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Voici encore un tome bien rempli. Cette fois, nous accueillons Kisa. Cette petite fille de 12 ans est le tigre et elle souffre beaucoup des moqueries de ses camarades de classe, à tel point qu'elle s'est enfuie de chez elle. Hatsuharu la retrouve et la confie à Tohru qui devient immédiatement sa grande amie. Grâce aux attentions de notre héroïne et de Yuki, la petite Kisa recommence à parler.
Dans la dernière partie, Tohru tombe malade. Nous découvrons alors Kyô sous un autre jour : il fait la cuisine pour la jeune fille ! C'est si amusant de voir ce gros dur aux petits soins avec une fille !
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Un plaisir de rencontrer Kisa dans ce tome... :) Personnage déjà très attachant, en plus le tigre étant un animal que j'adore, je suis faite pour l'aimer cette petite moi ! ^^
Enfin je n'ai pas grand chose à dire moi sinon...
En tout cas, j'aime vraiment beaucoup les personnages de cette série !!
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Voilà ce que j'appelle un tome parfait. du moins, disons qu'il était parfait pour mon état d'esprit du moment, et que j'ai trouvé très reposant de lire ce tome cinq. J'avais continuellement un sourire accroché aux lèvres, tantôt par amusement, tantôt par tendresse. Et c'est ce que j'apprécie vraiment dans le manga de Natsuki Takaya. Même si certains disent que son héroïne est naïve voire niaise, moi, je ne trouve pas. Tohru est courageuse, adorable et vraie. Elle est naïve, certes, mais c'est avant tout sa gentillesse extrême qui donne cet effet, et quand on apprend à un peu mieux la connaître grâce aux dessins de la mangaka, on découvre un courage sans faille et une enfance souvent triste. La force de Tohru, c'est son vécu et sa façon d'appréhender la vie. Certains ne se laisseront sans doute pas charmer, mais moi, je l'adore notre Tohru. Elle me fait toujours sourire et même dans les moments tristes, elle parvient à donner du baume au coeur aux lecteurs et aux personnages qui l'entourent.

(Attention spoilers possibles)

Ainsi, même si la première partie du tome est plutôt drôle, la rencontre avec Kisa, la plus jeune des douze, hantée par le tigre, nous rappelle que Fruits Basket est avant tout un drame. La malédiction fait bien sûr partie intégrante de ce côté dramatique, mais à cela vient s'ajouter les périples de la vie. Kisa s'est enfermée dans un mutisme qui inquiète ses proches à cause des brimades qu'elle reçoit à l'école. Au japon, ce genre de phénomène est malheureusement assez commun et il arrive régulièrement que des enfants ou des adolescents craquent face à cette violence psychologique. Bien entendu, Natsuki Takaya ne parle pas des suicides qui surviennent lors de tels comportements, mais il n'en reste pas moins que la souffrance de Kisa est bien réelle et qu'elle en souffre énormément. Nous apprenons aussi que Tohru a été victime très jeune de moqueries de la part de ses camarades. C'est sa honte d'être l'objet de ces moqueries qui lui a empêché d'en parler à sa mère. Ce cercle vicieux que rencontre Kisa et qu'a rencontré Tohru et Yuki est très bien mené par l'auteur. On ressent aisément la douleur de l'enfant et on comprend son agressivité et son mutisme.

Je trouve cependant dommage que le dénouement de ce passage soit la prise de décision de Kisa de "changer". Il est vrai qu'essayer d'aller plus vers les autres pourra peut-être calmer le jeu, mais pourquoi devoir changer ? N'est-ce pas en un sens donner raison à ceux qui briment ? Je n'arrive pas à voir une bonne chose dans cela. D'accord, Kisa a l'air d'être déterminée et de vouloir avancer, devenir meilleure, ne pas s'arrêter devant cet "obstacle"... Mais la petite fille ne devrait pas changer qui elle est pour autant. Je sais qu'elle dit qu'elle fera de son mieux et que si ces camarades ne changent pas, elle ne se laissera pas abattre, elle n'a pas réellement l'intention de changer en soit, plutôt d'évoluer... Mais cela me gène quand même un peu. Sûrement parce que j'aime beaucoup ce personnage. J'espère d'ailleurs la revoir très vite.

La fin du tome soulève un point très important. Derrière le côté très drôle de l'histoire qui met en scène Saki, on se rend compte que les Douze changent grâce à Tohru, qu'ils semblent de plus en plus apaisés avec eux-même et que la présence continue de notre héroïne a un bien fait inimaginable sur eux. Si bien que Saki se sentait jalouse de ces relations. Comme si les Soma avaient volé Tohru. Ce sentiment de jalousie renforce ce que je disais au tout début, à savoir que Tohru est un personnage fort, d'une gentillesse rare, si bien qu'elle attire certaines personnes autour d'elle, au point de les changer et de les apaiser. Et finalement, cela ne concerne pas que les Douze. Les maudits paraissent ainsi plus dans "la norme". Tohru est une sorte de remède universel ! Et c'est cet espoir qu'elle véhicule qui fait d'elle une héroïne.
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Encore un super tome, je ne me lasse pas de ce manga qui me surprend toujours un peu plus à chaque fois et qui trouve toujours un écho en moi.

Shiguré, Kyô, Yuki, Hatori et Tohru prennent un peu de repos dans une résidence secondaire de la famille Soma. du repos... hum, c'est un grand mot. Kyô et Yuki agissent étrangement en présence de Tohru depuis quelques temps, l'ambiance n'est plus la même et cela inquiète notre héroïne de ne plus les voir se disputer comme d'habitude, elle se rend alors responsable, sans savoir pourquoi mais il suffit d'une situation cocasse pour le trio et les choses s'arrangent. Un individu connu refait son apparition dans ce tome-ci: Ayamé, le frère de Yuki. Il éclipse alors les autres personnages, je l'adore! Un trio se reforme dont le temps de quelques jours: Shiguré, Ayamé & Hatori, ce que j'ai beaucoup apprécié.
Une semaine de vacances tous ensemble, et c'est déjà l'heure de rentrer et une surprise les attend: Hatsuharu ramène Kisa Soma, une petite-fille changée en tigresse qui refuse de se retransformée et ne parle pas, suite à des problèmes en partie liés à l'école. Tohru a toujours les mots qu'il faut, elle touche les gens toujours au plus profond d'eux-même (je ne tarie jamais d'éloges à son sujet), elle ramène alors Kisa de loin qui redevient une petite fille (elle est absolument trop mignonne!) qui ne quitte plus Tohru d'une semelle même si elle n'a toujours pas prononcé un mot. Que de souffrances, de tristesse, d'émotions en somme car cette petite a subi les moqueries incessantes de ses camarades de classe; car Yuki a subi des souffrances similaires étant plus jeune et lui aussi trouve les mots justes envers Kisa qui reprend enfin confiance en elle.
La partie sur Saki, son frère et les pimbêches du fan-club de Yuki ne m'a pas vraiment intéressé alors je ne vais pas m'étaler dessus, je dirais juste qu'elles pensaient pouvoir détourner Tohru de Yuki, en se débarrassant de Saki et de ses "ondes", un obstacle entre elles et Tohru mais que ce fut un échec total donc tout est bien qui finit bien.
Dans la dernière partie, Tohru n'a pas réussi son examen et doit passer le rattrapage. Elle est anéanti mais ses amis sont là pour elle, pour la soutenir et pour rien n'arranger, elle tombe malade... Heureusement, Kyô est aux petits soins pour elle, à l'écoute... ses sentiments se précisent de plus en plus, je trouve...


Sur la couverture: Kaguré (même si elle n'est absolument pas présente dans ce tome, j'aurais plutôt choisi Kisa, moi)
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Après une période de repos près d'un lac pour nos amis, c'est avec Kisa que l'on va faire connaissance dans ce tome. Kisa est une jeune fille de 12 ans hantée par l'esprit du tigre. Victime de brimades, elle s'est murée dans un silence et refuse de retourner à l'école. Avec son arrivée, on va découvrir d'autres facettes de nos personnages : Hatsuharu qui se montre très protecteur envers Kisa (j'aime vraiment beaucoup leur relation, Haru se montre très fraternel), et Yuki, qui se sent proche de Kisa par le vécu. On sait déjà que ce dernier a souffert de son enfance mais à ce stade de l'histoire, on ne connait pas les détails de cette situation. Et puis il y a Tohru aussi, bien sûr !
Tohru a toujours le bon mot, son pouvoir est de savoir à quel instant le prononcer pour toucher les coeurs. Non seulement, elle sait apaiser les autres personnages, mais elle nous apaise nous, lecteurs. En ce qui me concerne, ses paroles trouvent toujours un écho en moi, même si je ne suis pas dans la même situation que le personnage concerné. C'est la grande force de Tohru.
Mais elle n'est pas inhumaine, la preuve, elle peut aussi tomber malade... (Je veux bien être malade si Kyô s'occupe aussi bien de moi !)

Les relations évoluent, de nouveaux personnages sont évoqués... Voilà un tome qui ne nous lasse pas, dans la lignée des précédents !
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J'adore cette série, je me replonge dedans avec toujours autant de plaisir. Nous faisons la connaissance de Kisa, qui est le tigre. Étant moi-même de ce signe-là, j'ai beaucoup de mal à ne pas craquer et à faire comme Tohru en la trouvant trop mignonne et la câliner. Mais il n'y a pas que cela, qui fait que l'on a envie de faire ça. Comme beaucoup des autres maudits, la malédiction pèse sur eux et à chaque nouvelle rencontre, on a l'impression de voir de plus en plus l'ampleur que la malédiction peut avoir sur eux, de façon certes, complètement différente, mais au final seulement eux peuvent comprendre le malheur des autres maudits et peuvent les soutenir. Yuki a de très belles paroles pour Kisa qui font réfléchir que l'on soit maudit ou pas. Je me permets de vous les glisser :

«Kisa, cette lettre. Elle dit que tu dois t'aimer toi-même. Mais qu'est-ce que ça signifie vraiment ? Nos qualités, comment faire pour les trouver ? On ne voit que nos défauts et nous les détestons. Et c'est bien pour cela que nous ne nous aimons pas. Alors, si on essaie de trouver nos qualités par nous-mêmes, on ne trouvera rien. Ce n'est pas si facile, ce n'est pas de cette manière que ça fonctionne. Quand quelqu'un te dira à quel point il t'apprécie, ou qu'il t'aime, alors c'est là, et seulement à ce moment-là que tu pourras t'aimer toi-même. Tu n'es pas d'accords ? Quand on t'acceptera telle que tu es, tu auras l'impression, que tu pourras enfin te pardonner et que tu pourras enfin t'aimer. »

Il y a plein de moments comme cela durant notre lecture, où l'on se rend compte l'envers du décor de la malédiction, mais que ces simples paroles peuvent aussi nous parler à nous simple lecteur. C'est ce qui en fait un manga merveilleux. Mais il n'y a pas que ce côté sombre, nous avons aussi pleins de moments de joie et de rire, qui nous font oublier un peu leur malédiction. Puis finalement, on en apprend toujours un peu plus sur nos personnages et le lien unique qui les lie les uns aux autres. On voit aussi que Tohru prend de plus en plus de place dans la vie des maudits, mais aussi dans leur coeur. Enfin bref Kisa reste ma petite chouchoute, mais j'ai vraiment hâte de redécouvrir la suite.



En conclusion, une fois de plus un tome tout en émotions, riche de belles paroles qui touchent les personnages, mais aussi le lecteur. Je n'ai jamais compris comment l'auteur réussi aussi bien cet effet. Elle arrive à prendre des tracas que l'on connaît ou que l'on a vus et à les mettre en scène au travers de ses personnages. C'est un manga que je recommande chaudement, il est tout simplement merveilleux à vivre et à lire. Nous avons le rat, le chat, le chien, la vache, le serpent, le dragon, le lapin et le sanglier (cochon), nous venons de rencontrer le tigre, je me demande quel sera le prochain signe. J'avoue que j'ai un peu tout oublié…
Lien : http://plaisirdelire01.blogs..
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Le personnage de Kisa est un de mes personnages préférés. Elle est mignonne et le tigre est un super animal. Un tigre c'est violent, c'est fort et courageux. Kisa est un petit être fragile qui se fait battre. C'est triste. Mais comme d'habitude : Tohru à la rescousse!
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Des quatre histoires graphiques que vous m'aviez sélectionnées, ce cinquième opus est ma seule déception. Je lirai certainement la suite mais j'avais un souvenir plus heureux de ma lecture des tomes précédents.
Il faut dire que je me suis plongée dans ce volume sans aucun souvenir, ou presque. J'ai bien tenté de me remémorer les grandes lignes de l'histoire en relisant mes anciennes chroniques, mais peu d'éléments sont revenus à ma mémoire. J'ai donc eu beaucoup de mal à me remettre dans le bain et les premières pages ont été plus que chaotiques : j'étais complètement paumée. Et je ne sais plus si j'avais déjà eu quelques difficultés de compréhension précédemment mais là, je trouve que le sens de lecture japonais n'est pas forcément toujours aisé à suivre. Soit j'ai perdu l'habitude (c'est fort probable), soit ce n'est pas toujours très logique, ce qui prête à confusion et c'est bien dommage. Certaines scènes m'ont donc paru encore plus obscures et je crois même que je suis passée à côté de quelques dialogues. D'ailleurs, ça aussi ce n'est pas toujours évident, car on en vient parfois à devoir deviner qui « parle », ce n'est pas clairement indiqué (moi il me faut une bulle avec une petite pointe de flèche qui part de la bouche du personnage, voyez…). Bref. Tout ça a participé à ma déception, je pense ; en tout cas ça n'a pas aidé à ce que je profite pleinement de ma nouvelle plongée dans l'univers de Fruits Basket.
J'ai également été surprise par l'agacement que j'ai ressenti envers les personnages principaux, Tohru en tête. Elle pleurniche et s'applatit quand même beaucoup cette petite non ? Etre gentille, polie et bien élevée c'est bien, mais à ce point-là, c'est quasiment se faire piétiner par les autres. Elle est mignonne mais elle est un peu fadasse la petite, non ? Quant à Kyô et Yuki… ils passent leur temps à se chamailler et semblent constamment bouder !? A la limite du supportable ! J'espère qu'ils évolueront un peu dans les volumes suivants parce que leur comportement est un peu lourd.
Malgré tout, ce cinquième tome, comme les quatre précédents, apporte son lot de bons sentiments et d'émotions. C'est une histoire d'amour filial et surtout d'amitié. C'est plein de tendresse et de douceur… un peu comme les traits des illustrations. A la limite du très féminin d'ailleurs puisque les garçons sont très androgynes, ce qui est souvent le cas avec les mangas. Ce n'est pas désagréable mais je trouve que toutes les figures masculines ont tendance à se ressembler… ce qui n'aide pas, encore une fois, à la bonne compréhension des scènes.
Un tome qui n'apporte pas grand chose, je trouve car un peu répétitif et pas forcément passionnant côté mini-intrigues (bien que celle dédiée au harcèlement scolaire soit émouvante). Malgré tout, les bons sentiments sont bel et bien présents et c'est un peu ce qu'on attend d'un tel manga.
Lien : http://bazardelalitterature...
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On recontre Kisa, qui m'a tellement touchée étant enfant et qui me touche encore aujourd'hui. Elle a un passé très douloureux mais parvient à se battre à nouveau pour reprendre goût à la vie. Et Saki joue un drôle de tour aux pimbeches, tout est bien en somme
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J'ai bien aimé le petit séjour dans la résidence secondaire des Soma, et puis, j'aime de plus en plus le personnage d'Hatori !
Kisa est aussi une petite fille très adorable, j'espère la retrouver dans les prochains tomes !
À la fin, c'est vraiment mignon que Kyô s'occupe de Tohru alors qu'elle est malade !
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