Nationalité : Iran
Né(e) : 857
Mort(e) à : Bagdad , le 26 mars 922
Né(e) : 857
Mort(e) à : Bagdad , le 26 mars 922
Biographie :
Mansur al-Hallaj, (nom complet: Abū `Abd Allah al-Ḥuṣayn Manṣūr al-Ḥallāj) est un mystique persan.
Après avoir longtemps vécu auprès des maîtres soufis, il rompit avec eux et prêcha sa propre doctrine mystique, suscitant l’hostilité des autorités politiques, mais aussi des théologiens et même des soufis. Il fut condamné à mort et affreusement torturé, crucifié, décapité et brûlé.
Mansur al-Hallaj, (nom complet: Abū `Abd Allah al-Ḥuṣayn Manṣūr al-Ḥallāj) est un mystique persan.
Après avoir longtemps vécu auprès des maîtres soufis, il rompit avec eux et prêcha sa propre doctrine mystique, suscitant l’hostilité des autorités politiques, mais aussi des théologiens et même des soufis. Il fut condamné à mort et affreusement torturé, crucifié, décapité et brûlé.
Source : www.actes-sud.fr
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Mansur Al HALLAJ – Une Vie, une Œuvre : le Christ de l'Islam (France Culture, 1988) Émission "Une Vie, une Œuvre », par Monique Baile, diffusée le 5 mai 1988 sur France Culture. Invitée : Monique Baile.
Citations et extraits (8)
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Si tu pouvais voir où je suis
Dans la Toute Sainte Présence,
Tu me verrais seul, et nul autre.
Mais la Vérité d'un voile m'a vêtu,
Et tes regards ne peuvent pas m'atteindre.
Tu me vois, sans me voir, d'un regard négligent.
Aiguise l'œil de ta foi et regarde
Par un acte de pure vision.
Si ta foi devient certitude,
Il se peut que tu me découvres.
Dans la Toute Sainte Présence,
Tu me verrais seul, et nul autre.
Mais la Vérité d'un voile m'a vêtu,
Et tes regards ne peuvent pas m'atteindre.
Tu me vois, sans me voir, d'un regard négligent.
Aiguise l'œil de ta foi et regarde
Par un acte de pure vision.
Si ta foi devient certitude,
Il se peut que tu me découvres.
J'ai un Bien-Aimé que je visite dans les solitudes
Présent et absent aux regards
Tu ne me vois pas L'écouter avec l'ouïe
pour comprendre les mots qu'Il dit
Mots sans forme ni prononciation
Et qui ne ressemblent pas à la mélodie des voix
C'est comme si en m'adresant à Lui
Par la pensée, je m'adressais à moi-même
Présent et absent, proche et lointain
Les figures des qalificatifs ne peuvent Le contenir
Il est plus près que la conscience pour l'imagination
Et plus caché que les pensées évidentes
Présent et absent aux regards
Tu ne me vois pas L'écouter avec l'ouïe
pour comprendre les mots qu'Il dit
Mots sans forme ni prononciation
Et qui ne ressemblent pas à la mélodie des voix
C'est comme si en m'adresant à Lui
Par la pensée, je m'adressais à moi-même
Présent et absent, proche et lointain
Les figures des qalificatifs ne peuvent Le contenir
Il est plus près que la conscience pour l'imagination
Et plus caché que les pensées évidentes
Dieu en témoigne ! Qu'aucun soleil ne se lève ni se couche
Sans que Ton amour soit uni à mes souffles
Et que je ne m'isole pour m'entretenir avec autrui
Sans que Tu ne sois mon entretien avec autrui
Et que triste ou joyeux je ne T'invoque
sans que Tu sois dans mon coeur parmi mes doutes
Et que de soif je ne m'apprête à boire de l'eau
Sans que je voie une image de Toi dans ma coupe
Ah ! si je pouvais, j'irais à Toi
Courant sur le visage ou marchant sur la tête
Sans que Ton amour soit uni à mes souffles
Et que je ne m'isole pour m'entretenir avec autrui
Sans que Tu ne sois mon entretien avec autrui
Et que triste ou joyeux je ne T'invoque
sans que Tu sois dans mon coeur parmi mes doutes
Et que de soif je ne m'apprête à boire de l'eau
Sans que je voie une image de Toi dans ma coupe
Ah ! si je pouvais, j'irais à Toi
Courant sur le visage ou marchant sur la tête
Mon coeur est devenu capable de toutes les formes.
As-tu perçu l'appel de Celui qui appelle,
À son ordre t'es-tu levé?
As-tu retiré tes sandales comme ceux qui sont imprégnés
De la courtoisie de la voie? L'infini s'est-il refermé
Autour de toi de toutes parts? Et venu l'instant
De l'union, d'un seul élan t'es-tu précipité?
À son ordre t'es-tu levé?
As-tu retiré tes sandales comme ceux qui sont imprégnés
De la courtoisie de la voie? L'infini s'est-il refermé
Autour de toi de toutes parts? Et venu l'instant
De l'union, d'un seul élan t'es-tu précipité?
j'ai renié la religion de Dieu, le reniement
Est un devoir pour moi, un péché pour les musulmans
Est un devoir pour moi, un péché pour les musulmans
Je n'ai pas connu
d'autre éloignement que le Tien
après avoir acquis la certitude
que proche et lointain ne font qu'un
Et moi-même
Si je m'éloigne
l'éloignement est mon compagnon
comment l'éloignement peut-il être
alors que l'amour est un
d'autre éloignement que le Tien
après avoir acquis la certitude
que proche et lointain ne font qu'un
Et moi-même
Si je m'éloigne
l'éloignement est mon compagnon
comment l'éloignement peut-il être
alors que l'amour est un
Judaïsme, christianisme et islam, comme les autres religions, ne sont que dénominations et appellations. Le but recherché à travers elles ne varie ni ne change.
Le monde des religions (cité par Jean Mouttapa)
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie
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