Vingt-quatre heures de la vie d'une femme est une friandise de
Stefan Zweig qui se laisse croquer avec plaisir dont le format permet de l'emboucher d'un seul trait. Un arrière-plan qui peut rappeler
le joueur de
Dostoïevski, mais c'est bien un de ces moments au cours desquels une vie bascule parfois, qui sert de trame à cette histoire.
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