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3,75

sur 252 notes
New-York, Gloria, 9 ans à peine, se fait enlever et cela bêtement au nez et à la barbe de la mère et du frère par un homme introduit chez eux afin de discuter d'un éventuel engagement du fils pour quelques aides.

Edgard Nichols est le monstre dans toute sa splendeur et pourtant c'est un père de famille, marié tout ce qui a de plus normal en apparence ..
Il travaille aux archives d'une grande bibliothèque.

Stanislas Levine est un super flic décoré, Il est capitaine de la N YPD 21e Principe, a un caractère de cochon que plus d'un craignent.

Son acolyte est le sergent Swanson, Stan, pour les intimes (ils sont amis depuis longtemps).
Ensemble, ils se lancent dans la traque de ce criminel.
Stan va cheminer sur des terrains très délicats en compagnie de son ami et surtout il n'aurait pas dû défier ce maniaque en le traitant de débile…

On est dans la tête de cet infâme individu qui viol, torture, et pire encore mange certaines victimes. C'est un sadique supplanté masochiste et Il se sert de sa religion comme guide dans ses actes cruels.

Une totale immersion dans le New York des années 80.
Il faut le remettre dans son contexte et idées de l'époque, il y a 44 ans et là c'est intéressant de voir l'évolution des mentalités.

C'est très dur et certainement pas à mettre entre toutes les mains. Àmes sensibles passez votre chemin.

Malgré l'horreur des faits, il y a dans l'écriture de la réflexion, l'autrice évoque des sujets encore d'actualités et donne ce ton américain qui sied au livre malgré une autrice française.

En terminant j'étais un peu sur la déception et par miracle il y a une suite que je lirais.
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Edgar Nichols, personnage inspiré d'un criminel ayant sévi dans les années 30, aux États-Unis. Suite à une interview du chef de la police Stan Levine, où celui ci affirme que la ville de New York est en sécurité. Alors qu'un tueur Sadomasochiste-cannibale a déjà fais 3 victimes en l'espace d'un moi. Nichols prend cela pour une provocation et lance un défi à Levine. Il a 5 jours pour le retrouver sa fille qu'il vient d'enlever, et lui. Après cela le mal lui sera fait.

Maud Tabachnick nous emmène sur l'histoire d un criminel inspirer par une de ses lectures. Ce thriller noir est bourré d'incohérence, je ne comprend pas q'une Mère puisse laisser son enfant à un inconnu, qu'un personnage publique ne ce fasse pas pincer facilement, alors que son visage circule dans la presse...style peut rechercher, personnages borderline, violence pour de la violence. Lecture rapide et décevante.
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Un monstre anthropophage et démoniaque s'abat sur New York. Plus que noir...abyssal. Dans les profondeurs de l'âme d'un tueur en série et des bas fonds new yorkais. La ville palpite...A la rencontre de nouveaux pervers virtuels et de dévoyés de tout ordre et haut placés...Dans un tel cloaque, le capitaine Lévine va se battre jusqu'à la fin.
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S'inspirant d'un tueur en série qui a déjà existé, l'auteure nous propose un roman qui fait froid dans le dos. Elle nous propose l'histoire d'un tueur qui s'en prend à des jeunes filles et jeunes hommes, en leur faisant subir les pires sévices. Et la particularité de ce tueur, c'est qu'en plus d'infliger des choses atroces à ses victimes, il s'en inflige à lui-même, prenant carrément son pied à voir la terreur dans les yeux de ceux qui le regardent. Et certaines scènes sont franchement dégueulasses... il faut avoir le coeur bien accroché.
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A New-York, un duel entre un flic reconnu et un psychopathe présentant moult perversions, presque trop... Une enquête dans l'urgence avec des personnages et des situations intéressants. Par contre qu'un tueur en série de ce profil ait une vie de famille aussi lisse, sans réels problèmes et contraintes pour exprimer ses perversions m'apparaît comme une faiblesse dans ce scénario...
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Pour se venger du capitaine de police Stan Levine qui l'a défié devant les caméras de télévision, Nichols, un tueur en série enlève sa fille et lui donne 5 jours pour les retrouver avant qu'il ne la tue. Quand on sait que ce psychopathe cannibale qui n'est pas à son premier coup d'essai, souffre de toutes les perversions sexuelles possibles et imaginables, comme le sadisme, le masochisme, le voyeurisme, la coprophagie, j'en passe et des meilleures, cela laisse perplexe quand à l'issue de l'enlèvement.

Ami lecteur, vous êtes prévenu par une mention sur la première de couverture : "Un thriller à ne pas mettre entre toutes les mains." Si vous persistez, vous aurez droit à un aller-simple pour l'enfer car en matière de psychopathe, j'ai rarement connu pire et pourtant je ne suis pas une novice dans le genre"gore". Cela dépasse tout entendement et pourtant l'auteure avoue s'être inspirée d'un criminel ayant existé aux États-Unis dans les années trente. Je n'ai malgré tout pas vraiment été séduite par cette découverte de Maud Tabachnick. J'ai eu du mal à croire à cette histoire : comment des parents peuvent-ils confier leur fillette à un inconnu ? Comment le meurtrier peut-il passer inaperçu alors qu'il travaille dans une bibliothèque, officie à visage découvert et qu'un portrait-robot a été diffusé ? Je trouve aussi, qu'à part les descriptions des longues séances de tortures en tout genre que Nichols fait subir à ses victimes ou à lui-même, le reste n'est pas assez creusé. J'aurais aimé en connaitre davantage sur les personnages, notamment sur le passé du tueur, sur son rapport avec la religion et sa fascination pour le châtiment et l'expiation. le dénouement aussi m'a laissée sur ma faim. J'ai par contre apprécié de survoler les quartiers des bas-fonds de New York.

Un polar honorable mais qui manque de profondeur auquel j'accorde un 8/20 car j'en attendais plus.
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C'est un excellent thriller mais très noir et très violent. Certains passages peuvent choquer et sont durs à lire.
Le rythme est haletant grâce à de courts chapitres. La traque du tueur m'a tenu en haleine et le suspens est tellement insoutenable que je n'ai pas vu défiler les pages.
Ce n'est clairement pas un livre à mettre entre toutes les mains mais j'ai passé un excellent moment .
A noter que Maud Tabachnik s'est inspiré d'un criminel qui a existé aux Etats- Unis dans les années trente ce qui est encore plus terrifiant !
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Albert Fish, ce nom vous dit-il quelque chose?
Maud Tabachnik s'est inspiré des monstruosités commises par cet homme dans les années 1930 pour écrire le cinquième jour. En ouvrant ce livre, vous allez plonger dans la barbarie et la folie à l'état pur. Maud Tabachnik ne vous épargne rien.

Quelques mots...pour vous mettre l'eau à la bouche...
Gloria, une jeune fille suit un inconnu qui l'invite à un mystérieux anniversaire. Plus tard, deux meurtres sont signalés à la police de New York. Les corps sont atrocement violentés et mutilés. Apparemment rien ne relie les deux meurtres: celui d'un prostitué et celui d'un jeune homme déficient mental. Stan Levine, inspecteur chevronné de la police de New York pressent le danger qui plane sur la ville ( et sa famille...) et s'engage alors à la poursuite du tueur.

Les courts chapitres et l'alternance des points de vue donne à ce roman un rythme haletant et font tourner les pages de ce livre frénétiquement. le lecteur attend impatiemment la rencontre entre le chasseur et la proie...ou peut-être est-ce l'inverse...

Le style de Maud Tabachnik est très direct et cru; c'est pour cela que le cinquième jour n'est pas, à mon avis, à mettre entre toutes les mains car certains passages peuvent choquer. L'histoire est directement inspiré de celle de Albert Fish, un tueur en série cannibale qui a sévit dans les années 1920-1930 aux Etats-Unis. le suspense est bien mené, sans aucun répit pour le lecteur, jusqu'au final surprenant et qui laisse sans voix.

Mon conseil: un livre...à dévorer...
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Je n'avais jamais lu jusqu'ici un seul roman de Maud Tabachnik. le style du "Cinquième Jour" est très "coup de poing américain", ce que je ne déteste pas, bien au contraire. L'intrigue est intéressante en ce sens qu'elle "dépoussière l'image" d'un tueur série qui a réellement existé, Albert Fish - mais qui mourut sur la chaise électrique à Sing Sing en 1936 - en le faisant sévir à New-York à l'époque du Net et des portables. Se mêle à cela une seconde intrigue sur un réseau pédophile.

C'est noir et sans espoir. Les détails sont assez crus mais enfin, j'ai lu pire. Ce qui m'a gênée, je l'avoue, c'est la manière dont l'auteur fait son tueur, qui est catholique (je ne suis pas certaine que Fish l'était mais je ne m'avancerai pas sur ce point, sa famille étant d'origine irlandaise), enlever la fille du flic qui le poursuit, Stan Levine, lequel, évidemment, est juif - un peu agnostique sur les bords mais juif tout de même. Tant pis si je révèle l'intrigue mais le tueur, un sexagénaire nommé Edgar Nichols dans le livre, poussé dans les retranchements de sa folie (comme Fish, qui servit de modèle à l'auteur, c'est un pervers absolu), tue la jeune fille en la crucifiant. Après ça, il s'avanouit dans la nature. le Mal court donc toujours tandis que le réseau pédophile reprend paisiblement son activité aux plus hauts niveaux de la société. Je précise que Mme Tabachnik n'a pas jugé bon de faire savoir à son lecteur si, parmi les pédophiles en question, il y avait des juifs - mais je suis certaine qu'il y avait des WASPS bon teint et sans doute quelques cathos. Cela aussi, ça m'a semblé un tantinet frustrant.

Encore plus frustrant, si je puis dire : le comportement de Levine qui, à peine officiellement chargé de l'affaire Nichols (dont on ne connaît pas encore l'identité) fait, à la télévision, ce qu'un flic qui a vingt ans de carrière derrière lui ne ferait jamais, à savoir rouler des mécaniques et défier le tueur. Tout ça sans avoir au moins demandé que sa famille fût mise sous protection policière. Peut-être parce que j'ai regardé trop de séries et de films justement américains, pareille attitude, chez un gradé du NYPD, m'a tout bonnement stupéfiée. D'un petit "bleu", passe encore. Les "bleus", c'est fait pour faire des bêtises, pour piétiner les lieux de crime et donner sans le vouloir tout plein de renseignements à la presse. Ce sont aussi les "bleus" qui gonflent les muscles et roulent des mécaniques pour se faire valoir, ce qui leur attire souvent l'ire du meurtrier. Enfin, vous voyez ce que je veux dire, n'est-ce pas ?

Mais un gradé de la Police de New-York, avec vingt ans de bons et loyaux services derrière lui, l'un des meilleurs détectives du coin en plus, non, franchement, là, je suis désolée mais ce n'est PAS possible ... Oh ! J'ai lu jusqu'au bout, bien sûr mais je n'ai pas du tout été convaincue. Néanmoins, cette histoire de crucifixion me travaille pas mal : Dieu sait si Albert Fish a commis de horreurs mais enfin, bien qu'il ait affirmé l'avoir fait de temps à autre parce que, justement, "Dieu le lui ordonnait", je ne me rappelle pas qu'il ait manifesté la moindre fixation anti-sémite. Pour Albert Fish, tout était bon à tuer, en particulier les jeunes enfants.

Du coup, je lirai un autre livre de Tabachnik. Juste comme ça. Pour voir s'il y est encore question de juifs et de cathos qui veulent les crucifier par exemple - et de religion en général. Allez, on en reparle un de ces jours. Ciao ! ;o)
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Ce livre ne tombe pas dans le trop... Pourtant le thème abordé est tellement dur. Pourtant, je n'ai jamais eu la sensation d'être mal à l'aise. Les faits sont racontés sans rien rajouter. Ils sont pourtant durs, horribles.

Ce livre est terriblement addicitf (lu dans la journée...) car le scénario prévu est si bien ficelé qu'on veut savoir la fin. J'ai plusieurs fois été surprise, étonnée, dégoûtée, choquée, mais finalement impressionnée par l'écriture sans compromis de Maud Tabachnik.

Les personnages sont tous très bien décrits, humains j'ai envie de dire, hormis le tueur "psychopathe" évidemment, diaboliquement intelligent, grand manipulateur au sens psychiatrique du terme.

Ce livre est merveilleusement bien écrit, très prenant, et ça jusqu'à la dernière page. J'ai vraiment aimé. Je le conseille vraiment. Par contre, après cette lecture, j'avais besoin de quelque chose de plus léger, parce que malgré tout, ça touche drôlement...
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