Tellement triste !
Oui, je suis tellement triste d'être aussi hermétique à
Naoki Urasawa. J'adore son dessin mais ce qu'il écrit me passe à des années lumières au dessus.
Donc on commence par ce qu'il semble être du bon gros kaiju dans le "présent" pour quelques pages en couleur, puis on passe au passé et à Asadora.
Adorable petite fille espiègle aux yeux qui pétillent de malice*, elle fait des trucs et des machins car sa famille nombreuse a une certaine tendance à l'oublier. Puis arrive un cataclysme où elle va tout mettre en oeuvre pour aider les survivants, en faisant ressortir le meilleur de chaque personnage qu'elle croisera.
J'ai eu l'impression de lire du mauvais Ghibli en nettement nettement nettement plus mièvre. Et ce n'est pas l'image de fin attendue qui me donnera envie de lire la suite.
*ça va, il y a suffisamment de clichés ?