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Présentation


Les troubles politiques et sociaux de la Troisième République sont nombreux ; le gouvernement se révèle fragile et instable, les crises qui ont lieu altèrent la confiance de l'opinion publique dans le ministère, et le peuple se trouve de plus en plus engagé dans ces crises, à l'instar de ce qui se passe durant l'affaire Dreyfus, qui va véritablement scinder l'opinion publique française. Au sein de ces tensions politiques, les intellectuels prennent alors de plus en plus de place. C'est ainsi que le jeudi 13 janvier 1898, soit quatre ans après le début de l'affaire Dreyfus, Zola fait paraître J'accuse dans le journal L'Aurore. Par cette lettre ouverte adressée au président de la République de l'époque, Zola s'engage dans le camp des dreyfusards en contestant la décision de justice relaxant le véritable coupable, le colonel Esterhazy.
Ces prises de position des intellectuels sont nouvelles et se révèlent précieuses au point de vue littéraire, puisque nous pouvons voir émerger un nouveau type de discours engagé, qui repose sur une tradition rhétorique très ancienne. Nous nous interrogerons sur les caractéristiques de ce discours afin de montrer la rhétorique judiciaire à l'oeuvre dans cet article.



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