Le bébé dormait, ou plutôt faisait-il partie de ce cauchemar, sans doute était-ce un autre souvenir de son frère, un symbole dont se servaient les dieux pour le torturer...
"Il n'y a pas de dieux". La voix de Marikani, résonnant dans sa tête. Elle avait sans doute raison. Les hommes n'avaient pas besoin de dieux pour se torturer, ils faisaient ça très bien tout seuls.