Our little secrets, tome 1

Zut...

Pour faire court : il y avait une vraie originalité, avec cette maison d'écoute, mais hélas tout le reste demeure quelque peu cliché et prévisible...

Belles lectures à tous.

avis mitigé.
je suis perplexe. Bon je passe sur le coup des lunettes à la Clark Kent qui empêche Oaba de reconnaître Mayo. vu qu'il est la star du lycée, elle une jeune fille quelconque, ça pourrait tenir jusqu'à ce qu'elle intègre son club de sport... là il est juste idiot mais passons, c'est un ressort scénaristique connu.

¨Pour le reste: l'une est une timide invétérée, l'autre vient pour se confier dans une maison de l'écoute, tombe sur la jeune fille, ne lui confie rien, la jeune fille persuadée qu'il a des soucis veut le forcer à parler et se montre intrusive et manipulatrice... ouep là je bloque déjà un peu...
Ensuite elle a tendance à jouer un peu les carpettes car lui n'est pas tendre avec elle mais peut-on lui en vouloir dans la mesure où elle lui ment et s'invite dans sa vie sans son autorisation....
l'idée de départ était bonne mais je ne suis pas fan de la façon dont l'auteur a choisi de le traiter.
Après je ne suis pas fan des shojos de ce type donc... pensez à relativiser mon avis un peu tranché...

Un premier tome avec une histoire à la fois belle et touchante. Je me demande ce que nous réserve la suite au vu des derniers propos de Aoba....

Ce premier opus nous offre une immersion complète dans l'univers de la mangaka ! Son coup de crayon en épatera plus d'un et moi la première ! Je peux dire que je suis totalement sous le charme à ce niveau-là.
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Les personnages sont captivants, ils sont plutôt attachants pour ce que l'on découvre d'eux dans cette entrée en matière. Mayo est une jeune fille toute mignonne qui doute énormément d'elle. J'ai trouvé que les dessins étaient très flatteurs pour elle, les expressions de son visage transmettent beaucoup d'émotions qui nous permettent de cerner le personnage.
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Aoba est quant à lui bien plus insaisissable. Il semble être le garçon parfait que tout le monde adule. Star du club de basket, il cache pourtant certains secrets que celle Mayo semble prête à découvrir. Mais la jeune fille saura-t-elle être à l'écoute ?
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Je ressors plutôt satisfaite de ce premier opus qui brouille un peu les pistes quant à l'avenir de Mayo et Aoba. On peut dire qu'en tant que lecteur on ne sait pas vraiment où on va avec nos héros.
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Le style de la mangaka m'a fait fondre. Je suis littéralement sous le charme des dessins qui nous en mettent plein la vue. Les planches sont bien aérées, nous permettant de se sentir complètement dans l'histoire. Au plus proche de nos personnages.
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Mayo a une place de choix dans l'intrigue, elle est souvent mis en avant et de la meilleure des façons. Car cela crée une sorte de fascination autour d'elle et pourtant je suis sûre qu'elle a aussi des secrets à nous révéler.
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L'univers sport/étude est très sympa. le basket est un sport qui me plaît bien et je dois avouer que je pense que la suite va nous promettre pas mal de rebondissements.
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Le thème de l'écoute est très original. Et j'ai trouvé que les situations qui l'illustrent dans ce premier tome sont bien exploitées. Il y a un certain altruisme qui en découle. La mangaka confrontent ses personnages, elle n'hésite pas à bousculer leurs sentiments pour rendre l'intrigue addictive.
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En bref, je suis tombée amoureuse du coup de crayon de Ema Toyama. Les grands yeux expressifs de Mayo m'ont fait fondre et j'ai particulièrement aimé l'originalité de l'intrigue dans cet univers sport/étude. Nos héros sont jeunes et très attachants. J'ai adoré cette lecture commune avec mon amie Siji.books. On a déjà hâte de poursuivre la saga ♡

Voici le premier tome du nouveau manga de Ema tôyama. Vous connaissez peut-être déjà cette mangaka pour ces oeuvres précédentes telles que « Love hôtel princess » ou « Love mission ». Pour ma part, je découvre cette autrice dont je n'avais encore jamais testé le moindre récit. « Our Little Secrets » est une série terminée en huit tomes au Japon. Nous savons donc déjà à quoi nous attendre en terme de durée pour cette romance qui s'annonce compliquée.

En effet, la petite Mayo est amoureuse d'un jeune homme beau, populaire et très doué en sport. Pour cette demoiselle réservée et très effacée, il va être difficile de se faire remarquer par cet garçon parfait. Mais c'est sans compter son nouveau petit boulot. En effet, Mayo vient de commencer à travailler dans la « maison des confessions » de sa tante. Son premier entretient avec un client va se révéler fort en émotion. C'est en fait Aoba (ce jeune homme dont elle est amoureuse) qui va venir lui confier ses problèmes. S'en suivront des moments assez rocambolesques qui mettront les deux adolescents dans des situations pleines de tensions et d'émotions.

Bon, pour être franche, je n'ai pas vraiment accroché à ce titre. L'héroïne est vraiment trop stéréotypée, et je commence à en avoir marre de lire le quotidien de nunuches patentées. Elle est toute petite (1,50m les bras levés), possède une si petite voix qu'on ne l'entend même pas quand elle parle et a visiblement une vocation pour s'engager dans une carrière de paillasson toute tracée. C'est malheureusement souvent le cas avec les héroïnes de shojo, mais là il est vraiment impossible de passer à coté de ces aspects de la personnalité de Mayo.

Je ne vous parle même pas de son syndrome « Clark kent ». Il lui suffit de changer de tenue et de mettre des lunettes pour que plus personne ne la reconnaisse, même pas les gens qui partagent sa classe ou ceux qui viennent de lui parler il y a à peine deux minutes…

Ce shojo est plutôt classique dans sa construction bien qu'il soit abordé sous un angle un peu différent que d'habitude. Dans ce premier tome, il est tout de suite dit que le beau et mystérieux lycéen possède un secret que Mayo va devoir percer pour se rapprocher de lui. le problème vient plutôt de l'absurdité de certaines situations et de l'abnégation débordante du personnage féminin principal qui la rend, au mieux un peu bizarre, au pire carrément flippante. À certains moment on est pas loin de la stalkeuse.

J'ai sans doute lu un peu trop de shojo ces derniers temps, ce qui ne me rend pas tendre avec les titres qui, comme celui-ci, ne parviennent pas à tirer leur épingle du jeu. Ceux d'entre vous qui chercheraient une romance classique, sur fond de secret et de club de basket, sans se soucier des petits détails un peu trop caricaturaux ou exagérés ne devraient pas être déçu avec ce manga honnête dont il ne faut pas non plus attendre des merveilles. Pour ceux qui chercheraient un titre subtil avec des personnages attachants et des situations crédibles… disons qu'ils auront meilleur compte à passer leur chemin et continuer leurs recherches 😉

J'avais lu le premier tome du manga Love Mission qui, malgré le coup de crayon de la mangaka, ne m'avait pas vraiment séduite. J'ai donc réitéré l'expérience avec cette nouvelle série, qui m'a bien plus convaincue malgré sa trame assez classique.

Mayo est une jeune lycéenne très timide. D'ailleurs, personne ne l'entend à chaque fois qu'elle a quelque chose à dire – soit pas très souvent. Une aptitude qui la désigne pour travailler dans l'entreprise de sa tante, qui tient une maison d'écoute. Un endroit où les gens peuvent se confier sans crainte d'être jugé puisque l'employé qui écoute ne dit pas un mot. Mais le premier client de Mayo n'est autre qu'Aoba, la star de l'équipe de basket de son équipe…

La trame de ce premier tome est assez classique dans le genre, avec la jeune fille naïve et invisible, secrètement amoureuse de la star de son lycée. La pointe d'originalité vient dans la maison que tient la tante de Mayo, cette maison de l'écoute, qui offre une belle philosophie sur la façon d'écouter les autres, d'apprendre à entendre ce que dit la personne en face. Mais, aussi, d'apprendre à percevoir entre les lignes, à entendre ce qui n'est pas dit, à comprendre.

Pour le reste, le tome est assez introductif et pose les bases d'un shojo qui peut être tout mignon. Personnellement, j'ai complètement craqué sur le chara design de la mangaka, qui nous offre des personnages tout en douceur. Une tendresse qui se ressent dans son coup de crayon et sur les nombreux plans qu'elle nous offre.

En définitive, ce premier tome est une agréable mise en bouche. Si la trame reste assez classique, j'ai complètement craqué devant le style de la mangaka. Je suis curieuse de découvrir comment elle va développer l'histoire, et si elle va réussir à me surprendre dans les prochains tomes…
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Ce manga ressemble au graphisme habituel de cette mangaka mais on a un côté plus sombre et plus sérieux que dans les autres mangas.

Ce tome est assez introductif one ne connaît pas encore assez les personnages mais l'heroine est attachante et ça peut faire penser à d'autres personnages d'autres manga sur les personnages secondaires comme waiting for the spring pour le basket.

Un tome qui se lit bien et donne envie de lire la suite pour connaitre le problème d'Aoba.

On retrouve dans ce shojo plusieurs clichés : l'adolescente timide un peu nunuche amoureuse du beau basketteur (et c'est très premier degré, sans l'humour de "Cheeky Love"), la jeune fille que personne ne reconnaît quand elle enlève ses lunettes comme Clark Kent ("je les enlève, on me voit, je les mets, on me prend pour un fantôme"...), le garçon de profil sous les fleurs de cerisier. Les dessins conviennent au genre du shojo, sans rien qui les distingue, et l'ensemble forme un plat correct mais sans originalité au détail près de l'idée de départ : Mayo travaille dans une maison de l'écoute, sous la houlette de sa tante (qui, elle, est un personnage original) et on trouve dans les passages où Mayo essaye d'accomplir correctement son travail plus d'humour et de relief que dans les scènes au lycee. Un shojo totalement banal, mais avec quelques pages originales qui font regretter que ça ne soit pas un seinen sur une apprentie psychologue.
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Mayo est une jeune fille timide qui commence à travailler à la maison d'écoute de sa tante. Rien que pour avoir découvert le concept de la maison d'écoute, je ne regrette pas avoir commencé ce shojo – alors que ce n'est pas mon genre préféré. Je m'attendais à quelque chose de très niais. Cela n'a pas raté. Après tout, il s'agit d'une romance entre lycéens entre une fille timide et un jeune basketteur qui cache un lourd secret. En soit, c'est un scénario très banal.
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J'ai tout de suite craqué pour les douces illustrations de ce Shojo. Les regards sont très expressifs et les expressions du visage sont exprimées avec beaucoup de douceurs.



Mayo est une jeune fille timide et très réservée. Elle manque beaucoup de confiance en elle, sauf quand elle joue un autre personnage pour son travail à la maison de l'écoute. Elle va se rendre compte à quel point écouter est important. Malheureusement, pour pourvoir écouter les sentiments qu'Aoba cache en lui, elle va faire preuve de quelques subterfuges qui vont se retourner contre elle !



Aoba, lui, est un personnage énigmatique qui ne se dévoile pas facilement. S'il intrigue Mayo, il m'intrigue aussi.



Ema Toyama nous démontre à travers ce manga les bienfaits de l'écoute. Juste l'écoute et rien de plus: pas de jugements, pas de conseils,... Je trouve que le thème de ce manga est vraiment très intéressant. Je pense que c'est une qualité pas assez présente dans notre société. Tout est speed, on vit chacun notre petite vie, on a chacun nos petits problèmes et pouvoir être écouter ou écouter un ami et un proche a beaucoup d'importance.



Si vous aussi vous êtes sensible à ce sujet lisez ce Shojo ! Il porte à réflexion.


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