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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Après avoir beaucoup apprécié Zombie Island, je me suis plongée dans Zombie Nation.

L'auteur David Wellington nous replonge dans un monde fait de Zombies, mais ici, en comparaison avec Zombie Island nous avons plusieurs points de vue : un humain, une goule et un zombie.
Je ne sais pas si je dois comparer les deux tomes, car ils sont tellement différent et j'ai tellement aimé Dekalb et Gary, qu'ici, je n'ai pas retrouvé l'ambiance ce de premier tome...

J'ai eu du mal à finir et je peux le confier ici, s'il n'aurait pas été lu dans le cadre d'une LC, j'aurai très certainement mis de coté. Parfois lire un livre avec cette motivation... Une LC, ça motive, c'est bien le cas de le dire ici...

Ce que nous découvrons : Nous assistons au départ de l'épidémie, nous en vivons les premiers instants. En effet les humains pensent qu'un virus se propage. Les victimes manifestent des comportements agressifs qui vont jusqu'à l'anthropophagie. La période d'incubation n'est que de quelques minutes. Ils n'ont encore jamais vu ça dans la nature. Un agent pathogène capable de détruire l'esprit humain et de retourner le sujet contre ses collègues et amis avec fureur... Une arme ultime pour des terroristes.

Les personnages : Nous découvrons Dick un zombie qui c'est fait manger les bras par des moutons zombie et qui cherche à comprendre en retrouvant Bleu. Quant à Nilla, elle n'a pas peur, elle ne respire plus, elle est consciente d'être morte-vivante, mais elle est amnésique... nous avons aussi Bannerman, capitaine dépassé par les événements...

Un second tome qui est en fait le début de notre histoire de Zombie. Il aurait très bien pu être le tome 1 de cette trilogie, mais l'auteur en a voulu ainsi, c'est assez étrange, j'ai eu l'impression que m'être trompée dans le sens de lecture entre le T1 et le T2...
J'ai beaucoup moins aimé de T2 par rapport au premier, le mélange fantastique l'a dérouté quelque part, je ne m'y attendais pas. Et j'ai trouvé quelques anachronismes entre le premier et le deuxième tome.
J'ai regretté de ne pas retrouver Gary, il m'a manqué...
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Zombie story, tome 2...
Première surprise : malgré ce que pourraient laisser croire les titres de chaque opus, Zombie Island, Nation et Planet, cette trilogie n'est pas construite comme la description d'une pandémie en tache d'encre au développement exponentiel... Hé bien non : ce second tome se trouve être un préquel, le récit du "voilà comment tout a commencé".
Tout débute en effet aux États-Unis, où une vague de cannibalisme se répand à grande vitesse, dépassant les autorités qui basculent de l'incrédulité à la panique, incapables de réagir. Parmi eux, Bannerman Clark, un capitaine de la Garde nationale, est chargé de discerner l'origine de l'épidémie pour mieux l'enrayer. Son chemin croisera celui de Nilla, dont il pressent qu'elle fait partie des pièces de l'échiquier en quelque sorte de la partie mortelle en cours... Mais qui tient réellement les ficelles ?

J'avoue là une lecture mitigée... Il n'y a quasiment aucun lien entre les tomes 1 et 2, et c'est assez déstabilisant.
Dans la littérature "zombiesque", on est là dans du grand classique, avec une pointe de fantastique mystique peut-être... mais insuffisament pour me transporter.
J'attends beaucoup du troisième tome qui, j'espère, remettra du lien dans cette trilogie qui reste cependant très agréable à lire.
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Ca part en vrille, avec la magie/les capacités spéciales de certains personnages... Mais pourquoi pas ! Bien que loufoque et atypique, cette aventure m'a tout de même plu. On notera tout de même certains passages longs.
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C'est dans ces moments là, quand je lis ce genre de bouquins, que je réalise qu'il y a certains écrivains qui ont un sérieux problème de drogue, d'alcoolisme, ou les deux combinés. David Wellington doit être le genre de gars adepte de la théorie du complot, fan d'X-files et convaincu que les chinois sont des Gremlins en pleine mutation (Oukouloumougnou si tu m'entends).

Je dois avouer que mon coeur balance après cette lecture. Suis-je lobotomisée par le gouvernement au point de ne pas réaliser que Lady Gaga est la jumelle maléfique de David Bowie ? Ou est-ce que David Wellington nous fait parvenir ses oeuvres du fond de sa cellule capitonnée ? le mystère aurait pu rester entier mais Dieu merci, je suis assez aliénée pour comprendre quand on se fout de ma gueule.

Dans le tome 1 on avait le droit aux zombies intelligents. Là aucun problème pour moi. Dans ce tome 2 par contre, les personnages de Heroes on été recyclés en zombies et ont toujours leurs supers-pouvoirs. Télépathie, don d'invisibilité, contrôle du cerveau. BREF. Un raton-laveur nucléaire a du passer par là et planter ses crocs radioactifs dans des mollets made in America. Nous voici donc plongés au coeur de l'action. Une vague de cannibalisme s'est soudainement abattu sur l'Oncle Sam et Bannerman Clark (après Dekalb dans le tome 1, je désespère face aux noms des personnages), capitaine de la Garde Nationale, est recruté d'urgence pour éviter l'Apocalypse. Bannerman Clark, vétéran de deux guerres, spécialiste des armes biologiques et le charisme d'une huître épileptique (je suis convaincue que ça existe). le môssieur est donc dérangé en pleine mastication de son steak et envoyé en Floride où tout a semble-t-il commencé. Sur place, et après avoir cerné un hôpital plein de zombies entrain de pique-niquer, il se trouve face à une jeune femme, Nilla, qui est un cadavre ambulant doué d'intelligence. Très vite, les policiers autour de lui se mettent en position pour l'exécuter mais Bannerman Clark est un militaire peace and love qui refuse d'assassiner des civils qui ont semble-t-il, besoin de soins de toute urgence. Il s'approche d'elle pour papoter donc, sauf que Nilla n'est pas con (bah non c'est un zombie intelligent) et qu'elle sait qu'elle risque de mourir une deuxième fois si elle reste là pour lui taper la converse. Elle disparaît donc. Comme ça. D'un coup. Parce que la demoiselle putréfiée a le don d'invisibilité. Mais Bannerman Clark a le pressentiment qu'il lui faut la retrouver au plus vite car elle est sûrement la clé de tout ce bordel monstre. En vérité, Nilla est la seule à pouvoir parler apparemment et c'est quand même plus facile de poser des questions à un zombie qui ne répond pas uniquement par grognements ou onomatopées.

Voilà. Ca c'est l'histoire du tome 2.

Ce tome 2 qui est plus gore que le précédent, plus approfondi, qui répond aux questions qu'on se posait dans le tome 1 et qui est encore moins crédible. J'ai tourné les pages de ce livre avec un visage qui montrait l'étendue de ma perplexité. Je sais que c'est une histoire de zombie. Je sais qu'on est pas là pour faire dans le terre-à-terre et la crédibilité. Mais honnêtement, même dans les romans fantastiques, il faut un minimum de logique si on veut que l'histoire tienne. Ici, ce n'est pas le cas. L'intrigue c'est du grand n'importe quoi, David Wellington a du écrire sa trilogie sous l'emprise de champignons hallucinogènes et clairement, ça se sent. Cela dit, j'ai tout de même apprécié ma lecture. Je ne le vous cache pas. Mais encore une fois, je pense que c'est du au fait que je suis complètement instable mentalement parlant. Les personnages sont...euhhh...américains. On a donc le droit à certains stéréotypes. Les points de vue sont un peu plus nombreux par rapport au tome 1 et, à mon avis, mieux travaillés. En fin de compte, niveau écriture ce tome 2 dépasse largement son prédécesseur et les réponses qu'on nous donne rendent la lecture beaucoup plus appréciable et beaucoup plus fluide. On sait enfin comment tout a commencé et pourquoi mais, franchement, c'est la chose la moins crédible du bouquin. D'autant plus que ça, on l'apprend à la fin et qu'on nous balance l'info sans préambules, sans ménagements et que le tome 2 se termine sans qu'on ait véritablement le temps d'approfondir le sujet. Ne vous attendez donc pas à lire une histoire de zombie qui vous fera frissonner de terreur parce qu'elle aura un arrière-goût de possible. Non. Après avoir lu Zombie Nation, vous serez même convaincu d'être à l'abri d'un tel événement. Et tant mieux pour vous. Vous ne viendrez quand même pas vous plaindre quand, un petit matin, vous vous ferez bouffer le bras par votre voisine tétraplégique. Amen à ça. Zombie Nation est peut-être une histoire à dormir debout que David Wellington a réussi à rendre parfaitement invraisemblable, n'empêche qu'à choisir, je préfère être parée à toute éventualité.


C'est pas le tout de se foutre de la gueule de ce bouquin mais je tiens tout de même à éviter de sentir le chacal crevé et de planter mes canines dans la jugulaire du premier venu. C'est vraiment pas hygiénique.
Lien : http://xenaddict.blogspot.fr..
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"Zombie Nation" est le récit de l'explosion de l'épidémie.
Les cours paragraphes nous permettent de suivre les personnages dont les vies s'entrecroisent.
Dick Walters, contrôleur vétérinaire, rend visite à une éleveuse très isolée dans la montagne.A son arrivée, c'est chez là qu'il découvrira ses premiers morts-vivants.
Clark Bannerman et Vikram Singh Nanda, militaires chargés de mettre en place le cordon sanitaire censé contenir l'épidémie : ils assisteront à la fuite dans la nature de l'agent pathogène et à l'éclosion de l'épidémie. Coupés de leur hiérarchie désormais zombifiée, ils doivent lutter pour préserver la vie des civils ramassés sur la route, et tentent de découvrir l'origine de la catastrophe.
Mais "Zombie Nation" est avant tout le récit d'un road movie . Celui d'une zombie , qui a choisi de se prénommer Nilla. Victime d'un des tous premiers incidents avec un zombie, Nilla est amnésique .Oxygénée pendant sa "non mort", son cerveau continue à fonctionner à peu près normalement. Nilla, zombie consciente de son état ! Etat comparable à celui de Gary, du tome 1, "Zombie Island" : elle sait qu'elle est morte...vivante, et Mael Mag Och communique avec elle et lui promet un destin particulier. Mael est le sorcier nu, couvert de tatouage, dont le corps a été préservé par la tourbe, rencontré dans le tome précédent. Nous n'apprendrons pas grand chose de plus sur son compte, et cela fait partie de mes petites déceptions.
Dès les premières pages, j'ai senti une grande différence de style en comparaison du tome 1. J'ai trouvé la narration plus "aboutie", les descriptions plus élaborées, les personnages peut-être moins caricaturaux : chacun a son bagage de doutes, de culpabilité (bon, Dick devient un cas à part, vous comprendrez en le lisant). Il y a bien entendu un "gros méchant" dénué de scrupules, on sent que l'auteur avait besoin de montrer que des monstres humains existent aussi.
J'ai beaucoup aimé les récits entrecoupés de coupures de presse, d'extraits d'émissions radios, de SMS... Dans les trois premières parties,soit 300 pages, ces intermèdes sont datés du 15/03/05 au 18/04/05 : l'ampleur de la catastrophe, décrite sur une si courte période, est franchement hallucinante, et entretien un rythme vraiment dynamique au récit. Tout se précipite dans la quatrième et dernière partie, qui ne couvre que quelques jours, avec des intermèdes "flash-back"
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