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3,25

sur 256 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'aurais dû commencer par celui-ci. Un vrai régal (pas au sens littéral. Je ne suis pas un zombie). Chaque chapitre réserve une belle surprise entre attaques de zombie, résistance des derniers hommes dans un New York aux mains des morts. Bref une catastrophe apocalyptique qui ne laisse pas beaucoup d'options aux humains restants. L'oeil reste en alerte et l'espoir demeure au coeur de ce chaos de chair et de sang. J'ai vraiment adoré le lire.
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A quand la création d'un insigne « zombie » ? mmm ?
Parce que celui-là je le veux ! En tant que littérature-zombiesque-addict :)
Une nouvelle preuve :

Après avoir découvert et aimé Positif de David Wellington, je me suis lancée à la découverte de la trilogie Zombie story et de son tome 1 : Zombie Island.

L'Épidémie a eu lieu et n'a laissé que peu de survivants derrière elle. Les pays les plus touchés ont été ceux qu'on dit « civilisés » ; d'autres au Moyen-Orient ou en Afrique ont réussi à conserver quelques îlots d'une sécurité toute relative.
Dekalb travaillait en Afrique pour les Nations Unies dans le domaine de l'assistance internationale, avant ; avant de perdre sa femme, ses proches, son travail… Il n'a plus que sa fille Sarah et pour elle, il est prêt à tout. Capturés par des mercenaires en Somalie, on lui propose le marché suivant : la protection de sa fille en échange de médicaments vitaux pour Mama Halima, le seigneur de la guerre local. Et suite aux nombreux pillages perpétrés, il n'a plus guère d'autre solution que de se rendre là où il est presque sûr d'en trouver : New York.

Allez ! Pas de suspense, je le déclare tout de go : j'ai aimé.
Le roman est prenant, gore mais juste ce qu'il faut, et adopte un angle plutôt original sans s'éloigner pour autant de ce que le lecteur peut attendre du genre. Avec une pincée d'humour habilement distillée, franchement, ça tient la route.
Pour moi qui suis plutôt Z Nation que Walking Dead, ce premier tome était vraiment fait pour me plaire !
J'enchaîne illico sur la suite...
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Original et bien mené. une bonne histoire de zombies.
Les idées sont intéressantes, les personnages aussi (il n'y a pas de héros tout puissant ici, c'est ce qui m'a plu), quelques incohérences bien sûr, mais le roman se lit bien, j'ai vraiment bien aimé.
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Wellington 🧟‍♀️
Zombie Story T1
Traduction : François Truchaud
J'aime beaucoup les histoires de Zombies, j'ai été une grande fan de The Walking Dead jusqu'à ce que l'histoire traite moins de survie pure que de "politique" entre les survivants (mais je compte m'y remettre cet hiver, j'ai bien envie de savoir ce qu'ils deviennent tous), aussi en tombant sur ce livre je n'ai pas pu résister.
Voici la quatrième de couverture :
À la suite d'une catastrophe mondiale les pays les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment. À la recherche d'un remède au virus, un groupe d'adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York. Tous se croient préparés au pire. Mais dans l'île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt découvrir que la non-mort est loin d'être le destin le plus terrifiant.
Le roman prend en fait une tournure inattendue avec un mort qui a gardé ses capacités intellectuelles et qui a accès au réseau "mentale" des autres zombies, il peut les commander. Bon c'est pas ce qui m'a le plus plu, ce que j'aime dans ce genre de romans c'est l'aspect survie, la lutte des survivants pour se trouver de la nourriture, un abri sécurisé et pour s'organiser. le reste pour moi est moins intéressant, même si je comprends que l'auteur veuille leur trouver des problèmes supplémentaires (affronter un monde peuplé de zombies c'est pas assez spectaculaire lol) pour ajouter de l'action et du suspens. Ce qui m'a plus aussi c'est que le personnage principal n'est pas un super héros mais un gars apeuré qui essaye de faire au mieux pour revoir sa fille, il a des moments de lâcheté, de faiblesse, de doutes, on s'identifie facilement à lui (on en mènerait pas large non plus face à un corps décomposé qui essaierait de nous croquer non? Sauf @sa qui réglerait facilement tout ça à coups de hache 😂).
Je lirai certainement les deux autres tomes par la suite, on ne sait jamais, ça pourrait servir...
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Bienvenue à New York alors qu'une invasion de zombies à mis à mal la planète Terre. Quelques survivants tentent de récupérer des médicaments dans une ville infestée. Plongée au coeur de l'action dès le départ, on s'accroche avec fougue à ces personnages, à ces rebondissements. Les récits de zombies ont investi littérature/série/ciné, il est toujours dur d'apporter une nouveauté dans ce melting-pot. Wellington réussit. Il va droit au but, ne s'encombre pas de nous présenter en vain des personnages, leur passé etc. En parallèle, l'histoire d'un mort (pas si mort) apporte une bulle imprévisible dans ce récit plein de tripes & de sang. Malgré un final qui accumule les scènes d'action à la manière d'un « toujours plus », ce tome 1 nous incite à continuer la trilogie. Se lit facilement et avec délectation.
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Livre numérique gratuit en cadeau. Boom ! Je prends.
Des zombies ? J'aime !
Alors c'est parti...
Bon, ce n'est pas incroyable mais ça reste sympathique.
On se prend au jeu.
On le finit sans encombre.
Par quart d'heure sur les WC, ça passe bien.
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Cela fait un bon moment que je l'ai lu et j'en garde un bon souvenir.
Roman original dans la façon de traiter le sujet que sont les zombies
Les personnages sont bien typés sans être stéréotypés, on a envie de les suivre tout du long de l'histoire, de leur histoire,
D'une écriture simple, mais qui donne son rythme, l'auteur à su éviter bons nombres de poncifs du genre .... et c'est une bonne chose.
j'ai donc passé un bon moment avec les vivant et les morts-vivants.
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Déjà, j'ai beaucoup aimé la prise de partie de l'auteur qui met les pays sous-développés sur le devant de la scène. En effet, Monsieur Wellington montre qu'on a beau critiquer les pays d'Afrique où les gosses jouent avec des mitraillettes dès leur sortie de l'utérus, et que nous, Occidentaux nous sommes tellement plus civilisés que ces gens-là, en fin de compte, ce sont eux qui s'en sortent le mieux puisque habitués à la guerre, aux massacres et aux privations. Résultat : la Somalie est la seule enclave exemptée de toute contamination dans le Monde alors que New York est tombée en quelque jours seulement. C'était assez surprenant de faire face à un discours politique tout au long du livre mais c'était surtout très enrichissant. Dans Zombie Island Tome 1, aussi bizarre que ça puisse paraître, on parle d'excision, de la religion musulmane, des gamines qui sont de véritables soldats et, bien entendu, lorsque Dekalb, le personnage principal, découvre un groupe de survivants à New York, ces gens-là ont un président fraîchement élu dans les sous-sols du métro new-yorkais.
David Wellington a une plume que j'ai beaucoup aimé. le livre se dévore facilement, rapidement, et le lecteur n'est jamais mis de côté. On est plongé dans l'action en même temps que les personnages et on ne s'attend pas à la moitié des choses qui vont se passer. Zombie Island n'est pas qu'un livre sur les zombies. C'est une histoire travaillée, réfléchie et étonnante.

Bon ça c'était pour l'analyse objective.

Autant vous dire que j'ai aimé ce livre mais je pense que c'est dû au fait que ma santé mentale est défaillante la majeure partie du temps. David Wellington mène son histoire avec brio et mêle une logique indiscutable avec une folie qui frise l'aliénation totale. Il se passe des choses complètement tirées par les cheveux, inimaginables, inconcevables...Bref. Il se passe des choses complètement insensées et ridicules à la fois. Mais ça passe parce que c'est une histoire de zombies et qu'on se fout royalement de la réalité. Cela dit, David Wellington doit avoir un problème de drogue parce qu'honnêtement, j'ai l'esprit ouvert, mais ce bouquin m'a laissée perplexe à certains moments. Déjà, Dekalb. le mec blanc par excellence, américain, héros dans l'âme etc...
Non je déconne.
Dekalb est une fiotte. Il se chie dessus à la moindre occasion, les adolescentes qui l'accompagne font figures de vieillardes pleines de sagesses à côté de lui. Il travaillait à l'ONU et on se demande bien pourquoi. Il a peur de tenir une arme, peur de tirer, peur de viser, mais il a quand même peur de mourir bouffer par un zombie. Ce mec est l'épitomé même de la lâcheté. Bon je dis pas, je ferais peut-être pas ma Xena si une apocalypse de zombies me tombait sur le coin du nez, mais franchement, le mec est au milieu d'une horde de cannibales prêts à dîner et il crie comme une fillette au lieu de courir. Cela dit, tout ça m'a beaucoup fait rire, et ça changeait des héros du style Rambo qu'on croise habituellement dans ce genre d'histoires. Les adolescentes, elles, sont effrayantes. Je veux dire, je suis pas fan des soirées pyjamas où on se vernit les ongles mutuellement, mais ces gonzesses sont des machines à tuer qui s'arrêtent seulement pour faire la prière. Elles ont un but et elles s'y tiennent, quitte à traîner Dekalb par le caleçon quand il se fait pipi dessus en entendant un oiseau gazouiller.
Bref. Cette histoire est absolument absurde mais tient tout de même la route parce que David Wellington maîtrise son sujet. Et même si parfois j'avais envie de me taper la tête contre les murs tellement tout ça ne ressemblait à rien, je n'ai pas pu m'empêcher de le dévorer du début à la fin. C'est une histoire de zombies super originale, qui prend aux tripes, qui nous en fait voir de toutes les couleurs et qui a le mérite de nous surprendre. C'est aussi l'histoire d'un père qui est l'archétype de l'antihéros mais qui, par amour pour sa fille, va passer outre son côté "j'ai-peur-d'une-mouche-qui-pète" et tout faire pour réussir sa mission.
Lien : http://xenaddict.blogspot.fr..
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Après un démarrage assez lent (trop lent), mais où certains éléments m'ont donné envie de continuer, j'ai été positivement surprise par Zombie Island. L'ambiance est là, les actions et le suspens aussi. L'imagination parfois trop débordante de l'auteure est équilibrée par une bonne dose de réalisme. Je me répète, mais David Wellington ne s'encombre pas de sentiments inutiles. Pas de romance, ni de personnages attachants à vous faire couler les larmes. Ici, les stars, ce sont les cadavres en décomposition. Après, on accroche ou on accroche pas.

Lire ma chronique :
Lien : http://www.limaginarium.fr/m..
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Un 4/5 qui tend sur le 4.5 /5, j'ai beaucoup aimé !





Eh bien ma foi, il était cré cré bien ce petit livre de zombies !! :) J'ai passé un excellent moment, je ne me suis pas ennuyée, et l'auteur a même réussi à me surprendre parfois, ce qui commence à devenir difficile dans le domaine du mort-vivant ! :)

Bref, je le referme plutôt très positive. le seul point qui m'empêche de lui mettre une note plus élevée (bien qu'elle soit déjà bien haute :D ) c'est que j'ai quand même mis 7 jours à le lire. Bon certes, j'ai beaucoup moins de temps pour lire, et suis beaucoup moins en forme le soir pour m'enfiler des pages et des pages, mais tout de même. Quand je suis passionnée par ce que je lis, vraiment passionnée, je fais passer tout le reste après. Facebook, les jeux, les soirées film/série avec le chéri, hop, je monte à 22h et je lis ! Bon là je ne l'ai pas fait. J'ai ouvert mon livre dès que j'avais 5 min, mais je n'ai pas tout laissé tomber pour le lire.
Donc, c'était très bien, mais pas assez pour un coup de coeur, tout de même ;)

Je vous disais que David Wellington avait su me surprendre. En effet, il y a quelques orginalités dans cette histoire qui m'ont plutôt convaincue. J'ai toujours aimé quand, sur un thème plutôt éculé, l'auteur essaie de sortir des sentiers battus pour nous proposer quelque chose d'un minimum nouveau (je dis ça alors que j'aimerais les zombies même si je devais lire, et relire, et rerelire la presque même histoire encore et toujours). Il faut avouer qu'un petit coup de balai dans la poussière, ça permet de respirer un peu mieux :) (Cali, la reine de l'expression imagée, lol) (et de la parenthèse).

Dans ce livre, on ne sait pas trop ce qui a causé l'épidémie. On débarque dans l'histoire alors que c'est déjà un sacré carnage mondial. Genre il reste 2-3 survivants dans les villes, et un groupe armé en Somalie. Tout le reste, c'est du bouffeur de cervelle. Des millions et des millions de zombies, partout. Chaud les marrons ! C'est dans ce groupe Somalien qu'on va démarrer l'histoire.

On suit un narrateur adulte, qui parle à la première personne (et dont j'ai oublié le prénom... Ptet même qu'on ne le sait pas du tout) qui se retrouve donc dans ce groupe Somalien, entouré d'adolescentes en uniformes d'écolières, armées jusqu'aux dents, et ayant reçu une formation militaire.

Pour diverses raisons (dont sauver la vie de sa fille de 7 ans), notre narrateur va devoir partir en mission en Etats-Unis, enfin, ce qu'il en reste, et survivre avec son groupe pour ramener en Somalie quelque chose qu'on les a envoyé chercher.

Grosso modo, voilà les grandes lignes. Mais bien sûr, ce ne sera pas simple. le monde est envahi par les zombies, affamés et sans pitié.

Jusque là, rien de méga original. Sauf qu'on en rencontre un un peu chelou, de zombie. Un ancien médecin, qui, croyant sa dernière heure de toute façon arrivée, a décidé de se donner une chance. Plutôt que se faire bouffer comme une carbonnade, il a décidé de se donner la mort, et, grâce à une ingénieuse installation, a tenté ce faisant de continuer à alimenter son cerveau en oxygène, espérant ainsi échapper à la triste destinée du zombie de base, à savoir, errer, con comme ses pieds décharnés, avec pour seul moteur son instinct pour se nourrir. Effectivement, en limitant les lésions neuronales causées par le manque d'oxygène entre la mort et la non-mort, il espère limiter les dégats. Et voilàààà, super zombie est né !



Un zombie, mort et bien mort, qui pourtant, parle, réfléchit, comprend, et est capable de penser des stratégies militaires ou vicieuses, ou les deux (il fait des trucs de dingue, mais je ne peux pas tout vous raconter, quand même !). Voilà qui va mettre pas mal de batons dans les roues de notre petit groupe !

La voilà l'originalité. La méthode employée par Gari-le-super-zombie pour se donner la mort sans perdre sa cervelle m'a paru convaincante, le bordel que ça engendre derrière aussi, et les conséquences sur l'histoire changent complètement la donne, pour obtenir une recette qui marche plutôt pas mal !

Ce n'est pas du tout un livre spécifique pour ado, même si on suit un groupe de gamines, on est surtout dans la tête d'un adulte, le langage n'est pas édulcoré, les évènements qui s'enchaînent non plus. L'écriture de David Wellington est fluide et adulte, bref, aucune raison de ne pas découvrir cet ouvrage.

J'avais lu ici et là certains avis qui disaient que ce livre partait un peu trop dans tous les sens, qu'on ne savait pas où donner de la tête, que les théories et élements étaient trop nombreux au point qu'on se perdait en route. Je n'ai pas du tout eu cette sensation, au contraire. J'ai trouvé chaque élément très cohérent dans le délire de l'auteur, et formant un bel ensemble, original et intéressant.

La fin m'a décroché la machoire (pas en quelques lignes balancées comme ça, juste pour te mettre un coup de pression, mais sur plusieurs pages, une fin, qui fut une vraie fin, et une vraie fin d'histoire de zombie quoi, ou tout ne se termine pas forcément bien, loin de là !) J'ai adoré !

Il va maintenant falloir que je me procure les suites, Zombie Nation et Zombie Planet, que j'ai très très envie de lire !

Bref, je suis enchantée de cette découverte qui n'a fait qu'augmenter mon amûûûûûûr pour mes zombies chéris ! :D



Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
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