Traiter de l'insomnie dans le cadre d'une série qui est en perte de vitesse depuis plusieurs années, ne manque pas de sel. Hélas, il n'est pas vraiment ici question de second degré malgré quelques tentatives rapidement avortées.
Acquérir cet album dans le cadre d'une opération les Indispensables de la bande dessinée est une bonne idée, car l'album est loin d'être un bon cru. Comme trop souvent, voici un enchaînement de gags misant à fond sur un humour de situation éculé et un comique de répétition usé jusqu'à la corde. Bon certes, Lénoard remplacera – pour une fois – son disciple dans la conception de ses inventions, mais cette innovation fera long feu…
Quelques bonnes idées font toutefois plaisir à lire. le thème de l'insomnie donne lieu ici à trois gags qui, sans offrir de continué, s'envoient quelques allusions les unes aux autres. A plusieurs reprises, les personnages s'affranchissent du cinquième mur et s'adressent directement au lecteur. Enfin, Yorick vit ici quelques aventures sympathiques, mais hélas sous-exploitées.
Bref, ce quarante-cinquième n'a de génie que le nom. S'il ne fera pas dormir son lecteur, il ne fera pas non plus date dans l'histoire d'une série qui mériterait de connaître une fin digne de ce nom !
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Avec "Léonard", c'est un retour en arrière quand ma soeur lisait cette BD et que je lui préférais "Gaston lagaffe".
C'est avec un certain plaisir que je retrouve le génie Léonard, son disciple Basile (pauvre disciple !), le chat Raoul sans oublier la souris.
Toujours des inventions plus ou moins abouties à tester par le disciplus simplex, un bon moment de détente.
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Je ne sais pas pourquoi je m'obstine à réserver des Léonard à la bibliothèque.
Voilà encore un album plat, très plat, sans humour, sans histoires, rien, nada...
Je cherche encore les gags, je n'y trouve que des bulles remplies de textes.
Il y a une ou deux idées qui auraient pu être mieux exploitées comme les rêves de Basile mais sinon c'est le vide sidéral ; de groot n'a plu aucune inspiration, il serait peut-être temps de laisser la main à un autre scénariste.
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Un livre toujours aussi drôle
J'aime toujours autant disciple qui passe plus de temps à l'hôpital que dans l'atelier de Léonard
Un livre qui pour moi ne prend pas une ride et qui est toujours aussi drôle
Je vais continuer de lire un album de temps en temps par nostalgie et pour disciple
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Ce nouvel album n'apporte pas de révolution dans son univers bien rôdé - on ne le lui demande pas - mais l'ouvrir donne l'impression d'être convié à de sympathiques retrouvailles dans la bonne humeur et sans prétention. Qui aurait envie de refuser une telle invitation ?
Lire la critique sur le site : Auracan
Je vous présente la caravane, dont le nom m'a été inspiré par le puîné de votre grande tante, votre cousin germain Herbert von Caravan !
La plus grande image du monde