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Critique de Elletse
Je n'avais jamais lu de roman de Fred Vargas mais je vous rassure, j'en avais bien entendu parler. D'ailleurs j'en avais tant entendu parler et j'avais tant vu en tête d'affiche ses romans que je n'avais pas plus envie que ça de découvrir son univers pour des motifs stupides, je ne crains pas de le dire ! le nom de l'auteur, déjà, ne me bottait pas du tout. Ensuite les romans policiers me déçoivent toujours un peu. J'en attends trop et je n'ai rien au bout. Les auteurs français surtout me dépitent. Enfin, les divers résumés rapidement lus ne m'intéressaient pas... Mais comment suis-je arrivée à en lire un, me direz-vous ! Et bien de la manière la plus simple du monde : une amie vidait sa bibliothèque et m'a refilé son surplus (que je lis, que j'aime ou pas, que je garde ou pas). Ceci est d'ailleurs ma deuxième belle découverte (la 1ere étant Un été sans les hommes de Siri Hustvedt , pour les curieux).
Franchement j'ai commencé ce roman sans y croire. Ne pouvant me résoudre à donner le roman sans le lire d'abord (au cas où je raterai des pépites – j'ai des éclairs de lucidité des fois !), je l'ai donc commencé et... (oui j'aime ménager le suspens) … et... la première phrase m'a direct accrochée. En fait j'ai su dès la première phrase que sans hésiter, à la fin de la lecture j'aimerais ce roman.
J'ai lu ce roman en trois jours par petits bouts (dire qu'il y a dix ans je l'aurai englouti d'un coup et maintenant ! oh, la vie fait qu'on doit s'arrêter pour mieux continuer le lendemain). J'ai savouré chaque page, chaque mot, chaque virgule. J'ai adoré les personnages (les évangélistes ! ou comment instaurer le comique de répétition), j'ai aimé les échanges entre eux (la stratigraphie de l'escalier est une idée merveilleuse), mon coeur a frémi à chaque péripétie et j'ai vraiment apprécié l'humour dégagé et le ton familier général. Comme c'est drôle et bien écrit ! C'est écrit simplement et ça en dit long sur le talent de l'écrivain qui arrive à ménager vue sociologique, ton humoristique, apartés intellectuels (entre préhistoire, moyen-âge et grande guerre), légers effets romantiques et intrigue policière bien sûr. Je suis désolée de ne pas plus l'évoquer que ça mais n'étant pas experte ni spécialement intéressée par l'art du roman policier, je me laisse toujours bercer par le récit et je prends tout ce qu'il y a autour. C'est un peu tiré par les cheveux mais dès qu'il y a un cadavre ou suspicion, tout est tiré par les cheveux. L'homme n'est pas né pour se tuer alors s'il commence, c'est d'emblée fou.
Je n'ai pas lu d'autres romans de Fred Vargas (je vais m'y mettre très vite ça vous pouvez en être certains !) alors c'est avec 37% de certitudes que je vous annonce que peut-être elle serait dans mon top des auteurs de romans policiers, avec en pole position Agatha Christie.
Tadam, champagne !
Franchement j'ai commencé ce roman sans y croire. Ne pouvant me résoudre à donner le roman sans le lire d'abord (au cas où je raterai des pépites – j'ai des éclairs de lucidité des fois !), je l'ai donc commencé et... (oui j'aime ménager le suspens) … et... la première phrase m'a direct accrochée. En fait j'ai su dès la première phrase que sans hésiter, à la fin de la lecture j'aimerais ce roman.
J'ai lu ce roman en trois jours par petits bouts (dire qu'il y a dix ans je l'aurai englouti d'un coup et maintenant ! oh, la vie fait qu'on doit s'arrêter pour mieux continuer le lendemain). J'ai savouré chaque page, chaque mot, chaque virgule. J'ai adoré les personnages (les évangélistes ! ou comment instaurer le comique de répétition), j'ai aimé les échanges entre eux (la stratigraphie de l'escalier est une idée merveilleuse), mon coeur a frémi à chaque péripétie et j'ai vraiment apprécié l'humour dégagé et le ton familier général. Comme c'est drôle et bien écrit ! C'est écrit simplement et ça en dit long sur le talent de l'écrivain qui arrive à ménager vue sociologique, ton humoristique, apartés intellectuels (entre préhistoire, moyen-âge et grande guerre), légers effets romantiques et intrigue policière bien sûr. Je suis désolée de ne pas plus l'évoquer que ça mais n'étant pas experte ni spécialement intéressée par l'art du roman policier, je me laisse toujours bercer par le récit et je prends tout ce qu'il y a autour. C'est un peu tiré par les cheveux mais dès qu'il y a un cadavre ou suspicion, tout est tiré par les cheveux. L'homme n'est pas né pour se tuer alors s'il commence, c'est d'emblée fou.
Je n'ai pas lu d'autres romans de Fred Vargas (je vais m'y mettre très vite ça vous pouvez en être certains !) alors c'est avec 37% de certitudes que je vous annonce que peut-être elle serait dans mon top des auteurs de romans policiers, avec en pole position Agatha Christie.
Tadam, champagne !
