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3,25

sur 257 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Original mais décevant.

Premier tome d'une série de trois livres sur l'univers Zombie suivi de Zombie Nation et de Zombie planet (Notez la gradation).

L'épidémie a déjà eu lieu et on n'apprendra rien de plus dans ce tome. le monde occidental est tombé et quelques îlots survivent là où la concentration d'armes par habitant était maximale. Bizarrement, pas aux USA (tiens pour une fois) mais dans quelques pays du tiers-monde. Notamment en Somalie.
Dekalb, ancien des nations unies, accepte, pour sauver sa peau et celle de sa fille de 7 ans, de retourner à New York pour aller chercher des médicaments pour lutter contre le VIH dont est atteinte la chef de la République des femmes libres somalienne. Il sera pour ce faire accompagné d'une troupe d'enfants soldats (de sexe féminin bien sûr). Sur place il sera confronté aux morts-vivants par millions et notamment un : Gary un zombie intelligent retors et manipulateur.

Oui, on sort des sentiers battus. de la sempiternelle construction : L'épidémie arrive, un groupe de survivants s'organise et lutte à mort contre des zombies décérébrés, mais est-ce pour autant une bonne idée ?
Cette originalité, au point qu'on passe de la science fiction au fantastique avec momie égyptienne, vieux druide et réseau mental ne m'a pas du tout emballé.
De plus notre héros, aussi charismatique qu'un poulpe mort depuis trois semaines, passe du pleutre au super héros en quelques pages, sans que personne n'y trouve rien à redire où que l'on comprenne pourquoi.

Bref, le roman reste assez peu crédible et est heureusement sauvé du naufrage (selon mon sens et mon goût) par quelques belles scènes d'action, elles, tout à fait classiques.
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Ce livre est pour moi réellement moyen, il y a du bon, très bon même, comme des choses que j'ai vraiment détesté. On se retrouve dans une lecture qui n'est plus originale, mais étant passionnée de zombies, je me suis laissé tenter. Ce qui m'a agréablement surprise est le niveau de langue et comment est tournée l'histoire. Trop souvent on reste dans quelque chose de soft, de léger alors qu'ici pas du tout, on est vraiment dans un livre pour adulte plutôt que pour adolescent et j'ai eu l'impression qu'il s'agissait d'un film de science-fiction également (ce qui pour moi est égal à pas tout comprendre et avoir des trucs savants ou presque). C'est donc un début de lecture où j'ai eu un peu de mal à me faire à cette écriture. le début est par ailleurs, très réaliste, on parle toujours de la Terre que l'on connait, avec des villes connues et des organisations mondialement connues, on est donc pas dépaysé par un univers totalement inconnu et inventé.
L'atmosphère est vraiment bien posée, on se sentira presque à la place des personnages. Pour ces derniers, on ressent très bien leur peurs, leur questions et on voit qu'ils veulent vraiment survivre. Quand on pense "zombies" on s'attend à de l'horreur et ce livre n'en apporte aucune, il va plutôt jouer sur le côté psychologique et de surprise. On ne connait d'ailleurs pas l'origine de cette épidémie et c'est un véritable manque. Dans mes autres "lectures zombies", on trouvait toujours une sorte d'explications et ici rien, à croire que l'auteur à voulu être original mais il a oublié quelque chose qui me semble fondamental pour un récit de ce genre et c'est franchement dommage. L'histoire tire en longueurs, les actions s'enchaînent rapidement mais elles restent assez souvent les mêmes : attaque de zombies, on se cache, on tente de partir et paf une nouvelle attaque ! Seul les lieux varient mais cela n'a pas réussis à me convaincre complètement. J'ai finalement commencé à m'ennuyer devant ma lecture.
C'est vraiment l'écriture de David Wellington qui m'a fait tenir jusqu'à la fin car elle est vraiment excellente. Il fait monter la pression petit à petit, arrive à jouer avec nos impressions, nos sentiments et surtout il nous intègre rapidement à l'histoire, on se laisse facilement tomber dans le jeu à croire qu'une fois sortit de notre lecture, on risque notre vie à cause des zombies. J'ai également apprécié le fait qu'il alterne deux points de vues, même si je n'ai pas totalement compris dès le début qui était la seconde personne. Il va confronter un humain à un zombie et on va apprendre beaucoup sur ces créatures par l'intermédiaire de Garry. Je ne vais pas spoiler plus ici le récit. Cette alternance donne un rythme assez rapide à l'oeuvre, on revoit certaines scènes en double et des détails sont donc plus ou moins mis en avant, ainsi que des conclusions propre à chacun et par la même occasion apprendre à découvrir les personnages principaux.


__ Je ne me suis pas attachée aux personnages. J'ai trouvé Garry lassant et totalement inutile en tant que personne, même si son avis apporte assez à l'histoire, mais il est aussi l'origine de certaines longueurs et son histoire est assez étrange. Delkab, l'humain avec un nom imprononçable est un personnage que j'appréciais au début et qui me semblait touchant par sa fille, puis j'ai finis par le détester et je trouve que sa fin lui va bien (méchanceté ++). J'ai détesté ce qu'il est devenu et son nouveau caractère, il a finis par être un personnage banal et sans coeur.

Pour conclure, j'attendais beaucoup de ce livre et j'ai été déçue. Il y a beaucoup de points négatifs, comme les longueurs ou encore le peu de variation dans les actions. L'histoire garde un soupçon d'originalité mais il manque quelque chose de fondamental, à savoir l'origine de l'épidémie. J'hésite donc à lire la suite de cette trilogie après un premier tome qui ne m'a pas beaucoup convaincue.
Lien : http://xx-gloomystory-xx.sky..
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Coucou mes Mystigris 😉

J'ai lu Zombie Island de David Wellington aux éditions @bragelonnefr Terreur , merci encore @lesladiesdeledition pour cet envoi.

🅲🅷🆁🅾🅽🅸🆀🆄🅴 À la suite d'une catastrophe mondiale, des zombies ont envahi les pays les plus riches. Seuls quelques pays pauvres subsistent, la Somalie en fait partie. Un jour, un groupe d'adolescentes et un chef d'armée partent à la recherche de médicaments pour soigner la dirigeante de la Somalie. Ils se rendent à New York. Tous sont préparés pour affronter le pire, mais à Manhattan, ville en ruine, ils découvrent que les zombies ne sont pas les plus à craindre.

🄼🄾🄽 🄰🅅🄸🅂 j'ai découvert et aimé les romans de zombies grâce aux deux premiers tomes de The Walking Dead. On m'a proposé ce livre et je me suis dit " pourquoi pas " mais j'en ressors mi-figue mi-raisin.
L'histoire commençait très bien, d'un côté Dekalb et son armée de Somaliennes débarquent à New York pour trouver des médicaments qu'ils n'ont pas en Afrique, l'univers est posé ils découvrent que l'île de Manhattan est envahie par des zombies. de l'autre nous avons Gary un zombie pas comme les autres, il est réactif, il parle et il est intelligent.
Mais les évènements de ce roman ont pris une drôle de tournure, des situations improbables, un récit délirant et trop tiré par les cheveux.
Concernant les personnages, je ne m'y suis pas attachée car leurs émotions et ressentis restent en surface. L'auteur est beaucoup plus axé sur l'action et le lieu. Elles sont très bien décrites mais les personnages sont laissés de côté et c'est vraiment dommage.

🄲🄾🄽🄲🄻🅄🅂🄸🄾🄽 Un roman post- apocalyptique basé sur l'action avec des scènes bien gores, mais qui manque d'humanité et d'émotions.
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Dekalb est un ancien inspecteur aux armements travaillant pour les Nations Unis. Il était chargé de convaincre les différents états de détruire leurs armes. Alors qu'un virus se répand dans le monde transformant les morts en zombies,il se réfugie avec sa fille en Somalie qui est un des rares pays à résister aux morts-vivants. Ceux-ci dévorent leurs proies qui succombent et se relèvent plus morts que vivants. Les pays comme la Somalie résistent du fait de leur grande possession d'armes. Un zombie ne peut être exécuté que d'une balle dans la tête. Dekalb est chargé de trouver des médicaments introuvables sur place pour le Seigneur de guerre local en échange de quoi ils prendront soin de sa fille Sarah 7 ans. On sent chez cet homme une répugnance pour tuer les êtres humains quels qu'ils soient et s'attire ainsi le mépris de la troupe d'adolescentes chargée de l'accompagner dans sa quête. Ils vont aller jusqu'à Manhattan et devoir affronter des hordes de zombies.
Dans le même temps nous faisons connaissance de Gary, médecin, qui se retrouvant le seul survivant sur l'île a décidé de s'inoculer volontairement le virus et de protéger son cerveau lors de son passage de vivant à mort. Il en résulte qu'il est plus intelligent que les autres et il va chercher à survivre en se mêlant aux morts.
Ce roman est sombre et il prend aux tripes. J'ai été assez prise par le récit même si on ne comprend pas encore comment ce virus s'est répandu. J'ai bien aimé le personnage de Dekalb qui est très humain, pas du tout un héros, il a la trouille et a du mal à surmonter ses préjugés mais il affronte tout ça par amour pour sa fille. La troupe d'adolescente est très intéressante aussi ; des jeunes filles fanatiques très religieuses mais qui sont de vraies guerrières et Dekalb leur devra plusieurs fois la vie. Ce n'est pas du tout mon genre de lecture habituelle mais le récit est prenant, l'histoire originale et aussi assez flippante pour une novice comme moi.
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Une épidémie s'est répandue à l'échelle planétaire. Les morts se relèvent et sont affamés. Delkab, un agent des Nations Unies, se trouve en Somalie avec sa fille. Un groupe armé composé de jeunes femmes les enlèvent et en échange de la libération de sa fille, Delkab doit trouver des antiviraux pour la chef du groupe. Il se retrouve alors en bateau accompagné d'un groupe de guerrières à peine plus âgées que sa fille, en route pour New-York.

Ce roman est un récit alliant fantastique et horreur. Les gens meurent et suite à un virus contracté, ils deviennent des morts-vivants, des zombies. Dans ce roman, l'auteur traite des limites que l'homme peut atteindre pour se sauver ou sauver un être cher. Les adolescentes qui se battent au côté de Delkab sont là pour lui faire prendre conscience qu'au-delà de notre propre personne, nous pouvons nous battre pour des idées, des concepts qui nous dépassent, ou pour l'amour d'une autre personne.

Il est décevant de ne pas avoir de vraies scènes de violence dans un roman traitant de zombies, mais le principal atout réside surtout dans l'écriture qui est très fluide. L'histoire est assez pauvre. Des chapitres entiers sont utilisés pour une courte scène, parfois insignifiante. Mais il y a une question qui reste en suspend. Comment cette épidémie est-elle née ?

En somme, un roman loin des clichés choquants et violents, qui se lit facilement, mais sans grand intérêt au niveau de la trame.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
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Les zombies font partie intégrante du genre de l'horreur. Un thème exploité avec abondance au cinéma. C'est peut-être un peu moins le cas en littérature, surtout de ce côté de l'océan. le genre est beaucoup plus développé côté US où il existe pléthore de romans exploitant ce thème. Romans rarement traduits (souvent pour de bonnes raisons, à savoir qu'ils n'en valent tout simplement pas la peine).
Zombie Island fait partie de ces exceptions. Pourtant je suis assez mitigé au terme de ma lecture. Les partisans diront que l'auteur a le mérite de dépoussiérer un peu le genre en y apportant une touche d'originalité. Les détracteurs lui reprocheront exactement la même chose, les règles du genre sont faites pour être enfreinte mais encore faut-il que cela tienne la route et là je n'ai pas été totalement convaincu.
Reste que tout n'est pas réinventé, loin de là. Au final, on se retrouve quand même avec une poignée de survivants face à des zombies avides de chair fraîche sur l'île de Manhattan. Rien de bien neuf donc de ce point de vue. Il y a de l'action, ça se lit vite, c'est divertissant. On pourrait aussi critiquer la faible profondeur des personnages. C'est le premier tome d'une trilogie, je crois que je vais en rester là.
Mitigé, je vous disais...
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Un premier tome un peu poussif mais sympathique mêlant habilement survivalisme et ésotérisme.
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Voici une trilogie sympa à lire. Comme toutes les trilogies, j'ai adoré le 1er tome, le second m'a perdu quant au troisième (que je suis entrain de terminer) m'a reconcilié avec Wellington. J'ai commencé à lire ces bouquins il y a quelques années et j'avais bien accroché, mais pas moyen de me plonger dans le tome 3. Je m'y suis remise il y a une semaine et j'arrive au bout avec l'envie de relire les deux 1er. Finalement faisons durer le plaisir.
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David Wellington s'est fait spécialiste de la réécriture de mythe moderne. Je garde un excellent souvenir de ma lecture de Positif, son précédent ouvrage sur les zombies et la fin du monde. Visiblement il n'avait pas encore tout dit sur le sujet.

Dès les premières pages il est évident que l'auteur a voulu écrire la série B, ou Z comme vous voulez, ultime. Il convoque tous les ingrédients pour faire du premier tome de cette trilogie un concentré d'action pure sans aucun temps mort. On retrouve donc le personnage principal obligé de se lancer dans une quête périlleuse par amour de ses proches, en l'occurrence sa fille, ainsi que la bande de guerrières déchaînées et armés jusqu'aux dents. le personnage de Dekalb est un digne héritier d'Ulysse, c'est à dire un héros sans force physique particulière, un peu lâche et qui devra apprendre à compter sur son intellect et sa débrouillardise pour espérer se sortir vivant de cette morgue à ciel ouvert qu'est devenue New York.

Lui et Gary sont les deux seuls personnages qui disposent d'un réel développement. le récit étant essentiellement concentré sur l'action. Comme dit plus haut, le récit ne souffre d'aucun temps mort et l'intrigue, une fois que l'on a accepté son côté fantastiquement loufoque, offre de sacrés moments de suspens et de déferlements d'adrénaline.

L'action culmine jusqu'à un final dantesque dans central park et une fin ouverte qui ne laisse qu'une seule interrogation, celle de savoir comment l'auteur va orienter la suite.

Un récit a dévorer pour tous ceux qui cherchent un exutoire facile d'accès. Une série B sanglante qui ne prétend pas être autre chose et c'est exactement ce que l'on attend d'elle.
Lien : https://culturevsnews.com/
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J'ai passé un moment agréable avec le premier tome de cette trilogie mais sans plus. Les 413 pages se lisent vite, l'histoire est pourtant bien rythmée entre courses poursuites et attaques de zombies, il y a du suspense, des évènements inattendus jusqu'au dénouement mais je n'ai pas été séduite au point de vouloir me procurer le tome 2.

Je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages, peut-être juste à Gary, au début. L'ambiance est plutôt réussie mais je n'ai pas eu très peur, c'est presque décevant. Certaines descriptions restent pourtant bien gores et quelques passages sont assez tendus mais ça n'a pas suffi.
Lien : http://bloghost.hautetfort.c..
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