Nous vivons de plus en plus vieux, mais pieds et poings liés aux béquilles chimiques fournies par l'industrie du médicament.
Quand il est repéré, le cancer a déjà évolué pendant une très longue période : huit ans pour un cancer du sein, onze ans pour un cancer du poumon, quinze ans pour les sarcomes ; vingt-cinq ans pour l’athéromatose (maladies cardiovasculaires), sans que l’on n’ait rien fait pour le détruire.
Lors du jeûne […], l’état d’acidose est d’abord neutralisé par la réserve alcaline du sang, mais celle-ci finit par s’épuiser et le jeûne suffisamment prolongé permet d’acidifier l’organisme d’une manière stable ; l’utilisation […] des médicaments antifébriles chimiques (antibiotiques, anti-infectieux) a éliminé les épisodes acidosiques qui surviennent au début des infections […] ; la disparition de ces périodes acidosiques contribue à l’accroissement de la cancérisation…
Les études scientifiques nous montrent que, dès lors que l’on réduit d’un tiers la ration alimentaire des animaux d’expériences scientifiques, tout en maintenant le quota de vitamines et d’éléments essentiels, ils contractent de 10 à 60% de cancers en moins.
Un terrain alcalin-oxydé est générateur de cancers, de pathologies virales et cardiovasculaires, de thromboses, de phlébites, d’artérites, de leucémies, de diabète, de psychoses…
Un terrain acido-oxydé est favorable au développement des bactéries, des mycoses (candida albicans) et autres agents agresseurs se traduisant par des maladies telles que polio, tuberculose, psoriasis, infections infantiles…
Quand le cerveau est stressé, il secrète une hormone qui active un gène dans les cellules adipeuses. Ces dernières grandissent et se multiplient sous l’impulsion de cette hormone du stress.
Pour corriger un pH qui devient trop acide, [le sang] puise des minéraux basiques dans les tissus pour neutraliser les acides excédentaires, selon le principe qu’une base combinée à un acide donne un sel neutre (système tampon).
Le maximum de résidu sec imposé par la loi [dans l’eau potable] avant 1961 était de 500 milligrammes par litre ; il est aujourd’hui de… 1500 milligrammes par litre ! Ceci permet de mieux comprendre la dégradation de la qualité de l’eau dans notre pays en à peine un demi-siècle…
Quand les tomates conventionnelles sont boostées à grand renfort d’engrais, les tomates bio doivent développer leurs propres ressources pour se défendre contre les conditions extérieures. Et cette forme de stress se transforme au fil de leur croissance en nutriments dont nous bénéficions ensuite.
Nous ne pouvons assimiler au plus que 1% des minéraux contenus dans l’eau ; de plus, les minéraux inassimilables encrassent notre organisme ; par exemple, nous savons aujourd’hui que le calcium de l’eau ne peut pas être absorbé par l’intestin.