Ces récits, parce qu'il y a des miracles, sont traités par les historiens de contes à dormir debout. [...] La manie de contester appartenait en propre au XIXème siècle, et il fallait qu'elle se passe. Dès que dans un récit intervenait le merveilleux, il devenait contestable. Je ne sais trop ce qu'on en pense aujourd'hui, mais viendra bientôt le jour où l'on pensera le contraire, car c'est l'absence de merveilleux - le merveilleux est continuel dans la vie - qui est contestable.