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EAN : 9782490591145
M+ éditions (12/12/2019)
4.23/5   66 notes
Résumé :


J’ai toujours présumé qu’au moment précis où l’on rencontre quelqu’un, on sait déjà de manière diffuse ce qui adviendra de la relation. Et l’émotion qu’engendre ce regard initial est à la hauteur de l’importance que prendra cette personne.

Et si comme Mélisende et Guillaume vous découvriez un étrange tableau ?
Un tableau sur le point de bouleverser votre vision de la vie ?

Au second plan, derrière une... >Voir plus
Que lire après La chinoise du tableauVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (50) Voir plus Ajouter une critique
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Il y a des livres qu'on aime un peu, d'autres davantage, certains nous plaisent moins et puis parfois au milieu de toutes nos lectures on découvre un bijou, plein de sérénité, de sagesse, de beauté, de douceur et d'amour.
Mélisende est professeure de chinois, Guillaume architecte, il a suffi d'un regard et les voilà aimanter par une puissance qui les dépasse.

Un vide-grenier, un tableau, une belle Chinoise en premier plan et en arrière-plan un couple âgé qui est leur réplique trait pour trait. le vieillard porte la même montre que Guillaume, un modèle unique hérité de son père, une coïncidence, pas sûre. Mélisende et Guillaume partent donc en Chine pour éclaircir le mystère de cette toile.

Florence Tholozan nous offre donc une plongée au coeur de la vie chinoise, de ses traditions, de sa culture tellement différente de la nôtre. Les entrailles du vieux Pékin, le labyrinthe de ses ruelles, Les Hutongs et ses habitations traditionnelles menacées par une urbanisation frénétique, et les beaux et reposants paysages de Yangshuo.

Florence Tholozan a séjourné en Chine, elle aime ce pays et ses habitants leurs gestes gracieux, leurs rituels, cela se sent. Elle s'appuie sur une sérieuse documentation pour nous entraîner dans cette belle histoire d'amour, un amour éternel transmis par Shushan, la passeuse d'offrandes.

Les premières pages sont sublimes d'une rare poésie, ensuite c'est à chacun de voir s'il accepte d'entrer dans cette histoire mystérieuse et merveilleuse où il est uniquement question d'âmes. Je pense que c'est un roman à lire au bon moment pour en apprécier toute la finesse, le moment où votre esprit est en paix avec le monde qui l'entoure. Prenez votre temps.

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Après ma première lecture pour le Prix des Auteurs Inconnus 2020 dans la catégorie de littérature noire, j'ai enchaîné avec ma première dans la catégorie de littérature blanche. Il s'agissait du roman « La chinoise du tableau » de Florence Tholozan.

Mélisende est professeure de chinois, Guillaume est architecte. Par un regard échangé, ils se sont trouvés comme deux âmes soeurs. Lors d'un vide-grenier, ils acquièrent un mystérieux tableau.

J'ai apprécié cette découverte en Chine, qui m'a permis de m'évader par l'intermédiaire de ma lecture. Tout en restant dans son fauteuil, le lecteur part en exploration de cette culture aux multiples traditions si différentes de la nôtre, aux multiples saveurs et fragrances. Les descriptions sont travaillées, même si elles peuvent sembler un peu parfois trop prolixes pour moi. On peut ressentir que l'auteure a vécu dans ce pays et qu'elle l'apprécie grandement.

Le choix qu'a fait l'auteure de consacrer ses différents chapitres aux travers des voix des protagonistes au fil de l'histoire et des époques, permet des rencontres plus intimistes. Au travers d'un seul tableau, c'est tout un univers qui se met en place par les personnages de Mélisende et de Guillaume.

Roman rempli de tendresse, il est écrit avec une plume fluide et facile à lire. Par contre, le côté un peu trop fleur bleue, selon moi, n'a hélas pas su me conquérir même si j'en suis certaine, il comblera bien d'autres lecteurs. Je pense que c'est surtout la période qui veut cela mais c'est aussi le risque que prennent les auteurs en présentant leur création dans un prix littéraire. Je me répète mais il ne s'agit que de mon humble avis personnel, je ne peux que vous conseiller de le lire afin de vous forger le vôtre.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Ce livre coup de coeur me laisse une forte empreinte - c'est un peu le genre de roman où vous vous demandez, en cours de lecture : "que va-t-il me rester encore à lire ?" Cela passe, mais les personnages, les lieux, et même l'objet principal du livre, le fameux tableau, restent encore caresser mes rêves, comme un voyage que je ne veux pas terminer...

Tout commence par une rencontre amoureuse, due si fort au hasard que celui-ci prend des allures de destin, voire de prédestination. Guillaume et Mélisende, Mélisende et Guillaume : ils se reconnaissent, se savent liés au premier abord, et par leurs yeux qui se voient et qui voient le monde dans le filtre de leur amour, un monde naît et se déploie devant nous. Un monde à explorer, à savourer ; il n'en faut d'ailleurs pas plus pour que nous l'arpentions avec eux, ce monde, et voyagions sur leurs pas, avec des impressions que les plus belles photos des guides de voyage ne nous donnerons jamais sur des lieux que nous n'avons pas vus.

Guillaume et Mélisende ont une quête, et non des moindres : elle doit mener à comprendre leur propre identité, la façon dont le destin s'est invité dans leur histoire. Celui-ci a pris la forme d'un mystérieux tableau, chiné dans une brocante en plein air sur une place de Provence, à l'ombre des platanes, un tableau qui pourrait être l'élément central d'un triptyque, et qu'il va falloir compléter... Car il leur faut apprendre la raison primordiale pour laquelle le couple âgé représenté dans une ville chinoise leur ressemble tant, ou encore pourquoi la jeune fille au centre, essayant une boucle d'oreille, leur paraît familière, comme une connaissance de toujours, et enfin pourquoi l'homme du couple porte la même montre que celle de Guillaume, pièce unique héritée de son père disparu.

Il faut donc se rendre en Chine, et plus précisément, après une escale à Pékin/Beijing, à Yangshuo, la ville aux montagnes rondes et aux mille rizières. Mélisende, qui est professeure de chinois, a déjà vécu à Yangshuo, et saura être le guide, l'initiatrice de découvertes et de sensations rares, d'émotions esthétiques, mais également la médiatrice de relations riches en humanité avec des personnages hauts en couleur qui croisent leur chemin. Ils apprendront la vérité, bien que celle-ci soit inimaginable à se représenter...

Pour un thème à la fois actuel et intemporel, aussi fortement romantique, il fallait une construction impeccable et une écriture raffinée, et celles-ci assurément ne déçoivent pas. Les chapitres nous font entendre les voix alternées de Guillaume et Mélisende, mais aussi de personnages qui ont leur mot à dire, une vérité à enseigner, et qui apportent ainsi à l'édifice du destin du couple leurs pierres, qui s'ajoutent et se complètent. Certaines réflexions sur le destin pourraient paraître un peu attendues, mais n'est-ce pas le propre du destin, finalement, de nous apporter sur un plateau ce que nous attendions ? Un destin favorable a dû en tout cas veiller à ce que je rencontre ce livre, et que j'ai l'idée de le lire - sans cela, il m'aurait manqué et je le chercherais encore.
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C'est en écoutant Lui Fang: le son de la Soie,que je vais essayer de rédiger ma critique.
1er roman ,je viens de le terminer et OUAH j'en suis encore imprégnée je suis encore dans l'histoire.
Non,je ne vous dévoilerai pas tout ,je vous marque jusque quelques indices en espérant vous inciter à ouvrir ce roman.
1ère partie : La rencontre,lui s'appelle Guillaume,architecte et elle Melisende ,professeur de chinois.
Deux regards qui se croisent dans un train au mois d'août et que le destin réunira en décembre, et par un hasard fortuit,si ce n'est que Guillaume l'a forcé ce hasard lors d'une course folle pour être enfin devant Melisende.
Et les voilà l'un en face de l'autre : étrange impression de se connaitre depuis La nuit des temps,gros coup de foudre.
Au début, la narration descriptive m'a gênée ,l'emploi a chaque chapitre du : "lui "et " elle" se renvoyant comme balles de ping-pong et après " Guillaume " et " Mélisende" ,me donnait l'impression d'une écriture hésitante, qui se cherchait et puis petit à petit .....
Très vite ,Guillaume et Mélisende ne pourront plus se passer l'un de l'autre ,une grande histoire d'amour est née.
En mai 2002 ,ils louent une maison à Saint Guilhem-le-désert.
Un matin de flânerie au hasard du vide grenier du village,ils " tombent" en admiration et en extase devant 'un superbe tableau représentant au 1er plan une très belle femme , chinoise,habillée d'une tenue éclatante vert anis .
Derrière au second plan,se tient un couple de personnes âgés et leur ressemblance avec Guillaume et Mélisende est flagrante: "On dirait nous ,en plus vieux,,dira Mélisende, de plus je connais cet endroit",,et nous voilà embarqué dans un merveilleux voyage: Ce tableau est une énigme, de découvertes en découvertes, ils vont en percer le mystère.
2ème partie : À bord du vol international Paris ( Charles de Gaulle) via Beijing/ Pékin.
Pour Melisende c'est la tête pleine de souvenirs qu'elle retourne en Chine ,pays qu'elle adore,c'est la deuxième partie du roman ou ,un petit bémol car un peu trop de longueurs dans certaines descriptions ( cf sur le langage et les intonations).On sent l'amour de l'auteur pour ce pays,mais un petit côté " professoral" qui ombrage parfois la magie de l'histoire .
Et là mes amis la 3ème partie ,le bouquet final !
Le style parfaitement maîtrisé un style poétique tout en douceur,une histoire envoûtante, beaucoup d ' émotion, de magie ,j'ai eu beaucoup de mal à " resdescendre" après un début hésitant au niveau de l 'écriture,qui va en s'affirmant au fur et à mesure des pages tournées pour une fin sublime,vous l'aurez compris un coup de coeur que je vous invite à découvrir, pour un fabuleux voyage aux côtés de Guillaume et Mélisende .⭐⭐⭐⭐⭐
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J'ai fait la connaissance de Mélisende et Guillaume. Ils se croisent une première fois, l'un descend du train, l'autre monte, leurs regards se soudent l'un à l'autre. Ils vont à nouveau se recroiser plus tard, en prenant le bus, et ils s'attendront. Ils ne se quitteront alors plus. Pour eux, c'est une évidence, ils ont l'impression de tout connaître de l'autre. Guillaume est architecte, Melisende professeur de chinois. Ils vont vivre ensemble. Lors d'une brocante, ils trouvent un tableau qui les interpelle. Sur ce tableau, figure en premier plan le portrait d'une chinoise, habillée dans une belle tunique avec des carpes dessus. Ce qui va surtout intriguer les jeunes gens, c'est le couple qui se trouve en arrière-plan, derrière la femme chinoise. Un homme et une femme, âgés tous les deux, qui ressemblent comme deux gouttes d'eau à Mélisende et Guillaume, et fait encore plus improbable, l'homme porte la même montre que Guillaume, une pièce unique créée par son grand-père.
Ce tableau est apparemment le centre d'un triptyque, les jeunes gens aimeraient bien savoir ce qu'il se trouve sur les deux autres parties. Et surtout, savoir qui est la jeune chinoise du tableau, qui leur semble si familière, et pourquoi sont-ils représentés derrière, qui est ce couple de personnes âgées. Ces recherches vont les mener en Chine, à Pékin tout d'abord, puis à Yangshuo, sur les traces de la peintre du tableau. Et ce qu'ils vont y découvrir va les laisser pantois. Ils vont revenir sur les traces de personnes disparues qui leur ont laissé un message de vie.
 
J'ai été aussi intriguée que les personnages, j'ai vraiment vécu leurs aventures comme si j'étais avec eux. Bien sûr, il a fallu que j'ouvre mon esprit et sois un peu moins cartésienne pour intégrer certaines notions de réincarnation, de transmission, de chemins de vie semblables au travers des générations. Mais l'autrice nous démontre tout cela avec tellement de naturel que je n'ai pas trouvé cela bizarre du tout.
 
Je me suis très vite attachée à Mélisende et Guillaume, ils forment un beau couple, plein de tendresse et d'amour l'un envers l'autre. Ils se complètent et se ressemblent en même temps, ce sont ce que l'on appelle des âmes soeurs. Ils représentent ce que chacun de nous aimerions construire avec l'être aimé, unis même au-delà de la vie. Ils sont attendrissants, sympathiques, en lisant leur histoire, j'avais envie d'en faire partie et de les rencontrer.
L'attachement est ici renforcé par le choix narratif de l'autrice, qui est celui auquel je suis la plus sensible. En effet, elle a écrit son texte à la première personne du singulier. Ce « je » me permet de me mettre encore mieux dans la peau du personnage, de rentrer dans sa tête, et de vivre ainsi sa vie avec lui. Et ici, j'ai à la fois été dans la peau de Mélisende et de Guillaume, car les chapitres alternent entre ces deux personnages essentiellement. Et l'autrice a très bien réussi à nous faire rentrer dans une personne féminine ou masculine, on sent la différence entre les deux, je trouve toujours cet exercice difficile d'arriver à différencier les réactions selon le sexe et la personnalité. Certains chapitres sont aussi consacrés à d'autres personnages qui ont leur importance dans l'histoire. J'aime beaucoup ce procédé, car cela permet d'avoir plusieurs points de vue sur des situations similaires. En plus, je trouve que cette alternance donne beaucoup de rythme à ma lecture. Lorsqu'on quitte un personnage, on a envie de le retrouver vite, alors on tourne les pages sans se rendre compte.
 
Et bien sûr, cette chronique ne serait pas complète sans parler du formidable voyage que j'ai fait en Chine, avec les décors des villes, de la campagne, des rizières, avec les marchés, les épices, les senteurs, les odeurs, les étoffes de tissus, chatoyantes, colorées, douces. Toute une multitude de sensations, que l'autrice a très bien su retranscrire sans pour autant alourdir le texte. Tout est très subtil. Elle revient aussi sur l'histoire de la Chine, mais aussi sur notre Histoire en France, celle du 20ème siècle qui a causé tant de drames dans les familles. le côté historique est bien travaillé aussi avec des faits concrets, l'autrice a dû faire un travail de recherches en amont non négligeable.
 
Comme vous pouvez le voir, c'est une histoire très complète, très bien construite, qui explore tous les pans d'une vie. Une petite pointe de magie et de fantaisie apporte une autre dimension à l'existence. Chacun de nous, je pense, espère ne pas disparaître totalement. J'ai beaucoup de mal à croire à certaines notions, par contre, les proches décédés continuent de vivre dans nos souvenirs et dans nos coeurs. Et c'est le plus important, il me semble.
 
Je découvre la plume de Florence Tholozan et je suis charmée par elle et son style. C'est un premier roman et je le trouve réussi. Elle a écrit ce roman comme un peintre dessine un tableau, c'est plein de douceur, très imagé et coloré. J'ai beaucoup aimé, j'ai été hors du temps pendant cette lecture, j'ai été poussée dans mes réflexions et mes propres croyances, et j'espère sincèrement que des couples comme Guillaume et Mélisende existent encore.
J'ai passé un excellent moment avec ce roman. Même fini, je suis encore transportée lorsque je repense à l'histoire. Je suis très contente d'avoir découvert Florence Tholozan, je vais la suivre, je suis curieuse de lire une nouvelle histoire écrite de sa plume. Je ne peux bien sûr que vous recommander ce livre si vous aimez les belles histoires, les voyages, le dépaysement, les beaux messages sur la vie teintés d'un soupçon de magie.
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Province du Guangxi,Sud-est de la Chine
24 août 1907

Shushan,

Tout le monde me connaît aux alentours.
Cependant ,il serait plus exact de dire que l'on croit me connaître .On me rencontre quotidiennement ,on m'adresse la parole ,on me sourit......
Néanmoins personne ne sait l'essentiel ,jusqu'à mon nom de naissance. Nul n'imagine qui je suis en réalité. Ceux qui m'appellent Sushan sont les rares survivants d'une lointaine époque où je n'étais qu'une petite fille.Ils se comptent dorénavant sur les doigts de la main.( Page 11) .
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Remonter à la surface, retrouver sa place dans la turbulence de la vie, un pincement au cœur qui persiste, celui de l'avoir perdu, lui. Respirer l'air libre et poursuivre sa journée. Se laisser enrober par la chaleur étouffante d'un Paris au mois d'août avec ses senteurs de bitume fondu, et n'y prêter aucune attention. Marcher sans distinguer grand-chose, alors que le bel inconnu du métro ne cesse de s'interposer par bribes, au milieu des pensées les plus impénétrables. Croiser des gens et chercher des ressemblances afin de préciser une réminiscence qui pourrait bien finir par s'évaporer complètement. Se rendre à l'évidence qu'il n'est absolument pas possible de reconstituer son portrait, que ce qu'il en reste est cruellement fuyant, parfaitement insaisissable : il paraît, presque, vous narguer.

Page 22
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Nous ressentons l'intuition de nous voir pour la deuxième fois,quand nos regards ,miroirs de l'âme, se croiseront.
Et,indubitablement, nous éprouverons les uns envers les autres,des sentiments véritablement profonds,enrichis au fil du temps.
Des sentiments ,qui nous étonneront, tant par leur force que par leur évidence.
Une simple impression de déjà-vu.(Page315).
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Ce n'est pas un souvenir qui ressemble à ceux que j'ai de mon enfance, par exemple, et que je peux raconter. Tu vois ce que je veux dire ? C'est insaisissable. Aussi fragile qu'une goutte d'eau qui glisse sur ta main et que tu ne peux retenir. Tu vois ? En un éclair, l'eau a fini par terre, tu n'en gardes qu'une sensation de mouillé, qui elle-même s'en va rapidement en séchant. Tu pourrais douter qu'une goutte est tombée là, sur ta peau, car tu ne vois plus rien, tu ne sens plus rien. Seulement tu le sais, tu t'en rappelles.
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Je me dis que c'est lors de ces moments - dans ces instants anodins, ces mimiques, ces œillades, ces gestes, ces demi-mots, ces silences... dans tous ces détails, si infimes soient-ils - que l'amour transparaît.

Page 46
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