Seuls, tome 8 : Les arènes

Mes neveux, 8 et 10 ans, sont fans de cette BD. Ils la lisent et la relisent.

Il me fallait donc savoir de quoi il en retourne.

Et me voilà à la découverte de cet univers.

Dans ce tome, l'inspiration est romaine. Il est question de gladiateurs, de jeux et de sélection.

Nous entrons dans le vif du second cycle de cette très grande saga.
Nos cinq personnages principaux vont être contraient de remporter bon nombre de défis pour pouvoir vivre dans les meilleures conditions possible.
Si beaucoup d'évènements se déroulent dans ce tome, je l'ai trouvé génial et pleins de rebondissements.
Tellement hâte de lire la suite.
Lien : https://iletaitunefoislalect..

Voilà, on sait enfin ce que sont les 15 familles. Enfin presque puisque jusqu'ici j'ai beau faire les comptes je suis encore assez loin des 15 et que elles mêmes semblent arrêter leur décompte à 14... Toujours est-il que le scénario repart de plus belle avec une famille maîtresse des limbes côté gentils très inspirés de sénateurs romain régnant sur un peuple habillé à la mode médiévale. Il va encore falloir à nos héros bien du courage pour trouver sa place et cela passera par une série d'épreuves entre Fort Boyard et Koh Lanta. le scénario prend un nouvel envol avec cette recherche de nouveaux messies et le graphisme est toujours à son top.

Seuls, c'est toujours l'assurance de lire un tome rapidement, tellement c'est prenant ! Les enfants de Fortville sont emmenés vers une nouvelle contrée bien bizarre encore. Des castes/familles d'enfants (évidemment) règnent et ont des cultes étranges. J'ai toujours hâte de savoir dans quoi nos auteurs veulent nous faire plonger alors vivement la suite !

Les seuls de "Seuls" le deviennent de moins en moins. L'aventure prend des nouveaux horizons et de nouvelles communautés entrent dans la danse. Toujours autant de questions sans réponses. L'ensemble est palpitant et se dévore à coup d'addiction littéraire.

Un tome qui redonne le goût de la série. J'y retrouve des dialogues plus aboutis, plus poussés que sur les tomes précédents. Les questions se multiplient vu le contexte, mais ce n'est pas pour me déplaire tant cela redonne de l'intérêt au titre.
Graphiquement, la situation à Néosalem permet à Gazzotti de se renouveler et de nous proposer des décors différents.

chaque album apporte une réponse à l'énigme qui plane sur la série, la mort des enfants, mais chaque album complexifie le monde de « seuls ».
Cela rend l'histoire encore plus passionnante mais on ne sait pas trop où on va se retrouver... Les personnages sont aussi de plus en plus nombreux.
Un album charnière qui nous amène à imaginer encore de nouvelles hypothèses sur ce monde. Nous nous retrouvons ici dans une imitation du monde romain avec des épreuves toutes aussi diverses et plus ou moins dangereuses qui entame donc un nouveau cycle pour les cinq héros de Fortville.

Cette histoire se passe avec Dodji, Leila, le maitre des couteaux, Camille, Yvane,Terry,
Après être sortis de la zone rouge ils se font capturer et sont emmenés à la nouvelle Saleme (Néosaleme) pour passer des épreuves pour rentrer dans des familles... Dans ce livre, il y a de l'action, du suspens et on ne s'attend jamais à ce qui se passe au final je vous le conseille très fortement! Sur ce, je laisse celui qui a lu ce texte et j'espére qu il a apprécié ma critique sur



SEULS LES ARENES TOME 8 !

Beaucoup de réponses sans équivoques dans ce huitième tome.
Jusqu'à présent, il avait été stipulé, pas forcément clairement, que nos héros étaient dans les Limbes, mais là, non seulement, on en a confirmation, mais on apprend également ce que sont réellement ces fameuses Limbes et on a des explications sur les 7 familles, leur histoire, etc. En admettant que tout soit vrai,ce qu'on peut douter puisque ces révélations se font, après que Dodji et ses acolytes aient été capturés, enchaînés et emmenés à la nouvelle Salem, par le maître des jeux des arènes où les prisonniers vont devoir prouver par des épreuves, entre autres, qu'ils ne sont pas affiliés au mal.

Un huitième tome plein d'action donc on n'a pas le temps de s'ennuyer, par contre, il est assez angoissant.
Je n'apprécie pas du tout les dirigeants de cette nouvelle ville qui, sous couvert de faire le bien, bafouent les droits et les libertés des hommes.
Une fois de plus, Saul ne brille pas par son altruisme et son fair-play, même si je me suis prise à me demander s'il allait vraiment leur faire un coup fourré ou si l'entraide serait sa priorité.

Au niveau des illustrations, c'est une valeur sûre : toujours aussi sympas à regarder. le character design des personnages est cohérent d'une page à l'autre, mais également d'un tome à l'autre… Il y a probablement une légère amélioration, mais comme elle est progressive, ça passe bien.
J'ai bien aimé ce huitième tome et je pense lire le suivant dans la semaine.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..

Les enfants ont réussi à s'échapper des terres basses mais sont retenus prisonniers par des enfants qui ont établi une société classée en sept grandes familles. Cet épisode m'a rappelé étrangement le roman Hunger games. Toujours le même paradoxe : présence de violence et de réactions enfantines combinées qui donne un drôle de mélange. le scénario tient en haleine, et cela depuis huit volumes.