Jean TousseulJean Clarambaux tome 1 sur 5
239 pages
Rieder, Paris. (01/01/1927)
/5
1 notes
Rieder, Paris. (01/01/1927)
Résumé :
Une simple et pieuse histoire de pauvres gens, et particulièrement d'un petit homme, - d'un « petit crapaud », comme on dit là-bas - qui veut devenir un vaillant homme, plus tard.
Vous le verrez vivre avec ferveur, crainte et joie depuis son enfance jusqu'à sa douzième année. Ce n'est pas une autobiographie, mais l'auteur a vécu avec tous les braves gens dont il parle, dons un pays au décor pensif ou rieur, selon la saison.
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Vous le verrez vivre avec ferveur, crainte et joie depuis son enfance jusqu'à sa douzième année. Ce n'est pas une autobiographie, mais l'auteur a vécu avec tous les braves gens dont il parle, dons un pays au décor pensif ou rieur, selon la saison.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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L'histoire heureuse de Jean, enfant pauvre dans ce sombre bord de Meuse où les 'coups d'eau' des mines de fer, les éboulis de carrières et les vapeurs des fours à chaux n'ont épargné que sa mère, Marie.
Découverte du monde, des livres, de la musique, le carillonnage des cloches ( L'une priait, l'autre espérait, la troisième était enfantine et joyeuse.) sublimée par une écriture, qui à la fois me surprend, m'émerveille et me régale.
Premier tome de la pentalogie 'Jean Clarambaux' dans laquelle Jean Tousseul raconte l'histoire d'un garçons pas ordinaire, sa propre histoire peut-être?
Découverte du monde, des livres, de la musique, le carillonnage des cloches ( L'une priait, l'autre espérait, la troisième était enfantine et joyeuse.) sublimée par une écriture, qui à la fois me surprend, m'émerveille et me régale.
Premier tome de la pentalogie 'Jean Clarambaux' dans laquelle Jean Tousseul raconte l'histoire d'un garçons pas ordinaire, sa propre histoire peut-être?
Citations et extraits (3)
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Et puis le catéchisme enseignait aux enfants pauvres que la gourmandise était un péché capital.
Jacques éteignit la lampe, le coeur gros, parce que la petite flamme avait accueilli le nouveau-né, et la regarda mourir.
...et des parfums voyageaient sur les ailes du vent frais qui animait les feuilles des saules et des frênes.
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