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Citations sur Les espionnes du Salève, tome 4 : Opération Gold (9)

Juifs ou étrangers plutôt que de les arrêter et les envoyer en camps de concentration comme le faisait Laval en France, alors là son sang se mit à bouillir et ses idées se radicalisèrent, si tant était que cela fût possible !
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En revanche, quand le 18 décembre de la même année, par accord entre l’Allemagne de Hitler et l’Italie de Mussolini, les troupes italiennes prirent le relais sur tout le territoire français à l’est du Rhône de Genève à Marseille et qu’il s’aperçu que les Alpini Sciatori et la Guardia di Finanza du Colonel Brazetti se contentaient de refouler gentiment les 75
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Quand les troupes allemandes fondirent sur le sud de la France le 11 novembre 1942, une lueur d’espoir avait pointée en lui. Quand il vit les services des douanes allemands se masser rapidement à la frontière du côté d’Annemasse ou de Ville-la-Grand, il se disait qu’enfin un peu d’ordre allait s’imposer.
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Si des lois restrictives concernant les Juifs en Suisse avaient été votées, il n’en demeurait pas moins, à son grand damne, que ces gens n’étaient pas assez inquiétés et se « reproduisaient bien plus vite que les rats » selon son opinion
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Étant juifs, ils savaient que leur destination finale serait tôt ou tard, le camp d’internement de Drancy au nord de Paris d’où tous les trains de déportation des Juifs de France partaient, comme ce fut le cas pour ses propres parents
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Si le message semblait succinct et peu compréhensible, celle qui le lut, avait parfaitement réalisé la situation : son frère et toute sa famille avaient dû se faire arrêter à Mâcon alors qu’ils essayaient de la rejoindre.
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Si des lois restrictives concernant les Juifs en Suisse avaient été votées, il n’en demeurait pas moins, à son grand damne, que ces gens n’étaient pas assez inquiétés et se « reproduisaient bien plus vite que les rats » selon son opinion.
Quand les troupes allemandes fondirent sur le sud de la France le 11 novembre 1942, une lueur d’espoir avait pointée en lui. Quand il vit les services des douanes allemands se masser rapidement à la frontière du côté d’Annemasse ou de Ville-la-Grand, il se disait qu’enfin un peu d’ordre allait s’imposer.
En revanche, quand le 18 décembre de la même année, par accord entre l’Allemagne de Hitler et l’Italie de Mussolini, les troupes italiennes prirent le relais sur tout le territoire français à l’est du Rhône de Genève à Marseille et qu’il s’aperçu que les Alpini Sciatori et la Guardia di Finanza du Colonel Brazetti se contentaient de refouler gentiment les 75

Juifs ou étrangers plutôt que de les arrêter et les envoyer en camps de concentration comme le faisait Laval en France, alors là son sang se mit à bouillir et ses idées se radicalisèrent, si tant était que cela fût possible !
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C’était ainsi que Vittorio De Luca et Rolf Schneider agissaient dans l’ombre contre les ennemis du IIIe Reich et de l’Italie fasciste de Mussolini.
Le premier appartenait à l’OVRA, Organizzazione di Vigilanza e Repressione dell’Antifscismo, qui n’était ni plus ni moins la police secrète créée par Benito Mussolini lui-même afin de lutter contre ses adversaires et les réduire au silence voire à néant. Bien entendu, cet organe de surveillance et de répression était présent là où les Italiens se trouvaient présents comme en Haute-Savoie depuis décembre 1942, mais aussi dans une ville internationale comme Genève, propice à fournir tous types de contact.
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Si le message semblait succinct et peu compréhensible, celle qui le lut, avait parfaitement réalisé la situation : son frère et toute sa famille avaient dû se faire arrêter à Mâcon alors qu’ils essayaient de la rejoindre. Étant juifs, ils savaient que leur destination finale serait tôt ou tard, le camp d’internement de Drancy au nord de Paris d’où tous les trains de déportation des Juifs de France partaient, comme ce fut le cas pour ses propres parents
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