La véritable force commence par la sagesse.
Je reprends ma parole. Je préfère être un parjure que l’assassin d’un ennemi blessé !
Adieu Skadia, toi qui a osé défier le temps pour voir le ciel, puisses-tu être morte heureuse.
Aussi agréable soit-il, un lieu dont on ne peut sortir est une prison, Ingrid. Et moi, j'ai soif de liberté et d'horizons, fût -ce au prix du froid et de la faim. (p. 39)
Le mal est le résultat d'avoir laissé la peur dominer tes actions.
La véritable force commence par la sagesse, ami. Tu viens de l'apprendre.
« Nul ne sait d’où tu viens, pas même toi. Mais on te prétend le fils d’Aegir, le géant qui règne sous la mer… On te surnomme aussi « fils des orages », car des orages tu peux avoir la colère et le tumulte. » (p. 7)
Moi je te connais, Thorgal Aegirsson. Thorgal le scalde… nul ne sait d’où tu viens, pas même toi. Mais on te prétend fils d’Aegir, le géant qui règne sous la mer… On te surnomme aussi « fils des orages », car des orages tu peux avoir la colère et le tumulte. Ton grand crime, toi l’inconnu venu de nulle part, est d’être aimé de la fille de Gandalf-le-Fou, roi des vikings du Nord.
[...] j'ai soif de liberté et d'horizons, fût-ce au prix du froid et de la faim.
La véritable force commence par la sagesse ami, tu viens de l'apprendre. (p. 8)