Dans la foulée de ma lecture de Songe à la douceur et
Eugène Onéguine, j'ai sorti de ma PAL ce récit de
Marina Tsvetaïeva, dont la vie de femme et de poétesse a été imprégnée dès la petite enfance par
Alexandre Pouchkine. Toute petite déjà, ses journées étaient rythmées par les promenades et les jeux à la Statue-
Pouchkine, non loin de chez elle à Moscou. le poète était présent dans la maison familiale, dans la chambre de sa mère, avec le tableau le Duel d'Aleandre
Pouchkine avec Georges d'Anthès de Naumov (photo de couverture) et a inscrit une poésie viscérale chez la petite fille. L'apprentissage de la lecture, la découverte de la mer (liée à la maladie de sa mère) sont intimement liées aux oeuvres de l'écrivain mort en 1837.
Marina Tsvetaïeva a découvert
Eugène Onéguine à l'âge de six ans. Six ans ! Et elle tombe amoureuse pas seulement d'Eugène mais du couple Eugène et Tatiana.
Le récit est complété par quelques poèmes de
Pouchkine traduits en français par
Marina Tsvetaïeva.
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