. Un lieu où enfin la vérité éclatera au grand jour. Un lieu où sont entraînés Césarine, 7 ans, et Auguste, 14 ans.

Césarine c'est l'artiste de la famille. Artiste ça sonne quand même vachement mieux qu'autiste, ça sonne tellement bien que c'est seulement en entendant ce mot que Césarine s'est mise à parler. Petit génie en puissance, aussi calculatrice qu'innocente, on oscille avec elle entre les préceptes de Sun Tzu, les prises d'arts martiaux, et les sourires de Sara, lumineux, gigantesques, atteinte de trisomie 21. Sept ans ? Instinctivement c'est un non, mais quand on comprend tout plus vite – trop vite – ne peut on pas paraître plus ? Quitte parfois à avoir l'impression que le monde ne tourne vraiment pas rond ? Quitte à ne rien comprendre au second degrés, aux expressions et aux sentiments ? Peut être. En tout cas Césarine est certainement mon personnage favoris, j'ai ri, mais tellement ri à ses côtés à mesure qu'elle assène ses quatre vérités à tout ceux qui l'entoure. Elle m'a beaucoup touchée aussi, à sa façon, lorsqu'elle tente d'apprendre à sourire comme Sara, lorsqu'elle pose la main sur la poitrine de sa mère pour l'entendre respirer. Et puis elle est effrayante aussi. Effrayante de justesse et d'efficacité, sans comprendre les limites entre le bien et le mal. Sans comprendre qu'on ne peut pas tuer un homme et seulement se préoccuper de son chemisier (avouez tout de même des taches de sang c'est quand même chiant non ?).

Auguste c'est l'ado de quatorze ans que l'on a tous été. Préoccupé par son apparence, l'image qu'il renvoie aux autres, ce qu'il voit dans le miroir, sa dernière coupe de cheveux. Celui sur qui tout va retomber d'un seul coup sans qu'il n'ait le temps de dire ouf. Celui qui n'est pas prêt et ne le sera jamais tout à fait, mais est-on jamais prêt, à quatorze ans, pour avoir le sort du monde sur les épaules ? Et en cela ça en fait un personnage terriblement réaliste dans tout son égocentrisme, son égoïsme, son idiotie. Parce c'est qu'un gosse qui a envie de bien faire et fait des conneries, inévitablement, mais à qui on ne peut pas retirer le fait qu'il se donne du mal. Un gosse en pleine crise d'ado et qui découvre que son père le forme depuis son enfance à devenir son « héritier », un « gardien ».

Et on en vient -enfin- à la partie la plus intéressante du roman – mais qui sans ses personnages ne tiendrait pas – le scénario. le SCÉNARIO ! Oui je crie parce que bon sang qu'est ce que c'était bien, bien amené, bien ficelé, bourré de petits clins d'oeils, de références, de choses sur lesquelles rebondir, discuter, débattre, et puis jouissif aussi pour ses scènes de combat, l'humour, et des passages truculents comme ça faisait longtemps que je n'en avais pas lus ! Alors on part du postulat que la Confrérie lutte pour la liberté d'expression, ou la liberté d'être -tout simplement- depuis la nuit des temps, depuis Alexandre le Grand voire avant, en passant par les Templiers et tous les grands de ce monde. La Confrérie lutte contre Les Autodafeurs, des méchants, politiques, hommes d'affaires, tyrans, tous ceux pour qui la liberté d'expression, d'écrire, d'échanger, est une abomination, une nuisance. Ça c'est ce que découvre Auguste en écoutant aux portes (d'ailleurs il découvrira beaucoup de choses en écoutant aux portes, ressort scénaristique éculé ou bien tout simplement une connaissance approfondie du comportement des ados ? mmh ?). Après il découvrira que son père, son grand père et toute sa famille depuis plusieurs générations, font partie de cette confrérie. Que lui aussi, et qu'il lui revient à son tour de protéger les livres du monde entier.

Les livres, vous l'aurez compris, ont donc une place capitale et centrale dans ce récit. Il permet d'appréhender le livre non seulement comme un objet, non seulement comme une histoire, mais aussi comme faisant partie d'un tout qui serait la connaissance et la liberté de pouvoir y plonger et en ressortir grandi. Les Autodafeurs est donc un superbe éloge du livre, des mots, et de la liberté d'expression, de s'informer. Alors, comment, en tant que lecteur, ou lectrice, ne pas tomber amoureu.x.se de tout cela ? S'ensuit bien entendu une enquête à la Benjamin Gates, d'énigmes en énigmes, des fuites, des combats, des rencontres (beaucoup de rencontres, du délicieux Néné, à la combattante Inès, en passant par les grossiers frères Montagues, ou Isabelle), des enseignements de tous les coins, ceux qui viennent du coeur, des autres, de soi, et une aventure palpitante digne…d'un roman ? J'ai peut être un peu moins aimé le côté SF du dernier volume, et encore même ça c'était surprenant, venant rajouter la symbolique du temps à toute cette histoire de livres, parce que oui, ces derniers sont aussi les symboles d'une époque, d'un temps ancien ou à venir.

EN RESUME

Si vous aimez les livres, vous aimerez Les Autodafeurs. Au delà de la simple intrigue, entre espionnage, secrets, et enquête, il y a toute la symbolique du livre autour duquel gravite la liberté d'expression, de connaissance, d'information qui se retrouve ici mise en lumière. Et au milieu de tout cela, des personnages inspirés et inspirants, des situations rocambolesques à mourir de rire, des sauts dans le temps, et surtout : Césarine. Un personnage coup de coeur, une artiste-autiste adorable et effrayante, qui a, peut-être, un peu trop lu L'Art de la guerre de Sun Tzu et qui cherche des sourires sur des visages poisson lune.
Lien : https://lesdreamdreamdunebou..
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Mes pages préférées :
• -Dis donc, petite merde, tu sais à qui tu t'adresse ?
- Alors j'hésite entre "le roi des cons" et "l'empereur des abrutis". (p. 194)
• (Son ennemi arrive avec sa grosse voiture)
- Alors, c'est l'histoire d'un petit lapin qui tombe malencontreusement dans un grand trou et qui n'arrive pas à en sortir {...} Ce petit lapin hurle pour demander de l'aide et est finalement entendu par un gentil renard qui passait par là. L'animal, comprenant le problème, laisse alors prendre sa longue queue rousse dans le trou et sort le lapin du piège ou il était tombé. {...} le petit lapin promet au renard d'être toujours là pour lui, et ce qui devait arriver arriva... Un beau jour, le renard tombe lui aussi dans un trou trop profond pour qu'il puisse en sortir et appelle le petit lapin à l'aide. Immédiatement sur les lieux, l'animal tente d'utiliser sa queue pour sauver le renard, mais se rends compte qu'elle est beaucoup trop petite. le lapin part alors chercher une corde et l'attache au pare-chocs arrière de sa voiture. Ce qui lui permet de sauver le renard. {...} La morale de l'histoire est quand on a une petite queue, faut avoir une grosse voiture. (p. 234-235)
• Un moment j'ai cru qu'elle parlait de mon frère, surtout quand elle à preciser que l'amour pouvait rendre idiot, mais ensuite, quand elle a ajouté que l'amour pouvait rendre généreux, fou, malheureux ou heureux, que l'amour était à la fois la plus belle et la plus atroce des choses, que l'amour pouvait à la fois vous arracher le coeur et vous en créer un nouveau... j'ai bien compris qu'elle ne parlait pas de Gus. (p. 584)
• JE N'AIMAIS PAS LES MANEGES !!!! Alors, bordel de Dieu de putains de merde, qu'est ce que je FOUTAIS accroché à un p... de filet qui tournait dans tout les sens à plus de dix mètres du sol ? (p. 676)
• En résumé, disons qu'il faut toujours beaucoup réfléchir, tout analyser et tout vérifier avant de prendre une décision et d'agir parce que souvent, la meilleure façon de gagner du temps, c'est d'aller lentement. (p. 885)
• {...} et ensuite parce que pour moi "chauve-souris" rimait avec "truc qui vole" {..}. (p. 942)
• - Oui mais et si...
- Si ça lui convient pas tu lui pères la gueule, abruti {...}. (p. 1005)
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C'est une série jeunesse qui s'est plantée comme étant une ref pour la litt. jeunesse francophone et, ne l'ayant pas lue plus jeune, j'avais quand même bien envie de découvrir cette série dont j'ai entendu beaucoup de bien. Malheureusement, je crois que je suis quand même un peu trop grande pour ce genre de récit, car, autant j'ai retrouvé le peps et les rebondissements que j'aime tant dans les romans d'action pour ados, autant d'autres aspects m'ont tellement énervée. le récit est parsemé de schémas familiaux toxiques et/ou dépassés (sexisme, possessivité maladive et jalouse du fils envers sa mère, infantilisation et passivité de la mère, héroïsme du père, etc) qui m'ont sortie de la lecture. Je ne comprends pas l'intérêt d'avoir choisi un héros qui devient quelqu'un de décent au 3e tome seulement ? Il est évident que son histoire, la perte de son quotidien et d'une partie de sa famille, puissent le chambouler. Mais de là à faire des remarques sexistes à tout va, à dénigrer les autres, à avoir un comportement exécrable envers sa mère (ha, un jour j'aimerais parler des daronnes en littérature jeunesse, surtout confrontées à la figure du père, y'en a des choses à dire sur le bon sexisme intériorisé), je n'ai pas compris. Je vois bien que l'autrice a choisi un héros "cool, ado de tout les jours", mais pouah, il était imbuvable 2/3 du temps. Heureusement que Césarine, l'autre protagoniste de l'histoire, rattrape le tout. Je crois que je suis allée au bout du série pour elle hehe. C'est une jeune fille autiste et j'ai trouvé génial que M. Carteron mette un personnage autiste en scène, sans masquer son handicap ni en faire un don pour se sortir des passes difficiles (même si ça sert l'histoire à plusieurs reprises, on va pas se mentir).
En termes de scénario, ça alterne entre les passages plus sérieux, vifs de l'histoire principale et des moments plus détente du quotidien des héros. Cette 2e partie m'a moins intéressée, car les histoires de collèges, bon. Mais sinon, je trouve qu'il y a globalement de bonnes idées autour de l'Histoire, de la littérature, de la Mémoire (je mets des majuscules volontairement), de la censure, de la culture, etc. Des pentes qui peuvent rapidement devenir glissantes, mais qui restent ici plutôt sages pour rester dans l'adn jeunesse de la série. La fin du T3 m'a franchement plu ! C'était osé et un peu abusé, mais j'ai bien aimé haha. En plus, ça créé un lien avec son autre série et le concept me plaît.
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Je ressors extrêmement satisfait de cette lecture. Tout d'abord, le style de l'auteure est délicieux : partout de l'humour, des blagues savoureuses, il m'est souvent arrivé de rire, ce qui est plutôt rare dans un livre.
Je trouve que les récits d'adolescents d'aujourd'hui sont, dans la plupart des cas, raté, dans le sens où les personnalités des personnages me semble bien souvent grotesque et déconnectée de la réalité, et je sais de quoi je parle, en étant un. Mais ici, ce n'était pas le cas, et j'ai trouvé les personnages crédibles et vrais et m'y suis attaché. Je me suis senti être leur complice à leur côté tout au long de cette histoire et je suis réellement triste à l'idée de ne plus les revoir ayant fini mon livre. Je pense bien sûr à Auguste dont le prénom se rapporte, comme je l'ai déjà dit, à son vénérable humour, mais aussi, évidemment, à Césarine qui est un personnage tout bonnement incroyable. Sans en trop dire, elle m'a, tout d'abord, convaincu de lire Sun Tzu et étant autiste, elle est aussi d'une intelligence et d'une logique déconcertante, délectable et même drôle, si bien qu'on pourrait presque vouloir être autiste si l'on oubliait qu'il n'est pas toujours facile de l'être, comme on le découvre. J'ai aussi apprécié le rythme et la trame de l'histoire : Marine Carteron a su mêler une intrigue passionnante et haletante à la vie privée des personnages, tout aussi intéressante. En effet, malgré son apparence un peu complotiste (même si je sais que c'est une fiction) l'histoire est réellement bonne et les affaires de rivalité entre camarades/ennemis et d'amours sont excellentes.
Je conclurais bien ma critique par l'énumération de défauts du livre, mais je n'en trouve pas, aussi, je la conclurai ainsi : je conseille vivement la lecture de ce roman et tout particulièrement aux lecteurs adolescents (je pense qu'il pourrait plaire même aux plus réfractaires à la lecture puisqu'il se lit très facilement) mais aussi aux autres. Ce fut pour moi, une lecture très agréable et il me tarde de retrouver la plume de Marine Carteron dans d'autres romans.
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Auguste Mars et sa soeur Césarine viennent de perdre leur père, victime semble-t-il d'un accident de la route. Mais bientôt, ils se rendent compte que la mort de leur père était loin d'être accidentelle... En effet, leur père était un Gardien. Gardien des livres, tué par les Autodafeurs, une organisation secrète qui a pour but d'instaurer une pensée unique. Gus et Césarine n'ont pas le choix: il leur faut reprendre le flambeau et protéger les livres coûte que coûte!
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👍 Ce qui m'a plu dans cette saga: ça parle de livres. de l'importance des livres, de la dangerosité d'une pensée unique, de l'importance de la pensée critique. le personnage de Césarine m'a beaucoup plu, ses réflexions toujours d'une logique implacable, ses déductions, son côté très terre à terre, son intelligence singulière... Je n'ai pas beaucoup lu de romans présentant des personnages ''artistes", mais je trouve toujours cela très intéressant! Les traits d'humour de Gus m'ont parfois faite rire!
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👎🏻Ce qui m'a moins plu: le rythme!! Quel dommage, mais pour moi tout fonctionne de façon trop hachée... Il ne se passe rien, puis tout! Trop de passages de "récupération", où les héros se préparent, récupèrent, vivent leur vie, et l'action toujours trop rapide, parfois un peu expédiée à mon goût... Et un tome 3 qui se clôture beaucoup trop vite après tous ces mystères sur LE livre! J'ai trouvé dommage que la problématique des Autodafeurs, de l'importance des livres ne soient pas plus importantes. Et le côté "science fiction" de la fin tombe un peu à plat... J'ai aussi eu un peu de mal avec Gus par moments, qui oscille entre "ado stupide" et "grand sage" tout le long de la trilogie.
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👉🏻En bref, une chouette saga mais qui pour moi souffre de quelques petits défauts qui m'ont empêchée d'y accrocher complètement... Mais suffisamment pour la terminer!
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
On aurait dit un poisson-lune avec des cheveux bruns et une barrette rouge. Marie est arrivée juste à ce moment là et m’a dit que Sara n’était pas une artiste, mais qu’elle était atteinte de «trisomie 21 » et que c’était « une anomalie génétique congénitale» parce qu’elle avait « un chromosome surnuméraire », mais que si sa trisomie la rendait, comme moi, différente des autres, cela ne l’empêchait pas de faire plein de choses. C’était un peu compliqué comme explication, alors j’ai regardé dans le dictionnaire. Surnuméraire, ça veut dire « en plus ».
J’ai donc pensé que Sara avait de la chance car elle avait quelque chose « en plus » des gens « normaux ». Même que j’ai tout de suite vu ce qu’elle avait de plus que moi : (…) Sara sait lire, écrire et compter, mais surtout… elle sait sourire.
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Si papa était un grille-pain , on dirait qu’il est cassé , mais comme c’est un humain, on dit qu’il est mort.
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Il n'y a de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
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Dans la vie, il y a des moments où on se berce d’illusions et il faut avouer que je suis coutumier du genre.
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La fin des livres signerait la fin de l’humanité.
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Vidéo de Marine Carteron
Une longue discussion de La Garde de Nuit autour du roman "Pallas", de Marine Carteron.
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