Baloo

Ce livre contient deux très bons contes qui font l'éloge de la différence et du vivre ensemble. Dis ainsi, cela semble presque pompeux. Et pourtant... cette album montre que chacun a ses défauts, mais aussi ses qualités, et qu'il est parfaitement possible de vivre les uns avec les autres. Les illustrations sont très belles, très colorées, et devraient plaire aux enfants.

Deux histoires qui amènent le lecteur à réfléchir, sans forcément s'en rendre compte pour les plus jeunes, sur le vivre ensemble, mais aussi sur l'autorité et ce qui en découle. Les illustrations, presque naïves, sont très sympathiques et très colorées.

Le premier tome m'a réellement surpris. Cette "course-poursuite" d'un tueur auprès d'un chat pour récupérer l'oeil d'un cadavre. Le titre est marrant tout comme le déroulement de cette histoire avec un final sublime.



Le second volume clos le chapitre de la comédie pure mais pas totalement. Toute la construction de la bd est différente car nous sommes plongés au milieu de mafiosi en quête de vengeance contre notre héros qui s'en sort pas si mal. La parodie du parrain est omniprésente pour nous amuser et nous faire passer un agréable moment.



Le troisième chapitre s'achève malheureusement péniblement alors que l'idée de départ était bonne car cela se prend un peu au sérieux genre la série d'espionnage Alias.



On ne saura jamais la fin de cette histoire qui aurait pu rebondir sur un 4ème opus. C'est dommage car on commençait à s'attacher à ce tueur d'opérette. Ceci dit, c'est une BD sans prétention.

C'est une série qui a été abandonnée malgré un début assez prometteur. La trame est plutôt assez classique mais il y avait du dynamisme dans l'air. En effet, une fois n'est pas coutume, ce western mettait des femmes de couleur à l'honneur: une black et une chinoise.



Le dessin est assez moderne dans la colorisation mais il ma,que de finesse et de détail. Par ailleurs, il y a une parfaite lisibilité. Les dialogues sont assez simples. Ce premier tome se concentre sur la rencontre de ces deux femmes avec une fin qui revient sur le passé de l'une d'elle.



Au final, il manque quand même un peu d'intérêt au niveau d'une intrigue trop classique dans son déroulement. Cette série fut d'ailleurs abandonnée après la parution de ce premier tome.

A court d'arguments pour faire évoluer la série en autre chose que des courses-poursuites sans grand intérêt (et relativement mal dessinées), les auteurs amènent une organisation criminelle dans le jeu. L'Institut est une organisation se vendant au plus offrant. Ils doivent être en mal de candidats, car ils recrutent John Doe (sur les recommandations de son ex-partenaire croisée dans le tome 2).



Les auteurs commencent à émailler le récit de références au passé commun de John Doe et de cette Ika. L'Institut est une bonne idée en soi, mais assez mal amenée. Et mal gérée. De nouveau on retrouve le vide sidéral et le manque de corps des personnages secondaires. De nouveau, les auteurs essaient de s'en tirer par un humour de situation qui avait plus ou moins bien fonctionné dans le tome 1. Mais cela ne fonctionne pas vraiment.



La fin arrive très vite et elle est assez peu crédible. Troisième et dernier tome d'une série qui devait sans doute durer un peu plus... Il y avait tous les ingrédients, mais le dosage n'était pas bon. Pizza ratée...

On ne connaîtra jamais son nom... le personnage principal, sorte d'anti-héros, est un tueur à gages pris dans la spirale de la scoumoune infernale.



Il joue en effet de malchance, dirait-on. Alors qu'il a exécuté son contrat et a enterré le corps, il doit le déterrer pour récupérer l'oeil de verre de sa victime. Un chat passant par là, celui-ci a la bonne idée de dérober l'oeil. Le tome entier est une longue course-poursuite homme-félin domestique. Chacun va rivaliser d'ingéniosité pour récupérer l'oeil ou le garder...



J'ai parlé de malchance, mais ce tueur à gages qui passe pour un grand professionnel est particulièrement pataud et mal avisé. La chance joue un peu mais pas tant que cela. Cela implique un problème de crédibilité assez considérable, ce qui a largement miné ma lecture.



Le tome se conclut sur une chute assez amusante. Un quiproquo assez en ligne avec le ton que les auteurs veulent donner à la série. En parlant de ton, j'ai souvent pensé à Soda, pour ce côté "horrible raconté avec humour". Mais le niveau est ici très en-dessous de Soda. Par ailleurs le dessin hésite souvent entre réalisme et rondeurs, avec quelques couacs dans les mouvements et les proportions.

Une conclusion logique et attendue mais l'action est bien menée et le scenario se tient bien

un tueur digne de Louis de Funes, beaucoup de gags et d'actions mais on ne va pas bien loin...

Après avoir buté son commanditaire par inadvertance, le tueur à gages est pris en chasse par l'ensemble des capos et nervis de la grande famille mafieuse dont le commanditaire était le parrain. Tout le monde roule en scooter de livraison de pizzas, vu qu'il s'agit de la couverture des activités du clan.



Celui que tout le monde surnomme John Doe va se dépêtrer de pas mal de situations problématiques. Par exemple en volant une bétonneuse et en aspergeant les mafieux de béton frais (une spécialité locale, sans doute, vous m'en mettrez une bouteille...).



Il y a du rythme, mais le tome ne gagne pas en crédibilité. Le dessin reste fort sommaire, surtout dans les mouvements (et vu qu'on est dans du polar avec course-poursuite, du mouvement il y en a).



Le point le plus faible de la série est le traitement des personnages secondaires. Un vrai méchant, c'est ce qui donne du corps à un bon film de genre (cf. les meilleurs James Bond). Idem pour une BD. Et ici, c'est assez faible de ce point de vue. On a du mal à croire qu'un type aussi nullard soit devenu un tel tueur à gages. Idem pour les mafieux en face, qui sont supposés faire peur...

le scénario va un peu plus loin que les gags de situations et ça donne un peu de peps à la série. Toutefois le dessin reste bien simple.

Ptit Dragon est un adorable bébé mais il ne sait pas voler. Alors qu'arrive sa première rentrée, il entre dans la classe des "recalés".

C'est décalé, c'est anti-cliché, c'est drôle aussi. Ils sont adorables ces dragons recalés avec leurs défauts attendrissants. Ma fille de quatre ans a adoré et j'ai du négocié l'achat des deux tomes pour qu'elle accepte de le rendre à la bibliothèque.

Suivez les aventures étonnantes d’un tueur à gage ! Le premier tome de la série vous annonce déjà la couleur : humour acerbe, action et dérision.

Un anti-héros plongé dans un univers mafieux avec des personnages qui ne valent pas mieux l’un que l’autre.

vous passerez certainement un bon moment en compagnie de John Doe !
Lien : http://www.tubize-tuclasakoi..

Un assassinat qui dérape pour John Doe, mafieux rital ; s'ensuit la poursuite d'une pizza, à cause d'un chat et d'un oeil.

Bref grosses embrouilles à l'horizon.



De la BD au dessin classique, mais histoire à lire absolument !

Ces 2 fables de sagesse, sans grande nouveauté, apportent la fraîcheur de leur dessin, style dessin de presse, à traits vifs et souples et l’universalité de leur message.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..