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Bug - BD

Série de 3 livres (Terminée). Écrite par Enki Bilal (3),

Bug, tome 1 par Bilal
Enki Bilal
3.90★ (1081)
tome : 1
Bug, tome 2 par Bilal
Enki Bilal
3.92★ (640)
tome : 2
Bug, tome 3 par Bilal
Enki Bilal
3.81★ (357)
tome : 3

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Dernières critiques
Bug, tome 3

Pour moi, Bilal c’est avant tout ce trait si caractéristique qui va directement du cerveau à la main jusqu’à la pointe de graphite, sans esquisses ou brouillon. Le dessin de Bilal c’est pour moi la matière du graphite qui épouse le papier, en nous transmettant ses odeurs et matières. Comme lecteur je pourrais presque sentir l’odeur du graphite, le volume des matières, en plus de voir ses dessins si aboutis. Dans Bug il est pour moi au sommet de la maitrise de son art dessiné…



Sa technique de dessiner chaque dessin séparément (et non directement dans sa composition prédéfinie de « planche »/page finale de la BD) permet à Bilal de nous proposer des dessins qui un à un sont magnifiques à lire et découvrir. Il ne compose donc sa page finale qu’après avoir scanné ses dessins, ce qui rajoute une autre part de créativité à sa narration. Cette approche me parle beaucoup en tant que monteur audiovisuel car on retrouve là une question de rythme, d’équilibre, de composition, d’accompagnement ou de surprise pour le regard.



Ce résultat organique nous projette pourtant dans des mondes futuristes et imaginaires. La richesse de BUG c’est quasiment une centaine de pages par tome, un dessin issu d’années d’évolution du style de Bilal, avec maintenant une maturité esthétique tellement plaisante case par case et dans la composition des planches digne d’un monteur de cinéma, sans oublier ses couleurs et son encre de Chine.



La qualité du dessin de cette série mérite de se faire plaisir avec la version grand format des éditions.



En attendant un jour le Tome 4, je vous conseille les 3 Tomes de Bug que vous pourrez lire dans un premier temps pour leur narration, puis relire pour le plaisir de contempler à nouveau les dessins d’un artiste en pleine maitrise de son art.
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Bug, tome 2

Pour moi, Bilal c’est avant tout ce trait si caractéristique qui va directement du cerveau à la main jusqu’à la pointe de graphite, sans esquisses ou brouillon. Le dessin de Bilal c’est pour moi la matière du graphite qui épouse le papier, en nous transmettant ses odeurs et matières. Comme lecteur je pourrais presque sentir l’odeur du graphite, le volume des matières, en plus de voir ses dessins si aboutis. Dans Bug il est pour moi au sommet de la maitrise de son art dessiné…



Sa technique de dessiner chaque dessin séparément (et non directement dans sa composition prédéfinie de « planche »/page finale de la BD) permet à Bilal de nous proposer des dessins qui un à un sont magnifiques à lire et découvrir. Il ne compose donc sa page finale qu’après avoir scanné ses dessins, ce qui rajoute une autre part de créativité à sa narration. Cette approche me parle beaucoup en tant que monteur audiovisuel car on retrouve là une question de rythme, d’équilibre, de composition, d’accompagnement ou de surprise pour le regard.



Ce résultat organique nous projette pourtant dans des mondes futuristes et imaginaires. La richesse de BUG c’est quasiment une centaine de pages par tome, un dessin issu d’années d’évolution du style de Bilal, avec maintenant une maturité esthétique tellement plaisante case par case et dans la composition des planches digne d’un monteur de cinéma, sans oublier ses couleurs et son encre de Chine.



La qualité du dessin de cette série mérite de se faire plaisir avec la version grand format des éditions.



En attendant un jour le Tome 4, je vous conseille les 3 Tomes de Bug que vous pourrez lire dans un premier temps pour leur narration, puis relire pour le plaisir de contempler à nouveau les dessins d’un artiste en pleine maitrise de son art.
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Bug, tome 1

Pour moi, Bilal c’est avant tout ce trait si caractéristique qui va directement du cerveau à la main jusqu’à la pointe de graphite, sans esquisses ou brouillon. Le dessin de Bilal c’est pour moi la matière du graphite qui épouse le papier, en nous transmettant ses odeurs et matières. Comme lecteur je pourrais presque sentir l’odeur du graphite, le volume des matières, en plus de voir ses dessins si aboutis. Dans Bug il est pour moi au sommet de la maitrise de son art dessiné…



Sa technique de dessiner chaque dessin séparément (et non directement dans sa composition prédéfinie de « planche »/page finale de la BD) permet à Bilal de nous proposer des dessins qui un à un sont magnifiques à lire et découvrir. Il ne compose donc sa page finale qu’après avoir scanné ses dessins, ce qui rajoute une autre part de créativité à sa narration. Cette approche me parle beaucoup en tant que monteur audiovisuel car on retrouve là une question de rythme, d’équilibre, de composition, d’accompagnement ou de surprise pour le regard.



Ce résultat organique nous projette pourtant dans des mondes futuristes et imaginaires. La richesse de BUG c’est quasiment une centaine de pages par tome, un dessin issu d’années d’évolution du style de Bilal, avec maintenant une maturité esthétique tellement plaisante case par case et dans la composition des planches digne d’un monteur de cinéma, sans oublier ses couleurs et son encre de Chine.



La qualité du dessin de cette série mérite de se faire plaisir avec la version grand format des éditions.



En attendant un jour le Tome 4, je vous conseille les 3 Tomes de Bug que vous pourrez lire dans un premier temps pour leur narration, puis relire pour le plaisir de contempler à nouveau les dessins d’un artiste en pleine maitrise de son art.
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Bug, tome 1

2041, ce qui pouvait arriver de pire à l'humanité actuelle est arrivée : perdre toutes traces de données numériques sauvegardées. Compliqué pour la population de recommencer ou commencer à se passer des technologies et de penser par elle-même.

Retour à l'âge de pierre, c'est un très bon thriller futuriste et fantastique que nous propose Enki Bilal. De quoi nous faire réfléchir sur la place de plus en plus prépondérante que prend la technologie sur les rapports humains et notre dépendance vis à vis de celle-ci. J'ai hâte de lire la suite.
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Bug, tome 1

Bug un seul bug et soudain: nous sommes devant un phénomène de rupture brutale avec nous-même, avec ce que nous sommes devenus...des êtres arrogants, détériorés par trop de dépendances que nous nous sommes nous-mêmes infligées au nom d'une idée dévoyée du progrès et d'un libre-echangisme porté par des médias à la complaisance criminelle. nous sommes, je dirais,enfin face à notre propre connerie...

à suivre....
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