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3,25

sur 257 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Original et bien mené. une bonne histoire de zombies.
Les idées sont intéressantes, les personnages aussi (il n'y a pas de héros tout puissant ici, c'est ce qui m'a plu), quelques incohérences bien sûr, mais le roman se lit bien, j'ai vraiment bien aimé.
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A quand la création d'un insigne « zombie » ? mmm ?
Parce que celui-là je le veux ! En tant que littérature-zombiesque-addict :)
Une nouvelle preuve :

Après avoir découvert et aimé Positif de David Wellington, je me suis lancée à la découverte de la trilogie Zombie story et de son tome 1 : Zombie Island.

L'Épidémie a eu lieu et n'a laissé que peu de survivants derrière elle. Les pays les plus touchés ont été ceux qu'on dit « civilisés » ; d'autres au Moyen-Orient ou en Afrique ont réussi à conserver quelques îlots d'une sécurité toute relative.
Dekalb travaillait en Afrique pour les Nations Unies dans le domaine de l'assistance internationale, avant ; avant de perdre sa femme, ses proches, son travail… Il n'a plus que sa fille Sarah et pour elle, il est prêt à tout. Capturés par des mercenaires en Somalie, on lui propose le marché suivant : la protection de sa fille en échange de médicaments vitaux pour Mama Halima, le seigneur de la guerre local. Et suite aux nombreux pillages perpétrés, il n'a plus guère d'autre solution que de se rendre là où il est presque sûr d'en trouver : New York.

Allez ! Pas de suspense, je le déclare tout de go : j'ai aimé.
Le roman est prenant, gore mais juste ce qu'il faut, et adopte un angle plutôt original sans s'éloigner pour autant de ce que le lecteur peut attendre du genre. Avec une pincée d'humour habilement distillée, franchement, ça tient la route.
Pour moi qui suis plutôt Z Nation que Walking Dead, ce premier tome était vraiment fait pour me plaire !
J'enchaîne illico sur la suite...
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Un 4/5 qui tend sur le 4.5 /5, j'ai beaucoup aimé !





Eh bien ma foi, il était cré cré bien ce petit livre de zombies !! :) J'ai passé un excellent moment, je ne me suis pas ennuyée, et l'auteur a même réussi à me surprendre parfois, ce qui commence à devenir difficile dans le domaine du mort-vivant ! :)

Bref, je le referme plutôt très positive. le seul point qui m'empêche de lui mettre une note plus élevée (bien qu'elle soit déjà bien haute :D ) c'est que j'ai quand même mis 7 jours à le lire. Bon certes, j'ai beaucoup moins de temps pour lire, et suis beaucoup moins en forme le soir pour m'enfiler des pages et des pages, mais tout de même. Quand je suis passionnée par ce que je lis, vraiment passionnée, je fais passer tout le reste après. Facebook, les jeux, les soirées film/série avec le chéri, hop, je monte à 22h et je lis ! Bon là je ne l'ai pas fait. J'ai ouvert mon livre dès que j'avais 5 min, mais je n'ai pas tout laissé tomber pour le lire.
Donc, c'était très bien, mais pas assez pour un coup de coeur, tout de même ;)

Je vous disais que David Wellington avait su me surprendre. En effet, il y a quelques orginalités dans cette histoire qui m'ont plutôt convaincue. J'ai toujours aimé quand, sur un thème plutôt éculé, l'auteur essaie de sortir des sentiers battus pour nous proposer quelque chose d'un minimum nouveau (je dis ça alors que j'aimerais les zombies même si je devais lire, et relire, et rerelire la presque même histoire encore et toujours). Il faut avouer qu'un petit coup de balai dans la poussière, ça permet de respirer un peu mieux :) (Cali, la reine de l'expression imagée, lol) (et de la parenthèse).

Dans ce livre, on ne sait pas trop ce qui a causé l'épidémie. On débarque dans l'histoire alors que c'est déjà un sacré carnage mondial. Genre il reste 2-3 survivants dans les villes, et un groupe armé en Somalie. Tout le reste, c'est du bouffeur de cervelle. Des millions et des millions de zombies, partout. Chaud les marrons ! C'est dans ce groupe Somalien qu'on va démarrer l'histoire.

On suit un narrateur adulte, qui parle à la première personne (et dont j'ai oublié le prénom... Ptet même qu'on ne le sait pas du tout) qui se retrouve donc dans ce groupe Somalien, entouré d'adolescentes en uniformes d'écolières, armées jusqu'aux dents, et ayant reçu une formation militaire.

Pour diverses raisons (dont sauver la vie de sa fille de 7 ans), notre narrateur va devoir partir en mission en Etats-Unis, enfin, ce qu'il en reste, et survivre avec son groupe pour ramener en Somalie quelque chose qu'on les a envoyé chercher.

Grosso modo, voilà les grandes lignes. Mais bien sûr, ce ne sera pas simple. le monde est envahi par les zombies, affamés et sans pitié.

Jusque là, rien de méga original. Sauf qu'on en rencontre un un peu chelou, de zombie. Un ancien médecin, qui, croyant sa dernière heure de toute façon arrivée, a décidé de se donner une chance. Plutôt que se faire bouffer comme une carbonnade, il a décidé de se donner la mort, et, grâce à une ingénieuse installation, a tenté ce faisant de continuer à alimenter son cerveau en oxygène, espérant ainsi échapper à la triste destinée du zombie de base, à savoir, errer, con comme ses pieds décharnés, avec pour seul moteur son instinct pour se nourrir. Effectivement, en limitant les lésions neuronales causées par le manque d'oxygène entre la mort et la non-mort, il espère limiter les dégats. Et voilàààà, super zombie est né !



Un zombie, mort et bien mort, qui pourtant, parle, réfléchit, comprend, et est capable de penser des stratégies militaires ou vicieuses, ou les deux (il fait des trucs de dingue, mais je ne peux pas tout vous raconter, quand même !). Voilà qui va mettre pas mal de batons dans les roues de notre petit groupe !

La voilà l'originalité. La méthode employée par Gari-le-super-zombie pour se donner la mort sans perdre sa cervelle m'a paru convaincante, le bordel que ça engendre derrière aussi, et les conséquences sur l'histoire changent complètement la donne, pour obtenir une recette qui marche plutôt pas mal !

Ce n'est pas du tout un livre spécifique pour ado, même si on suit un groupe de gamines, on est surtout dans la tête d'un adulte, le langage n'est pas édulcoré, les évènements qui s'enchaînent non plus. L'écriture de David Wellington est fluide et adulte, bref, aucune raison de ne pas découvrir cet ouvrage.

J'avais lu ici et là certains avis qui disaient que ce livre partait un peu trop dans tous les sens, qu'on ne savait pas où donner de la tête, que les théories et élements étaient trop nombreux au point qu'on se perdait en route. Je n'ai pas du tout eu cette sensation, au contraire. J'ai trouvé chaque élément très cohérent dans le délire de l'auteur, et formant un bel ensemble, original et intéressant.

La fin m'a décroché la machoire (pas en quelques lignes balancées comme ça, juste pour te mettre un coup de pression, mais sur plusieurs pages, une fin, qui fut une vraie fin, et une vraie fin d'histoire de zombie quoi, ou tout ne se termine pas forcément bien, loin de là !) J'ai adoré !

Il va maintenant falloir que je me procure les suites, Zombie Nation et Zombie Planet, que j'ai très très envie de lire !

Bref, je suis enchantée de cette découverte qui n'a fait qu'augmenter mon amûûûûûûr pour mes zombies chéris ! :D



Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
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Zombie Island fait partie de cette vague de livres sur les zombies qui inondent de plus en plus les librairies. Dans ces nombreux livres, on y trouve du bon et du moins bon. On peut compter Zombie Island dans les bons. Je n'attendais pas grand chose de ce livre, le lisant uniquement pour me reposer les neurones après une grosse lecture, je dois dire que j'ai été agréablement surpris. En effet, David Wellington va droit au but, ici, pas besoin d'attendre 100 à 200 pages pour que les choses bougent, tout est expédié en une vingtaine de pages. C'est clair, c'est simple, sans forcement être simpliste, et on enchaîne sur de l'action, du stress, du gore non stop, sans voir les chapitres défiler. Ceux-ci ne sont d'ailleurs pas très long et font rarement plus de 6 pages. Cela permet d'alterner entre les deux personnages principaux pour un point de vue différent. L'un étant vivant, l'autre un zombie. L'auteur maîtrise sont histoire de bout en bout et ne laisse aucun temps mort, aucune longueur au lecteur. de plus, on peut dire que David Wellington maîtrise l'art de la description sanglante et s'en donne à coeur joie pour notre plus grand bonheur. du roman pop-corn comme on les aime.
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Il s'agissait du premier livre de David Wellington que je lisais et j'ai vraiment apprécié. Je l'ai trouvé réussi dans son genre et original.

Comme dans tous les livres traitant de ce thème, nous suivons l'évolution d'un groupe de survivants. Partis de Somalie, un des rares endroits sur terre à ne pas avoir été touché par le virus, ils se rendent à New-York, chercher des médicaments. le style narratif est intéressant : c'est Dekalb, l'un des survivants, qui raconte les périples du groupe.

Ce que j'ai vraiment trouvé original c'est que nous suivons aussi les évènements du côté des zombies : l'histoire est également en partie racontée par Gary, un zombie « amélioré » qui nous décrit sa vie en tant que zombie. J'ai bien aimé ce personnage, qui contrairement aux autres zombies, a conscience de sa situation et est tiraillé entre les souvenirs qu'il a de sa vie d'humain et ses pulsions, notamment cannibales, liées à sa condition de zombie.

Au niveau de la description des personnages, l'auteur est fidèle au genre en nous décrivant des zombies en décomposition, parfaitement dégoutants. En revanche, j'ai trouvé que paradoxalement les survivants manquaient un peu d'humanité, dans le sens où ils ne montrent aucune émotion, à part Dekalb.

La description de la ville de New-york entièrement dévastée, envahie de zombies est très réussie.

J'ai cependant un reproche à faire : la traduction que j'ai parfois trouvé assez approximative.

J'ai trouvé cette lecture très sympathique et j'ai bien l'intention de lire les tomes suivants
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Egalement auteur de la saga Vampire Story, David Wellington a commencé son travail d'écriture en publiant Zombie Island sur un blog avant de se faire découvrir par des éditeurs. La saga Zombie story prenait alors vie avec ce premier tome.

À la suite d'une catastrophe mondiale les pays les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment. À la recherche d'un remède au virus, un groupe d'adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York. Tous se croient préparés au pire. Mais dans l'île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt découvrir que la non-mort est loin d'être le destin le plus terrifiant...

L'intrigue nous présente les personnages en deux temps. En effet dans un premier temps nous faisonn connaissance avec Dekalb un homme survivant qui mène aux Etats unis un groupde d'adolesentes armées prêtes à en découdre avec les morts vivants. le but de leur voyage est de trouver des médicaments contre le sida pour la ramener en Somalie. Puis nous découvrons Gary un personnage bien plus original et ambigu. (Attention ce qui suit révèle des élements clés). Gary est médecin, il est devenu grâce à la médecine un zombie mais qui a gardé la parole et son esprit. Très vite le premier groupe va croiser la route de Gary plantant ainsi les bases de toute notre intrigue.

Le monde apocalyptique et ses zombies sont magnifiquement décrits donnant la chair de poule. Les morts vivants lorgnent du coté de deux de G.A. Romero, lents et en décomposition. Ils grouillent partout et ne laissent aucun répit aux rares survivants qui ont eu la chance de ne pas succomber.

Zombie Island aborde malgré des apparences communes, le thème du mort vivant avec une certaine originalité notament au travers de Gary qui va donner une dimension majeure à l'histoire. La tension est palpable à chaque instant, on assiste impuissant à de nombreuses scènes effrayantes toujours bien décrites. Sans trop en révéler on plonge dans un univers totalement unique avec un intérêt réel. qui nous mènera vers une fin inattendue et bien trouvée. Toutefois la grande originalité du récit risque de surprendre du monde et certains peineront même à y croire tant cela sort des sentiers battus.

Doté d'une histoire prenante Zombie island est idéal pour tout amateur de morts vivants, il se dévore presque aussi vite que nos pauvres survivants qui croisent une horde au détour d'une rue de New York.
Lien : http://www.avenuedelhorreur...
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Deux histoires s'entrecroisent : celle de Gary, qui s'est "zombifié" lui même, pensant être le dernier être vivant sur terre et ne souhaitant pas finir en casse-croûte à zombies...Et, vlan, des humains arrivent, il a les boules quand même, à quelques heures près . Et celle du narrateur, qui est venu à New York en mission commandée : il doit ramener des médicaments en Somalie, et sa fille vivra. Non qu'elle soit malade elle-même : c'est la chef des "ados surarmées" qui l'est, et elle détient sa fille...
Ça , c'est la trame de départ, plausible bien qu'un peu surprenante, mais ensuite c'est digne de Walking Dead : on évolue dans les rues avec leur petite troupe (de plus en plus petite ), mais aussi au rythme des zombies. Et, pour ceux qui auraient lu I Am a Legend (pas vu le film, LU), de Richard Matheson, vous vous souviendrez de cet ordre renversé, et de cette nouvelle espèce qui remplace les hommes : à se demander si, tout compte fait , les "gentils" vont gagner...Et s'ils doivent gagner...
Je peux juste regretter des envolées scénaristiques typique des "Anticipation" de Fleuve Noir, mais c'est fugace : il y a le super grand méchant zombie, qui veut une armée d'esclaves et un palais, j'ai lu en diagonale ces pages là . Ne vous méprenez pas, je n'ai absolument rien contre les Anticipations, ils sont mes premières lectures de SF et m'ont conduite vers Simak, Aasimov, Barjavel et Van Vogt. Je m'égare...
Bref, un récit palpitant, des personnages bien construits, des décors qui fichent la trouille, on entend presque les pas des zombies . Les pas ..."spongieux"...Beûrk !
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Après un démarrage assez lent (trop lent), mais où certains éléments m'ont donné envie de continuer, j'ai été positivement surprise par Zombie Island. L'ambiance est là, les actions et le suspens aussi. L'imagination parfois trop débordante de l'auteure est équilibrée par une bonne dose de réalisme. Je me répète, mais David Wellington ne s'encombre pas de sentiments inutiles. Pas de romance, ni de personnages attachants à vous faire couler les larmes. Ici, les stars, ce sont les cadavres en décomposition. Après, on accroche ou on accroche pas.

Lire ma chronique :
Lien : http://www.limaginarium.fr/m..
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On a ici affaire à deux narrateurs : Dekalb présenté plus haut et Gary, un zombie qui a sû conserver son intelligence. On passe donc de l'un à l'autre durant tout le récit, ce qui donne un peu de rythme à l'ensemble qui aurait pu dans le cas contraire sembler monotone.



D'habitude, c'est quand je m'identifie ou que j'affectionne un personnage que j'apprécie vraiment l'histoire. Ici, c'est différent. Les personnages ne sont pas plus attachants que ça mais j'étais vraiment curieuse de savoir comment ça allait se finir. Qui allait gagner les survivants ou les morts ?



Le style est parfaitement adapté au récit. Entre descriptions des lieux et des zombies et séquences d'action, on arpente la ville de New-York avec un intérêt nouveau. Et vous, aimeriez-vous découvrir un New-York apocalyptique ?



Petit bémol pour moi est que le suspens n'est pas assez intense à mon goût. C'est vrai quoi, les survivants sont entourés de zombies, ça devrait être me faire battre le coeur à 300 à l'heure ! Peut-être que cet élément viendra dans le prochain tome.
Lien : http://iluze.over-blog.com/a..
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J'aurais dû commencer par celui-ci. Un vrai régal (pas au sens littéral. Je ne suis pas un zombie). Chaque chapitre réserve une belle surprise entre attaques de zombie, résistance des derniers hommes dans un New York aux mains des morts. Bref une catastrophe apocalyptique qui ne laisse pas beaucoup d'options aux humains restants. L'oeil reste en alerte et l'espoir demeure au coeur de ce chaos de chair et de sang. J'ai vraiment adoré le lire.
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