« Ô Nuit noire ! Que j’aime ton sang d’encre, ta Lune d’un autre monde…
Tes épîtres gravent chaque soir le souffle qui nous comble. »
Pour son sixième ouvrage, Quentin Westrich propose une parenthèse poétique sous la forme d'un recueil. Un voyage parmi les ombres où la tourmente des sentiments, la mort et les fantasmes se mélangent dans une quête permanente d’Absolu.