Rien ne va plus au royaume de Lithvanel, les brigands font rage, les intrigues politiques fleurissent tandis que Caesar part accomplir et assumer son statut de prince héritier. Nakaba, elle, est plongée dans ses pensées et en apprend plus sur le poids de la fidélité de Loki.
Un tome où la tendresse de la première partie fait écho aux révélations de la seconde. Encore une fois, la complexité des personnages sert l'intrigue à tiroirs dont on se demande vraiment comment elle va pouvoir se résoudre tant il y a de facteurs influents en jeu. Un très bon rythme une fois encore, des scènes mignonnes tout plein entre les deux époux et un Loki dont on ne finit pas de dévoiler les secrets. Une intrigue aux nombreuses strates qui laisse planer beaucoup de questions.
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Alors que Nakaba apporte son aide pour trouver les brigands qui sévissent au royaume de Lithvanel, Caesar prend la décision de rentrer à Belquat pour raisonner son père et protéger Nakaba.
Une tension de plus en plus présente puisqu'après les conditions passée de Nakaba, c'est le passé de Loki qui est révélé et qui marque le lecteur. Les révélations sont surprennantes et dures et ne laissent pas indifférent.
Une lecture encore riche en découverte même si Nakaba a toujours les mêmes réactions.
J'ai hate de lire la suite !
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Ce tome rattrape la légère déception éprouvée à la lecture du précédent.
Ici on creuse un peu plus la personnalité des personnages : l'arcane de Nakaba, la dévotion de Loki, le rôle de prince héritier de Caesar.
Je suis tout de même déçue du départ de Caesar... je me demande ce que cela va donner pour la suite.
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Caesar : Tu n'as pas à être enchaînée à moi ! Je... je ne suis sans doute plus en mesure de te rendre heureuse. A l'origine, il ne s'agissait que d'un mariage d'intérêt et puis, nous n'avons pas passé énormément de temps ensemble. Un jour, quand ces agitations se seront calmées, tu ne gagneras rien à être l'épouse du feu-prince de Belquat ! Maintenant que tu as pu quitter Belquat et Senan, tu as la possibilité de vivre tranquillement dans une contrée éloignée. Alors je t'en prie, ne m'incite pas à m'attacher à toi davantage et de ton côté, ne t'attache pas à moi !
Nakaba : C'est... c'est pour cette raison que tu t'es montré si froid ?! Que tu m'as tenue à distance ? Pour que je puisse t'oublier ?! Ne me sous-estime pas ! Moi, même si je ne te revois plus jamais, même si j'ai peur, même si je souffre, même si je ne deviens jamais heureuse, je suis ta femme !
Je voudrais revoir tes yeux...
entendre à nouveau ta voix...
et encore une fois... sentir ta chaleur...