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3,48

sur 228 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Directement publié au format poche dans la magnifique collection Totem chez Gallmeister, Paul Tremblay (à qui l'on doit déjà le chef d'oeuvre Possession) revient en France sans crier gare !
La raison ? Une adaptation au cinéma signée M. Night Shyamalan, jadis grand réalisateur à qui l'on doit quelques films mémorables tels que Sixième Sens ou encore Incassable, aujourd'hui metteur en scène inégal très loin de sa gloire passée. Sous le titre douteux de Knock at the Cabin, le récit de Paul Tremblay connaît donc une seconde vie au cinéma pour le meilleur et pour le pire. Il était plus que nécessaire pourtant de revenir au texte original — d'ailleurs récompensé par les prix Locus et Bram Stocker, un thriller tendu et terrifiant qui nous emmène au coeur de la forêt, dans une cabane loin du monde où le sort de l'humanité va se décider.
Vraiment ?

Wen a sept ans. Intelligente et curieuse, la fillette capture quelques sauterelles pour les étudier en les enfermant dans un bocal en verre.
À chacune, elle donne un nom, un caractère, un genre. Elle les humanise.
Alors qu'elle joue devant la cabane louée par ses pères, Eric et Andrew, un inconnu à la carrure gigantesque surgit de la forêt. D'abord effrayée, Wen se met à discuter avec le nouveau venu qui dit s'appeler Leonard et qui aimerait bien devenir l'ami de Wen. Tout en discutant, Leonard semble nerveux et bientôt, trois autres personnes surgissent des bois derrière lui, tous sont armés d'étranges objets tranchants bricolés à la hâte.
Leonard explique alors à Wen qu'ils ont une mission précise et qu'il est désolé de lui imposer tout ce qui va suivre. Il lui demande ensuite de convaincre ses pères et de les laisser entrer pour tout leur expliquer.
La fillette se précipite à l'intérieur et ferme la porte d'entrée avant de courir chercher Andrew et Eric. Quelques instants plus tard, des coups résonnent à la porte… et le cauchemar commence !
Paul Tremblay n'a pas son pareil pour dresser une ambiance et incarner des personnages. Il ne lui faut que quelques pages à peine pour nous prendre au piège tant son style est fluide et son récit naturellement intriguant. le mystère est au coeur de la Cabane aux confins du monde, mais pas que…
Le roman de Paul Tremblay a surtout l'idée de mettre en avant deux personnages rongés par le doute, du fait de leur sexualité et, surtout, de ce que la société moderne pense de celle-ci (et notamment aux États-Unis).
Rapidement transformé en huit-clos, La Cabane aux confins du monde oscille sans cesse entre le thriller surnaturel et le récit apocalyptique.
Paul Tremblay refuse de choisir.
Et c'est pourtant le choix qui est au centre du roman.

Impossible de vous expliquer la puissance de ce roman sans en dévoiler le coeur… et pourtant nous allons essayer.
L'irruption des quatre étrangers dans la cabane va demander à Andrew, Eric et Wen de croire. de croire en ce que disent ces quatre cavaliers de l'Apocalypse et, pire encore, en la sincérité de leur demande pour le moins… inattendue !
Paul Tremblay construit son livre comme un test. À l'heure du complotisme et des fake news toujours plus insidieuses, l'américain choisit de confronter rationalisme et croyance. D'un côté, quatre « fanatiques » et de l'autre, des personnes ordinaires. L'un, Éric, est un croyant qui s'ignore, l'autre est un athée qui remet sans cesse en question ce qu'on lui présente. L'un montre sa peur, l'autre la cache.
Très vite, et grâce à l'alternance entre les points de vue, le roman devient un piège pernicieux pour le lecteur comme pour les personnages principaux qui sont confrontés à une rupture sans précédent de ce en quoi ils croient. Des intrus chez vous vous veulent forcément du mal, non ?
Et les images disent forcément la vérité, non ?
Sauf que rien n'est ce qu'il semble être et plus le récit avance, plus le doute s'installe dans le coeur du lecteur. Et si… et si tout ça était bien vrai ?
Et si l'Apocalypse était vraiment en train de se dérouler ?
Le problème ici, comme il est posé par Andrew, c'est que rien ne vient prouver totalement cette version. Tout est peut-être coïncidence.
Faut-il trouver des connections entre tous les évènements qui se produisent dans le monde ? Et comment résister quand l'émotion prend le dessus ? Toute la question est là, à savoir la façon de résister à l'appel de la croyance quand on n'est au plus bas et qu'il ne nous reste que cela à quoi nous raccrocher. Dans l'absolu, il n'y a pas de méchants dans La Cabane aux confins du monde, il n'y a que des victimes. Et c'est certainement cela qui rend le récit de Paul Tremblay d'autant plus saisissant.
Ce qui étonne aussi, c'est sa capacité à devenir une métaphore de notre époque. On peut y voir une confrontation entre le fait religieux et l'athéisme, mais aussi entre le complotisme et la science sans même parler d'un sous-texte écologique où des climato-sceptiques sont enfin confrontés à la réalité des catastrophes naturelles qui les guettent.
La Cabane aux confins du monde est aussi un remarquable récit sur l'influence de notre propre histoire sur la vision que nous avons du monde. En cela, le fait qu'Andrew et Eric soient homosexuels est d'une importance capitale. C'est l'agression du monde extérieur, du parent à l'étranger, qui va modeler leur capacité à « sauver » le monde.
En effet, comment vouloir se sacrifier pour des gens qui, eux, n'ont jamais fait aucun effort pour ne serait-ce que vous tolérer ?
Finalement, c'est encore une fois l'amour qui sauve la mise à l'humanité. C'est le soutien de l'autre, même devant la perte la plus abominable, qui permet de ne pas tomber dans le gouffre sans fond de la croyance.
C'est aussi réaliser qu'un Dieu cruel, quand bien même il existerait, ne mériterait aucunement notre vénération.
Reste que le doute sur la nature des évènements persiste jusqu'au bout et Paul Tremblay nous tient ainsi sur le fil du rasoir tout du long.
…et on en redemande !

Thriller implacable, La Cabane aux confins du monde est un roman d'une intelligence incroyable où le moindre élément du récit viendra s'articuler pour vous faire douter le lecteur. Paul Tremblay s'interroge sur la croyance et sur notre besoin absolu de croire…et le résultat est magistral.
Lien : https://justaword.fr/la-caba..
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Eric et Andrew sont en vacances avec leur fille Wen, presque 8 ans, dans un chalet isolé dans le New Hampshire. Alors que Wen joue dehors à attraper des sauterelles, un inconnu approche. Il s'appelle Léonard et lui et ses compagnons, qui sont en train d'arriver, doivent parler de toute urgence aux parents de Wen pour un mission très importante. Léonard et ses compagnons, qui sont au nombre de trois, croient à une apocalypse imminente et seuls Wen et ses pères sont en mesure de sauver le monde. Au prix d'un sacrifice.

Je me suis plongée dan ce roman après avoir vu son adaptation au cinéma par l'excellent réalisateur Night Shyamalan dont j'adore tous les films aux ambiances toujours très étranges et fantastiques. Si le film ne m'a pas déçue, je voulais en savoir un peu plus sur le roman de Paul Tremblay.
« La cabane aux confins du monde », dès la première scène d'une intensité incroyable, nous entraîne dans une histoire où la tension psychologique va augmenter jusqu'au point ultime. Aucun moment de relâchement dans ce huis clos terrifiant et violent qui nous questionne sur la folie, sur nos croyances, sur l'amour, sur le sacrifice de soi. Glauque, terriblement sombre, le lecteur est malmené comme Andrew, Eric et Wen. Qui croire ? Avons-nous affaire à un groupe d'hallucinés sectaires qui pensent mener une mission divine ou s'agit-il de la réalité ? A savoir, la fin du monde dépend-t-elle de ce groupe d'individus, les quatre cavaliers de l'Apocalypse, et de la décision qui sera prise par la petite famille?
La description psychologique et émotionnelle des personnages est parfaite. On entre dans leur tête notamment par la narration très maîtrisée qui alterne les points de vue d'une même scène de l'un à l'autre. Totalement incarné, chaque personnage nous fait partager ses plus intimes pensées.
Le fait de choisir aussi un couple homosexuel est également déterminant dans cette histoire. Cela permet de donner un bon coup de griffe à l'homophobie et de révéler comment Eric et Andrew, des hommes socialement intégrés, parents responsables, en sont toujours à se poser des questions sur leur vie à cause d'une société qui les regardera toujours différemment. Pourtant, avec la petite Wen, cette famille symbolise un monde tolérant et bienveillant, porteur d'espoir, alors qu'autour tout se déchaîne pour la détruire. C'est effectivement un amour pur qui rayonne dans leur foyer . Et c'est cet amour qui doit être sacrifié pour sauver une humanité qui elle, les a souvent rejetés.
Les références religieuses avec le don de soi, le sacrifice d'une vie, sont bien évidemment nombreuses mais que l'on soit croyant ou pas, peu importe. Il ne s'agit plus de religion mais surtout d'humanité.

Dans ce roman perturbant, extrêmement addictif, Paul Tremblay réussit à nous emporter dans cette spirale sans fin où jusqu'au bout, on se posera la question : et si tout cela tétait vrai ?
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Une cabane au bord d'un lac. A l'avant Wen, une petite chinoise adoptée, capture des sauterelles tandis que ses pères Eric et Andrew lisent sur la terrasse à l'arrière. Un gentil géant arrive et s'offre à aider Wen qui accepte mais bientôt 3 autres personnes munies d'armes étranges et effrayantes s'amènent et Wen s'encourt, terrifiée, pour avertir ses pères.
La petite famille refuse l'accès à ces drôles d'inconnus et se calfeutre, mais tous quatre entrent de force, s'emparent des deux pères, les ligotent et les enferment avec la petite Wen. Ils ont été contraints, déclarent-ils, de leur délivrer un message capital car seul leur couple peut éviter l'Apocalypse telle qu'ils l'ont vue par révélation.

Le roman soulève des questions qui meurtrissent l'actualité : Que choisit-on de croire dans un monde où rien n'est certain mais tout est possible? Pour quelles raisons, quel motif intime, choisit-on telle croyance plutôt qu'une autre ? Et jusqu'où est-on prêt à aller pour la prouver, elle qui est par essence improuvable ?
Un récit qui, au-delà de ses absurdités et de ses excès, porte à réfléchir et dont la fin est absolument sublime.
Lien : https://trancheslivres.wordp..
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New Hampshire - Wren, 7 ans, passe ses vacances avec ses pères adoptifs dans une cabane isolée dans la forêt.
Pendant que ses parents se relaxent près du lac, elle chasse les sauterelles dans le jardin quand un inconnu apparaît.
Prénommé Léonard, ce colosse attire la sympathie de la fillette, mais ça ne durera pas......

Récemment adapté au cinéma par M. Night Shyamalan, ce huis-clos est une très bonne surprise.
Quelques pages suffisent à Paul Tremblay pour installer une atmosphère suffocante et anxiogène.
Léonard, rejoint par deux femmes et un homme, a un dessein.... sauver l'humanité.
Dessein aberrant pour tout un chacun, surtout quand on découvre la manière dont cela doit s'accomplir.
En 48 h, le destin de tous les protagonistes va virer au cauchemar.
L'auteur parvient à nous happer du début à la fin au point que le lecteur n'a aucune difficulté à ressentir la peur et l'effroi des 3 otages.
Une réussite et j'ai hâte de visionner le film avec David Bautista qui doit incarner "Léonard" à la perfection.
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La cabane aux confins du monde est la maison de vacances de Eric, Andrew et leur fille Wen. Pas de réseau, aucun voisin à des kilomètres. Un lieu de repos idéal… qui tourne à l'enfer quand des inconnus armés surgissent et les obligent à faire un choix inimaginable et pour une cause qui les dépasse. Commence alors un huis clos glaçant, mortel, à couper le souffle.

J'ai beaucoup aimé ce thriller poignant. L'auteur entretient l'angoisse du lecteur durant le récit sans lui laisser le moindre repos. C'est dans une ambiance apocalyptique que les personnages, livrés à des délires sinistres, se retrouvent dans une violence inouïe. On effectue une exploration de la psychologie humaine en proie à des sacrifices traumatisants.

J'ai également apprécié ce récit car je trouve qu'on peut y faire plusieurs lectures. Soit on apprécie les récits de fin du monde et on accroche au sens mystique de l'histoire, soit l'esprit cartésien l'emporte et c'est dans une cause beaucoup plus envisageable, telle que l'homophobie, que nous trouvons nos réponses. Dans tous les cas c'est un roman grandiose impossible à lâcher !
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Après avoir découvert Paul Tremblay avec son "Possession" dont j'avais été impressionnée pour l'ambiance qu'il avait su instaurer, j'étais donc très impatiente de découvrir ce titre, (adapté depuis au cinéma par N. Shamalayan, qui s'oriente toujours vers des récits habités par un surnaturel menaçant).
La petite Wen, sept ans, joue devant la cabane isolée louée par ses pères pour des vacances. Un homme doux et calme s'approche et engage la conversation, déjouant sa méfiance. Vite rejoint par un groupe, muni d'armes de fortune, il enjoint la petite à le laisser pénétrez le chalet...
Commence un récit assez oppressant, où sur le postulat d'une apocalypse à venir, il existe un choix difficile à faire pour l'éviter.
Dans un huis-clos aux relents horrifiques, l'auteur tarde à laisser des indices pour savoir où est la vérité, et on est complètement pris dans le dilemme. Les pères sont touchants, pensant d'abord être l'objet d'une attaque homophobe, puis victimes d'illuminés, et leur résistance est réaliste, on les accompagne dans leurs doutes car on les suit respectivement, ce qui nous immerge pleinement et incite à se questionner en permanence sur nos propres réactions. Une ambiance intense étayée par des réflexions sur la foi, l'éducation, les liens familiaux, l'envie ou pas d'être solidaire envers une société qui ne vous accepte pas totalement, on est bien au-delà d'un thriller classique !
Lien : https://instagram.com/danygi..
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Ce roman nous plonge immédiatement avec intensité dans une ambiance sombre psychologiquement où les tensions vont augmenter jusqu'au point ultime.

Ce huis-clos terrifiant, nous fait se questionner sur la folie, nos croyances et le sacrifice de soi.

La description psychologique et émotionnelle des personnages est vraiment parfait. On rentre dans leurs têtes grâce à la narration maîtrisée qui alterne les points de vue d'une même scène. Chaque personnage, nous fait partager ses plus intimes pensées.

Avec ce roman perturbant et addictif, l'auteur réussit à nous plonger dans sa spirale sans fin jusqu'au choix final qui nous laisse sans voix.
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Il s'agit de mon second roman de Paul Tremblay, après le chant des survivants. J'ai lu La cabane aux confins du monde dans le cadre du Challenge Gallmeister pour le thème « Roman noir ».

Autant vous le dire tout de suite, ce roman, je n'ai quasiment pas réussi à le lâcher. Paul Tremblay nous entraine dans un huis clos horrifique, c'est puissant, nous sommes sous tension du début à la fin. L'auteur avec ce roman amène son lecteur à se questionner sur ce qu'il se passe réellement, sur ses croyances. Nous sommes tout comme Wen et ses pères plongés dans une sorte d'angoisse et de folie. Est-ce vrai ? Que va t'il se passer ? Quel choix devons nous faire ? C'est remarquable.

Ce roman se dévore, cela en devient même malsain, car on sait que cela va mal tourner, mais on a ce besoin de savoir comment cela va se passer. Pourtant le doute est là, alors on tourne les pages en se demandant si l'apocalypse approche réellement. Paul Tremblay a écrit un thriller psychotique surprenant, rarement je me suis senti autant au coeur de l'intrigue d'un roman.

C'est donc un roman étrange, qui retourne le cerveau, qui demande aux personnages de faire un choix. Choix qui est également imposé aux lecteurs. C'est un roman qui par certains passages bouleverse et horrifie jusqu'à la nausée. C'est un roman qui met en perspective les croyances de chacun, qui interroge sur le pouvoir des mots, des images et des non-dits. C'est un roman surprenant que j'ai adoré.
Lien : https://readlookhear.blog/20..
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Vingt-quatre heures après avoir terminé ce roman, je ne sais toujours pas comment vous en parler.

Ai-je aimé ce roman ?! Je crois que je peux dire oui. J'ai été happé par l'histoire. Même si je m'attendais à quelque chose de plus "effrayant", l'histoire est terriblement anxiogène.

Paul Tremblay nous emporte dans un huis clos haletant avec un suspense insoutenable. Cependant je ne peux nié que le dénouement ce roman me questionne beaucoup.

Pendant tout le roman, on veut voir comment vont évoluer les personnages, comment ils vont se sortir de cette prise d'otage dingue. Bien que de nombreux rebondissements inattendus se passent, j'aurai aimé avoir des réponses à mes questions.

Des réponses que je n'ai pas eu et qui transforme une lecture qui aurai pu être génial, en bonne lecture. Pas déçu, mais je m'attendais à mieux.
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Dans ce livre, tu vas partir en voyage dans une cabane isolée sur un lac tranquille du New Hampshire, où tu vas suivre une famille qui va vivre le pire des scénarios. Quatre inconnus surgissent un jour et leur annoncent qu'ils doivent faire un sacrifice pour empêcher la fin du monde. Qui croire ? Que faire ? Comment survivre ? La cabane aux confins du monde est un roman d'horreur qui te tiendra en haleine jusqu'au bout. Alors, cela va être un énorme coup de coeur pour ma part. J'ai été happé dès la première page par ce huis clos oppressant qui met en scène cette famille confrontée à un choix impossible. L'auteur nous fait vivre leur calvaire à travers l'alternance des points de vue des personnages, ce qui nous permet de ressentir leur détresse, leur incompréhension, leur colère, mais aussi leur amour et leur courage. La plume de l'auteur est percutante, elle alterne des moments de calme et des moments de tension où ils doivent subir la violence, la douleur, la peur. de plus, cette histoire m'a captivé du début à la fin, je n'arrivais pas à le poser, tant j'étais curieuse de connaître le sort des personnages et de démêler le vrai du faux dans les propos des intrus. D'autre part, ce qui m'a plu dans ce livre, ce sont les différents thèmes que l'auteur aborde avec finesse et profondeur, tels que la foi, le hasard, la responsabilité, la morale et la confiance. Il nous invite à réfléchir sur ces notions et sur leur influence dans nos vies. le seul point négatif que je pourrais trouver dans ce livre, c'est la fin, qui m'a laissé sur ma faim. J'aurais aimé avoir plus de certitudes sur certaines choses. Mais peut-être que l'auteur nous laisse le choix de croire ou non ? Pour conclure, comme tu peux te douter, je ne peux que te le recommander. Donc si tu aimes les livres du genre thriller oppressant, avec pour thème la fin du monde, ce livre est fait pour toi.
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