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Critique de Cronos
Le livre a des traits communs avec L'étrange vie de Nobody Owens par Neil Gaiman, ils abordent les thèmes de l'enfance et de la mort, des codes qui l'entoure et les deux possèdent un univers imaginaire poussé. On commence bien.
Le roman est entre coupé de passage issu d'un livre d'Histoire imaginaire et de fiches de polices sur nos personnages principaux. J'ai trouvé que cela cassait le rythme, l'intrigue (un peu longue à commencée) me prend et coupure ! Je dois me remettre dans le bain à chaque fois, c'est le plus gros reproche que j'ai à faire car tout le reste est excellent. Les personnages sont attachants, l'histoire est bonne ET originale. Je viens de le terminer à l'instant et il va me rester longtemps en mémoire.
Instigateur de la pire idée du monde, celle de glisser des (fausses) publicités au milieu de chapitre, Bernard Werber a toutefois eu le mérite de me faire sourire avec celles ci. Sachez Monsieur, que si un tel affront arrive un jour dans les livres, je vous en tiendrais pour responsable.
Le roman est entre coupé de passage issu d'un livre d'Histoire imaginaire et de fiches de polices sur nos personnages principaux. J'ai trouvé que cela cassait le rythme, l'intrigue (un peu longue à commencée) me prend et coupure ! Je dois me remettre dans le bain à chaque fois, c'est le plus gros reproche que j'ai à faire car tout le reste est excellent. Les personnages sont attachants, l'histoire est bonne ET originale. Je viens de le terminer à l'instant et il va me rester longtemps en mémoire.
Instigateur de la pire idée du monde, celle de glisser des (fausses) publicités au milieu de chapitre, Bernard Werber a toutefois eu le mérite de me faire sourire avec celles ci. Sachez Monsieur, que si un tel affront arrive un jour dans les livres, je vous en tiendrais pour responsable.
