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Citations de Coriola (33)


Elle était mince et d’apparence fragile, mais jamais elle n’avait manqué de courage ! Elle se sentait capable de tout, pour ceux qu’elle aimait, et l’amour qu’elle portait à Michel pouvait faire d’elle une héroïne ou une martyre ! Il fallait qu’elle sache à quoi s’en tenir sur lui, sur ce qu’il y avait dans sa vie. Elle était sûre d’avance que, quoi qu’elle apprenne, cela ne changerait rien.
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Chacun de nous a un goût qui lui est propre. Moi, je ne suis pas mondaine. J’aime les choses simples, les vieilles maisons sans confort et le désordre de la libre nature. C’est pourquoi je me plais en Camargue ; j’y retrouve tout ce qui contribue à mes joies quotidiennes. Est-ce en souvenir de notre vieille maison de Puisaye, de la forêt qui l’encerclait de toutes parts et dans laquelle je savais vraiment ce qu’étaient la solitude et la grandeur ?
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On ne reste pas en tiers dans un ménage ... Ce serait la plus grande imprudence pour l’harmonie du ménage !
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Il était autoritaire et aimait à le montrer sans se douter que ses fils ne faisaient, en somme, que ce qui leur plaisait ! Sa fille, Ariane, était un peu sa victime, elle s’en défendait farouchement. Il aurait aimé en faire sa secrétaire. Possédant une culture étendue, il écrivait la vie d’un maréchal de Sainville, père de l’infortunée Amicie. Les ambitions d’Ariane étaient certainement bien différentes, et sa grand-mère était peut-être la seule à les connaître, en supposant que la secrète Ariane se soit jamais confiée à elle.
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La vie y était calme et paisible. Tous paraissaient aimer leurs maîtres, jusqu’au jour où de sombres nuages avaient jeté leur ombre menaçante sur ce havre de paix, et c’en avait été fini de sa tranquillité !
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Félicité n’avait aucune vocation pour l’enseignement, pas davantage pour s’occuper de jeunes enfants ; la gérance d’une ferme ou même d’un domaine aurait convenu à ses goûts, à ses aptitudes, à son activité. Elle avait été pour son père une précieuse collaboratrice.
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L’éducation reçue de son père avait été énergique et virile, comme s’il avait pressenti qu’un jour elle serait seule ! Félicité se sentait un peu honteuse de cette panique qui l’avait précipitée chez Léoni, elle l’attribua à la fatigue, à l’énervement. Maintenant qu’elle s’était bien reposée, elle voyait plus clair, le courage, la force lui revenaient.
Elle se déshabilla pour pouvoir se laver de la tête aux pieds. C’était une habitude chez elle, la douche froide en revenant chaque matin de sa promenade à cheval. Elle ne pouvait s’en passer, autant par hygiène que par goût.
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Elle détestait d’instinct ce genre d’homme aux cheveux huilés, trop parfumés, rencontré pour la première fois de sa vie, dans la cohue de l’exode, comme s’il en profitait, se trouvant dans son élément, en eau trouble.
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L’amour est un sentiment dont on ne joue pas et qui doit surmonter toutes les épreuves, dominer toutes les situations ! Il doit être patient, fort et fidèle ; autrement, ce n’est plus de l’amour. Il ne faut pas le confondre avec la passion qui est un feu de paille et fait commettre bien des sottises !
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On ne donne pas deux fois, dans son existence, une réserve d’amour ayant des attaches aussi profondes, aussi lointaines que les siennes.
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Ça ne doit pas être gai, pour un jeune homme comme lui, de vivre seul, sans famille, sans amis, comme un ours !
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Se connaître ne sert à rien et n’est pas du tout une garantie de bonheur. Il faut oser risquer sa chance et je préférerais épouser un homme qui soit pour moi un mystère, plutôt que Jacques dont je puis énumérer les qualités. Il les possède toutes ! C’est trop pour moi !
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C’est une loi à laquelle personne n’échappe. On change, on évolue, on se transforme. La peur va d’une chose à une autre sans qu’on sache pourquoi. Ce que tu aimais hier te paraît aujourd’hui fade et inintéressant. C’est la vie, avec ses incohérences ! Qui peut se flatter de comprendre quelque chose à tout ça.
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Elle aimait son odeur d’homme, sa force qui, pour elle, se faisait douce et enveloppante, le goût de ses lèvres, leur fraîcheur quand elles effleuraient le velours de sa peau. A cette pensée, Rosamé sent monter en elle un lent frémissement. Peut-on aimer plus qu’elle n’aime son mari ? Elle ne le croit pas. Seule avec lui dans une île déserte, elle ne connaîtrait ni l’ennui ni la solitude. Le souvenir de ce premier soir de leur amour, jamais Rosamé ne pourra l’oublier ! Ce trouble profond qui était en elle et se fondait peu à peu en une sensation délicieuse d’abandon.
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J’aimerais faire la conquête de mon mari. La faire et la refaire, et accumuler des victoires dont je serais fière.
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Quand on se bat avec le diable, il faut employer des moyens à sa hauteur…
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Il y a des femmes qui sont un paradis et près desquelles on se sent devenir des anges. D’autres qui sont l’enfer et qui vous inspirent des sentiments diaboliques.
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Vous savez, ce n’est pas très gai de se trouver brusquement si loin de tout le monde, et si solitaire. L’Engadine est sûrement une très belle région, à condition d’y circuler, mais regarder à longueur de journée des montagnes qui ne bougent pas, étant soi-même condamné au silence et à l’immobilité, c’est un peu effrayant.
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Il faut un temps pour tout. En ce moment, nous sommes occupés à nous refaire et nous nous refaisons ! Il faut savoir ce que l’on veut.
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C’est en faisant parler les gens que l’on s’instruit.
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