«Malheureusement, ou pas, quelques jours après avoir entrepris ce portrait à charge d'À la Recherche du temps perdu, je suis revenue pour la quatrième fois au début et me suis trouvée submergée d’émotion à voir que les personnages fréquentés au fil des pages se trouvaient déjà là en germe et que ces quelque trois mille pages avaient été écrites pour leur restituer une vie que l’auteur et donc le narrateur connaissaient dès le début, et que le fameux écheveau avait finalement une tête et une queue. Mais je m’y résous tout de même, suivant en cela le conseil de Talleyrand, « Méfiez-vous du premier mouvement, c’est toujours le bon »
Notre voeux ? Que cet ouvrage soit , mieux qu'un guide ,une incitation à partager le plaisir d'être ce spectateur gourmand que mérite la peinture .